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Telegraph Avenue

par Michael Chabon

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In this novel the author takes us to Telegraph Avenue. It is a story that explores the profoundly intertwined lives of two Oakland, California families, one black and one white. Here he creates a world grounded in pop culture: Kung Fu, 1970s Blaxploitation films, vinyl LPs, jazz and soul music, and an epic of friendship, race, and secret histories. Longtime band mates Archy and Nat preside over Brokeland Records, a used-record emporium. All is well until a former NFL quarterback, one of the country's richest African Americans, decides to build his latest Dogpile megastore on nearby Telegraph Avenue. Not only could this spell doom for the little shop and its cross-race, cross-class dream, but it opens up past history regarding Archy's untethered dad and a Black Panther-era crime.… (plus d'informations)
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Ce roman de Michael Chabon est centré sur un magasin de disque vinyle, Brokeland Records, tenu par deux amis, Archy et Nat, l'un noir et l'autre juif blanc, au moment où un projet d'installation à proximité d'un grand magasin culturel met à mal l'équilibre délicat nécessaire à la survie de Brokeland Records. L'auteur met en scène de nombreux personnages, tous plus vivants les uns que les autres, dépeignant à merveille l'ambiance régnant dans la Telegraph Avenue qui donne son nom à ce roman. Par contre, il se laisse parfois aller à privilégier plus la forme que le fond, avec parfois des phrases interminables, comme par exemple lors des dix-huit pages de la troisième partie qui n'est constituée que d'une ou deux phrases. Ces moments ont tendance à casser l'expérience de lecture, ce qui est bien dommage. Mais cela reste heureusement assez anecdotique. Au final, on passe un très bon moment dans la Telegraph Avenue. ( )
  Patangel | Jul 26, 2020 |
“Telegraph Avenue,” Michael Chabon’s rich, comic new novel, is a homage to an actual place: the boulevard in Northern California where Oakland — historically an African-American city — aligns with Berkeley, whose bourgeois white inhabitants are, as one character puts it, “liable to invest all their hope of heaven in the taste of an egg laid in the backyard by a heritage-breed chicken.” The novel is equally a tribute to the cinematic style of Quentin Tarantino, whose films its characters study and discuss, and whose preoccupations pepper its pages: kung fu, cinematic allusions and the blaxploitation films of the 1970s; and an interest in African-American characters and experience. Chabon and Tarantino make an unlikely duo; while the latter’s films tend toward gaudy eruptions of violence, Chabon bends Tarantino’s sensibility to a warmhearted novel about fatherhood in which the onstage violence consists of two graphic childbirth scenes and a 15-year-old boy whacking a chubby thug with a wooden sword. A self-help book in the style of Andrei Tarkovsky would be hardly more oxymoronic.
 
Mr. Chabon has constructed an amazingly rich, emotionally detailed story that addresses his perennial themes — about fathers and sons, husbands and wives, and the consolations of art — while reaching outward to explore the relationship between time past and time present, the weight (or lightness, as the case may be) of history, and the possibility of redemption and forgiveness.
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Chabon, Michaelauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Peters, ClarkeNarrateurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Appartient à la série éditoriale

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Titre canonique
Titre original
Titres alternatifs
Date de première publication
Personnes ou personnages
Lieux importants
Évènements importants
Films connexes
Épigraphe
« Appelle-moi Ishmael. »

Ishmael Reed, probablement.
Dédicace
À Ayelet, de la pose du diamant au sillon le plus secret
Premiers mots
Un jeune Blanc chevauchait son skateboard, pieds bien à plat, agrippé d'une main à l'épaule d'un jeune Noir qui, lui, pédalait sur un vélo à pignon fixe dépourvu de freins.
Citations
Dans leur combat pour prospérer et se développer sur la planète Amérique, quelques Noirs avaient opté pour la tragédie épique, grandiose et amère à la fois, de la terraformation ; d'autres, comme les parents de Gwen, leurs parents et leurs grands-parents avant eux, s'étaient engagés dans un long programme sélectif de pantropie. La pantropie noire avait produit, chez Gwen et ses frères, une série de petites pauses succès viables et faciles, capables de s'envoler et de s'appuyer sur les courants ascendants de l'aubaine pour défier la gravité mortelle du monde colonial.
Derniers mots
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

In this novel the author takes us to Telegraph Avenue. It is a story that explores the profoundly intertwined lives of two Oakland, California families, one black and one white. Here he creates a world grounded in pop culture: Kung Fu, 1970s Blaxploitation films, vinyl LPs, jazz and soul music, and an epic of friendship, race, and secret histories. Longtime band mates Archy and Nat preside over Brokeland Records, a used-record emporium. All is well until a former NFL quarterback, one of the country's richest African Americans, decides to build his latest Dogpile megastore on nearby Telegraph Avenue. Not only could this spell doom for the little shop and its cross-race, cross-class dream, but it opens up past history regarding Archy's untethered dad and a Black Panther-era crime.

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