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Chargement... Au bout du rouleau (1902)par Joseph Conrad
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. La novela narra la difícil peripecia del capitán Whalley, un viejo lobo de mar que cuenta con dos armas para enfrentarse a las dificultades de la vida: su altura moral y su sentido del deber. Novela magistral que viene a reflejar la mayor obsesión de este gran escritor: el conflicto del individuo entre el bien y el mal. El capitán Whalley, personaje central de esta obra, representa los valores de otra época en todos los sentidos. Héroe del mar como descubridor de nuevas rutas en Extremo Oriente y con un código moral indestructible sobre el honor y el deber, se ha convertido en una leyenda. En el relato lo encontramos ya en su vejez, aunque conserva un porte imponente y distinguido, obligado a vender su barco para ayudar económicamente a su hija y a compartir la propiedad de un viejo vapor, del cual asume el mando. Captain Whalley's closely guarded secret launches him, literally, on a course that would have been tragic, had not the heroism in the captain's heart already played itself out many years before. Perhaps there is a diluted echo of King Lear in this novella, the old man who wants to retire and pass on his success in life to his daughter but who is betrayed by the greed and ambitions of those around and even above him. Despair dominates. At the end, what is there but to keep putting one foot in front of the other, to last it out. This novella is somewhat neglected, especially as it appeared alongside Heart of Darkness in an early collection. Yet it is a successful work. Conrad excelled at the long short story/novella form. The psychological reveals are not only modern but universal. What happens when a man finds himself tethered to a bad situation because of a bad decision, bad luck, bad company, or simply bad fate . . . a situation in which light is described as violent, dazzling, blinding, and wearying? One might expect that then less light would be solace. This emphatically turns out not to be true in Joseph Conrad’s The End of the Tether. The man so tethered, Captain Henry Whalley, aka Dare-devil Whalley, finds himself with a ship’s command that taps little of what made him special, as if he is now retired, even while active, from what had made him substantial and proud. What’s more, guided by love for a faraway daughter, he finds that to salvage his pride he must, paradoxically, abuse his sense of rectitude—a choice that emphasizes how far down his own rope he is. Meanwhile, others aboard have plans that align imperfectly with his, creating the story’s dramatic tension. All this plays out in 19th-century Far East settings among men of compromised character, colonial attitudes, and uncertain constancy. The malice of chance in thwarting men’s ambitions is always prominent, and the way things work out can make a pessimist or a misanthrope feel justified. Conrad’s propensity for extensive description will not be to every reader’s taste but in this short novel I tolerated it better than in some of his other work because he dispenses with the convention of an intermediate narrator. In presenting his settings, or the men in their acts, thoughts, emotions, and apprehensions, this is painterly prose. aucune critique | ajouter une critique
Appartient à la série éditorialeEl cercle de Viena (49) Est contenu dansListes notables
Un vieux capitaine se raconte. Disparues les occasions qu'il aurait su comment saisir : et disparu aussi le troupeau aux ailes blanches de ces voiliers qui vivaient de la vie incertaine et turbulente des vents, et tiraient de grosses fortunes de l'?cume de la mer. Dans un monde qui rognait les profits au strict minimum, dans un monde qui pouvait faire deux fois par jour le compte de son tonnage libre, et o les affr?tements disponibles ?taient happ?s par c?ble trois mois ? l'avance, il n'y avait aucune chance de faire fortune pour un homme qui erre au hasard avec un petit trois-m?ts : - en v?rit? ? peine de quoi vivre. ? l'aube de sa vie un vieux capitaine, dans une nuit sans fin, se raccrochait ? tous les espoirs ; et quand l'?vidence de son infortune ?tait plus forte que son esp?rance, il s'effor?ait de ne pas croire ? la r?alit?? (Re)d?couvrez ce grand roman classique, et plongez dans le r?cit d'un vieux capitaine, dans un monde o il n'y avait aucune chance de faire fortune pour un homme qui erre au hasard avec un petit trois-m?ts... EXTRAIT Un pilote voit mieux qu'un autre, parce que sa connaissance des lieux, comme une vision plus p?n?trante, pr?cise la forme d'objets rapidement entrevus, perce les voiles de brume que les orages de la mer ?tendent sur la terre, d?finit avec assurance les contours d'une cte couverte d'un Iinceul de brouillard, les formes de rep?res ? demi-ensevelis dans une nuit sans ?toiles comme dans une tombe ? fleur de terre. Il se reconna?t parce qu'il sait d?j?. Ce n'est pas ? la grande port?e de sa vue, mais ? son savoir plus ?tendu que le pilote demande sa certitude, celle de la position du navire d'o peut d?pendre le bon renom d'un homme, et la paix de sa conscience, la justification de la confiance qu'on lui a marqu?e, et sa propre vie aussi, vie qui est trop rarement son enti?re propri?t? pour qu'il puisse en disposer, et d'autres vies encore, celles d'humbles ?tres dont les affections sont enracin?es au loin peut-?tre, et que le poids du myst?re qui les guette rend aussi int?ressantes que celles des rois. La science du pilote soulage et rassure le commandant d'un navire; toutefois, dans cette fantaisiste suggestion d'un poisson-pilote escortant une baleine, on ne pouvait attribuer au s?rang une connaissance sup?rieure. Comment l'aurait-il acquise ? Ces deux hommes - le blanc et le brun, - avaient commenc? ensemble ? faire ces voyages, le m?me jour : et un Blanc en apprenait naturellement plus en une semaine que ne pouvait le faire en un mois le plus dou? des indig?nes. Il avait ?t? attach? au commandant comme s'il pouvait lui ?tre utile, comme on dit que le poisson-pilote l'est pour la baleine. Mais de quelle fa?on - l? ?tait la question, - de quelle fa?on ? Un poisson-pilote? un pilote? un? Mais s'il ne s'agissait pas d'une connaissance sup?rieure, alors? Sterne avait d?couvert la chose. Elle r?pugnait son imagination, choquait ses principes d'honn?tet?, sa conception de l'humanit?. Cette ?normit? affectait la notion qu'il avait de ce qui est possible en ce monde; c'?tait comme si, par exemple, le soleil ?tait devenu bleu, et e?t jet? une lumi?re nouvelle et sinistre sur les hommes et la nature. Au premier moment, Sterne se sentit r?ellement d?faillir, comme s'il avait re?u un coup bas; pendant une seconde son regard distrait crut m?me que la mer avait pris une couleur nouvelle et ?trange; et il ?prouva dans tous ses membres une sensation d'instabilit?, comme si la terre s'?tait mise ? tourner en sens inverse. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.912Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 1901-1999 1901-1945Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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