> Un homme entreprend de raconter le voyage en Orient qu’il a autrefois accompli. Cette aventure traversée d'illuminations, de doutes, représente pour l'auteur la voie vers la sagesse.
—Le soleil, 18 août 1984

> LE VOYAGE EN ORIENT, de Hermann Hesse. Traduit de l’allemand par Jean Lambert. (Biblio / Livre de Poche, 122 pages). — Après ce détour par la Turquie, nous revenons en Allemagne, le temps de faire connaissance avec le grand romancier Hesse qui, après avoir fui sa patrie pour devenir citoyen suisse, éprouve le besoin d’aller aux sources d’une sagesse longuement conquise, ce qui l’amène à faire ce Voyage en Orient qui a tout d’un conte philosophique. Récit initiatique qui a les charmes et les défauts de ce genre de littérature un peu didactique, ce Voyage plaira à ceux qui croient qu’en cherchant sa voie on la trouve fatalement. Je préfère, quant à moi, le Hesse nouvelliste, celui de Le poète chinois, recueil également réédité dans Biblio (no 3046).
—Le devoir, 28 juil. 1984