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"En 1921, Ludwig Wittgenstein publie son seul livre e dite de son vivant, porte par une the se forte : les proble mes que la philosophie a rencontre s jusqu ́ici viennent de notre ignorance de la logique profonde du langage, qui est aussi la logique de la re alite . Langage et re alite sont deux faces d ́une me me pie ce. Pour dissoudre ces proble mes, il faut donc analyser logiquement le langage et affronter le nonsens, afin d ́envisager ensuite la dimension mystique de la philosophie. C ́est l ́entreprise que de roulent les quelque cinq cents propositions de ce traite , qui ne craint pas de recommencer la philosophie a ze ro.Texte ce le bre pour ses ambigui te s, le Tractatus est ici aborde sous un angle nouveau, qui ne cherche pas a fixer son sens, mais au contraire a lui restituer sa richesse et sa mouvance, dans toute l ́ampleur de la pense e de Wittgenstein. En e tudiant l ́arrie re-plan philosophique de ce traite et en e clairant ce grand ¿uvre a la lumie re des carnets ́ notamment ceux de 1914-1916 ́, on voit se dessiner la figure complexe de l ́un des plus grands penseurs du XXæ̀ sie cle."… (plus d'informations)
>« Si l’on entend par éternité, non la durée infinie mais l’intemporalité, alors il a la vie éternelle celui qui vit dans le présent. » —Wittgenstein, Tractatus Logico-philosophicus (1921).
Ludwig Wittgenstein (1889-1951) a publié de son vivant un seul ouvrage, le Traité logico-philosophique. Il fut l’ami, et est considéré comme l’inspirateur de Bertrand Russell, lequel jeta les bases de la logique formelle. Ses recherches sur la notion de philosophie l’amène à préciser la sphère du dicible. Il exerça une influence considérable sur le cercle de Vienne, école néo-positiviste, fondé en 1920, qui regroupa des philosophes et des logiciens inspirés par la logique mathématique moderne.
"Le Tractatus logico-philosophicus" de Ludwig Wittgenstein, qu'il se trouve ou non donner la vérité dernière sur les matières qu'il traite, mérite certainement, par son ampleur, son étendue et sa profondeur, d'être considéré comme un événement important dans le monde philosophique. Débutant à partir des principes du symbolisme et des rapports qui sont nécessaires entre les mots et les choses dans tout langage, il applique le résultat de ses recherches aux différents domaines de la philosophie traditionnelle, montrant dans chaque cas comment la philosophie traditionnelle et les solutions traditionnelles naissent de l'ignorance des principes du symbolisme et du mauvais usage du langage. La structure logique des propositions et la nature de l'inférence logique sont d'abord traitées. Ensuite, nous passons successivement à la théorie de la Connaissance, aux principes de la Physique, à l'Éthique et enfin à la Mystique.»
Premier opus de Wittgenstein, premier coup de génie. Une révolution philosophique qui de plus est écrite de façon directe, sèche, délicieuse. Attention néanmoins aux parties les plus strictement mathématiques: les littéraires comme moi-même pouvons être perdus. Voire largués...
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1. The world is all that is the case.
Citations
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6.54 My propositions are elucidatory in this way: he who understands me finally recognizes them as senseless, when he has climbed out through them, on them, over them. (He must so to speak throw away the ladder, after he has climbed up on it.) He must transcend these propositions, and then he will see the world aright.
6.53 The correct method in philosophy would really be the following: to say nothing except what can be said, i.e. propositions of natural science--i.e. something that has nothing to do with philosophy--and then, whenever someone else wanted to say something metaphysical, to demonstrate to him that he had failed to give a meaning to certain signs in his propositions. Although it would not be satisfying to the other person--he would not have the feeling that we were teaching him philosophy--this method would be the only strictly correct one.
Derniers mots
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7. What we cannot speak about we must pass over in silence.
"En 1921, Ludwig Wittgenstein publie son seul livre e dite de son vivant, porte par une the se forte : les proble mes que la philosophie a rencontre s jusqu ́ici viennent de notre ignorance de la logique profonde du langage, qui est aussi la logique de la re alite . Langage et re alite sont deux faces d ́une me me pie ce. Pour dissoudre ces proble mes, il faut donc analyser logiquement le langage et affronter le nonsens, afin d ́envisager ensuite la dimension mystique de la philosophie. C ́est l ́entreprise que de roulent les quelque cinq cents propositions de ce traite , qui ne craint pas de recommencer la philosophie a ze ro.Texte ce le bre pour ses ambigui te s, le Tractatus est ici aborde sous un angle nouveau, qui ne cherche pas a fixer son sens, mais au contraire a lui restituer sa richesse et sa mouvance, dans toute l ́ampleur de la pense e de Wittgenstein. En e tudiant l ́arrie re-plan philosophique de ce traite et en e clairant ce grand ¿uvre a la lumie re des carnets ́ notamment ceux de 1914-1916 ́, on voit se dessiner la figure complexe de l ́un des plus grands penseurs du XXæ̀ sie cle."
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la vie éternelle celui qui vit dans le présent. »
—Wittgenstein, Tractatus Logico-philosophicus (1921).
Ludwig Wittgenstein (1889-1951) a publié de son vivant un seul ouvrage, le Traité logico-philosophique. Il fut l’ami, et est considéré comme l’inspirateur de Bertrand Russell, lequel jeta les bases de la logique formelle. Ses recherches sur la notion de philosophie l’amène à préciser la sphère du dicible. Il exerça une influence considérable sur le cercle de Vienne, école néo-positiviste, fondé en 1920, qui regroupa des philosophes et des logiciens inspirés par la logique mathématique moderne.