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Chargement... La Garde blanche (1925)par Mikhail Bulgakov
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Appartient à la série éditorialeDestinolibro (17) Harvill (50) Libro amigo [Bruguera] (938) Roman-Zeitung (396) Prix et récompensesDistinctionsListes notables
Kiev, décembre 1918. Sur fond de guerre civile russe, Boulgakov raconte la fin de l'Ukraine tsariste à travers la destinée de la famille Tourbine, inspirée de sa propre famille. Si la mort sévit partout, chez les Tourbine, autour de la table familiale où éclatent la blancheur de la nappe et le chatoiement de la porcelaine, le temps est suspendu. Jusqu'à ce que les troupes ukrainiennes, dirigées par Simon Petlioura, déferlent sur Kiev. Plongés dans la tourmente, tous les hommes de la famille rejoignent alors la Garde blanche pour arrêter l'avancée des bolcheviks... Écrit en 1923-1924, ce premier grand roman de l'auteur du Maître et Marguerite était, disait-on, le livre préféré de Staline car il montrait, mieux que tout autre, le bouleversement apporté par le communisme à la Russie. Ce livre où Boulgakov a mis toute sa nostalgie lui aurait, non sans paradoxe, sauvé la vie. " Grande – grande et terrible – fut cette année-là, mil neuf cent dix-huitième depuis la naissance du Christ, et seconde depuis le début de la Révolution. " Mikhaïl Boulgakov Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)891.7342Literature Literature of other languages Literature of east Indo-European and Celtic languages Russian and East Slavic languages Russian fiction USSR 1917–1991 Early 20th century 1917–1945Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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- Nous sommes vaincus", disait la vermine intelligente.
Telle fut également la conclusion des citadins.
Oh! seul celui qui a déjà été vaincu sait ce que signifie ce mot ! Il ressemble à une soirée à la maison quand il y a une panne de lumière. Il ressemble à une chambre dont le papier est mangé par une moisissure verte, pleine d'une vie morbide. Il ressemble à du beurre rance, à un petit monstre rachitique, à des injures obscènes lancées par des voix de femmes dans l'obscurité. En un mot il ressemble à la mort. ( )