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Le nouvel état industriel essai sur le système économique américain (1967)

par John Kenneth Galbraith

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~FRE~Avertissement Abreviations et remarques Avant-propos Introduction Premiere partie : la psychologie poetiqueChapitre I. Les caracteristiques generales Chapitre II. Le present particulier Chapitre III. La realite et ses formes spatio-temporelles Chapitre IV. La duree particuliere Chapitre V. La comprehension de la realite par le psychisme-pensee Chapitre VI. La poetisationDeuxieme partie : le fondement d'une esthetiqueChapitre I. L'origine des procedes esthetiques communs Chapitre II. L'esthetique et les mobiles de la creation Chapitre III. Les phrases-types ou les phrases-systemes en esthetique Chapitre IV. Le cote Dostoievski comme interrelation esthetique Chapitre V. L'essence esthetique et l'idealTroisieme partie : la recherche du reel Chapitre I. Le procede d'apprehension Chapitre II. La conceptualisation du reel Chapitre III. Le reel et la realite Chapitre IV. Le mouvement et le reel Chapitre V. Le reel et l'irreel Chapitre VI. Le merveilleux et le reel Chapitre VII. L'effacement du reel conventionnel et le caractere psychologique et esthetique du reel nouveau Quatrieme partie : la constitution du personnageChapitre I. La base ideo-thematique de l'oeuvre Chapitre II. Le personnage et l'existence reelle Chapitre III. Le systeme relationnel Chapitre IV. Les etats interdependants du personnage Chapitre V. La dimension existentielle Chapitre VI. Le systeme interdimensionnel Chapitre VII. Les structures du moi Chapitre VIII. L'integrite du personnage Cinquieme partie : la polysignificationChapitre I. Les structures signifiantes Chapitre II. Les totalites a l'etat pur Chapitre III. La pensee de la realite ideale Chapitre IV. Les determinantes de la valeur litteraire Chapitre V. L'eternite dans les instants Chapitre VI. La philosophie de l'existence Chapitre VII. La felicite Conclusion Les references La bibliographie… (plus d'informations)
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  archivomorero | Aug 20, 2023 |
50 years out of date Austrian economics ( )
  jhudsui | Jun 21, 2013 |
I would go so far as to say that this is the sort of book that makes understanding modern economics possible. Give it a shot. It's not your ordinary economics book. ( )
  HadriantheBlind | Mar 30, 2013 |
Personalmente, la teoría de la planificación y de la tecnoestructura me han fascinado, sobre todo la primera. Porque ya en 1967 afirmó que los sistemas económicos comunista y liberal no se diferenciaban mucho, algo que hoy está plenamente asumido. Y eso tenía su mérito. Pero es que sigue siendo verdad. Las grandes corporaciones dominan todos los aspectos de la economía, desde la producción hasta el consumo final, y eso lo hacen a través de una minuciosa planificación a largo y muy largo plazo, realizada por grupos de personas muy tecnificadas. De ahí que lo que se busque no sea tanto maximizar los beneficios, como enseñaba el mítico capitalismo tradicional, sino mantener estos en un nivel aceptable mientras la empresa se expande y aumenta su poder. Después, incluso pueden plantearse otros objetivos, como la protección del medio ambiente, el apoyo a los partidos políticos o cualquier iniciativa social. Por eso, además, estas empresas no maximizan unos beneficios que irían a parar a accionistas anónimos, sino que aumentan los sueldos de sus técnicos y ejecutivos hasta niveles tan opacos como obscenos.

El autor anuncia que su libro no tiene la estructura lineal característica de la literatura académica, sino que volverá una y otra vez a los mismos conceptos, aunque cada vez con una perspectiva diferente. Consigue que eso no resulte aburrido ni pesado, sino todo lo contrario: permite al lector que, si se ha perdido en algún momento, continúe la lectura sabiendo que más tarde volverán las mismas ideas, expresadas de otro modo y en otro contexto, y entonces probablemente las entenderá. Por lo demás, Galbraith escribe con apabullante sencillez, huyendo de todo tecnicismo (la comparación con el libro de Keynes es inevitable), lo que también sirve a su propósito desenmascarador. Y es que lo que se enseña en las facultades de económicas o en las escuelas de negocios sigue siendo el mito del mercado libre. Galbraith desmonta este mito, aunque hay que reconocer que no ha tenido mucho éxito porque aún hoy, a cuarenta años vista de la primera edición del libro, hay mucha gente que se lo cree.

En fin, a destacar que en la última parte del libro propone algunas ideas para resistirse a este capitalismo industrial que pueden resultar interesantes. No se trataría de intentar derribarlo, sino de convivir con él. El capitalismo industrial ha traído grandes beneficios, pero necesitamos encontrar también márgenes suficientes, espacios no dominados por la tecnoestructura. Debemos preservar la posibilidad de independencia de las universidades, debemos dejar espacio al arte y la estética. En definitiva, debemos dejar a la tecnoestructura su espacio, pero preservar el de otras formas de entender la vida. ( )
  caflores | Mar 2, 2013 |
I read this when it was first published in 1967. As part of my freshman Honors Econ course I wrote a blistering critique of what I still consider one of the worst books I have ever read. I argued from the point of view shared by Milton Friedman and other free market thinkers that Galbraith believes in the superiority of aristocracy and in its paternalistic authority, that consumers should not be allowed choice, and that all should be determined by those with "higher minds" - never mind the choices of the individual consumer. Today Paul Krugman, who in ironic fashion criticized Galbraith as well, represents a similar strain in aristocratic economic thought. In this book Galbraith demonstrates the best example of an advocate of "bad" economics. ( )
1 voter jwhenderson | Mar 4, 2012 |
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A curiosity of modern economic life is the role of change.
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