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Chargement... L'art du romanpar Milan Kundera
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Dans cette série d'essais et d'entrevues, Kundera expose sa version du roman. Ces réflexions m'ont beaucoup aidée à comprendre la structure de ses romans et notamment leur "polyphonie" - sa tendance à mélanger les styles en plus de sa philosophie sur l'évolution du roman dans l'Europe de l'Est et de l'Ouest et des dissonances entre l'ancien et le nouveau monde. J'aime en particulier son discours sur le kitsch et la bêtise que j'ai toujours trouvé fascinant. Une excellente façon de découvrir une œuvre et son auteur. aucune critique | ajouter une critique
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Constitué de conférences, d'articles et d'entretiens, cet essai est centré sur les rapports que Kundera entretient avec ses propres romans autant que sur l'art du roman européen en général. Kundera affirme, dans l'avant-propos, qu'il n'a pas la moindre ambition théorique et que son livre est la "confession d'un praticien". De très bons chapitres sur Cervantes, Flaubert, Broch et Kafka. En appendice, l'auteur recense en 71 mots-clés les "difficultés et éblouissements qu'ont occasionnés les traductions de ses livres en de nombreuses langues" (B. Poirot-Delpech), p. 149-187. Premier choix. Aucune description trouvée dans une bibliothèque
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)809.3Literature By Topic History, description and criticism of more than two literatures FictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Dans sept textes relativement indépendants mais liés en un seul essai, Kundera expose sa conception personnelle du roman européen (« art né du rire de Dieu »). L'histoire de celui-ci est-elle en train de s'achever ? Toujours est-il qu'aujourd'hui, à l'époque des « paradoxes terminaux », le roman « ne peut plus vivre en paix avec l'esprit de notre temps : s'il veut encore "progresser" en tant que roman, il ne peut le faire que contre le progrès du monde ».
Un des textes est consacré à Broch, un autre à Kafka, et de la première à la dernière ligne la réflexion de Kundera est une constante référence aux auteurs qui sont les piliers de son « histoire personnelle du roman » : Rabelais, Cervantes, Sterne, Diderot, Flaubert, Tolstoï, Musil, Gombrowicz... Dans deux dialogues, l'auteur parle de son propre art (art dans le sens presque artisanal du mot) : des façons de créer un « ego expérimental » (personnage), de la polyphonie, de la composition...