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Chargement... Walden ou La vie dans les bois (1854)par Henry David Thoreau
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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Troubet-Walden/1428456 > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Thoreau-Walden-ou-La-vie-dans-les-bois/84891 > Entre les lignes, 1 (4), pp. 36–37 : https://id.erudit.org/iderudit/10759ac > Voir un extrait : https://books.google.fr/books?id=7aV0DgAAQBAJ&hl=fr&printsec=frontcover&... > Thoreau le simple (Infos Yoga, (59), oct.-nov. 2006, pp.28-29) … ; (en ligne), URL : https://drive.google.com/file/d/1QA7x6rBhe-BOgxQOHNSScvS9BQ2KF35z/view?usp=shari... > Je gagnai les bois parce que je voulais vivre suivant mûre réflexion, n'affronter que les actes essentiels de la vie, et voir si je ne pourrais apprendre ce qu'elle avait à enseigner, non pas, quand je viendrais à mourir, découvrir que je n'avais pas vécu. —Henry David Thoreau > Méditation - Pensées - Sagesse des Indiens D’Amérique - Balades. Editions La Table Ronde - Coll. « Les Petits Livres de la Sagesse ». La présentation de cette petite collection est tout à fait charmante, et le prix réduit, à l’image du format. Méditation de Sogyal Rinpoché est le chapitre 5 du très important « Livre tibétain de la Vie et de la Mort », dont nous avons déjà dit beaucoup de bien. Il est difficile de trouver les règles de base de la méditation exposées avec autant de clarté et de simplicité. - Les Pensées de Swami Ramdas sont « classées » en petits chapitres, la conscience d’égo, le Nom divin, Renoncement, Karma Yoga, pour n’en citer que quelques-uns. C’est une excellente introduction à la pensée de ce grand sage. - Sagesse des Indiens d’Amérique est un trésor. Il faudrait pouvoir tout citer. Comment résister à l’envie de raconter le plus beau des récits de création du monde « Après que Wakan Tanka, le Grand Esprit, eut mis en ordre les autres six directions : l’est, le sud, l’ouest, le nord, l’au-dessus, l'en-dessous, il restait toujours une direction sans destination. Mais puisque la septième direction était la plus puissante de toutes, parce qu’elle contenait la plus grande sagesse et la plus grande force, Wakan Tanka, le Grand Esprit, désira la placer dans un lieu où il ne serait pas facile de la trouver. C’est pourquoi il la cache dans le dernier endroit où les hommes pensent généralement à regarder - dans leur coeur. » L’ouvrage est donc divisé en huit parties, les sept dont il vient. C’est une joie de suivre Elan Noir, Ours Debout, Crowfoot et tous les autres sur les sentiers de la paix (intérieure)… - Les Balades sont d’Henry Thoreau (1817-1862). Originaire du Massachussetts, il y passa toute sa vie. Ecologiste avant la lettre, son livre le plus célèbre est Walden, du nom du lac sur les rives duquel il avait bâti une cabane, pour y vivre deux ans en ermite. La contemplation de la nature l’amène à des réflexions profondes émaillées de références à ses connaissances en matière de littérature et de philosophie classiques. Voici donc quatre merveilleux petits livres à offrir et à avoir dans sa poche ou dans son sac ! (Françoise BLÉVOT). —Carnets du Yoga, (170), Juin 1995 > Par France Culture : Walden ou la Vie dans les bois 4 avr. 2017 ... Plongez aujourd'hui dans Walden, vous y découvrirez une œuvre d'une grande profondeur, bien plus riche que la bible écologiste à laquelle on a parfois voulu la réduire. « Je désirais vivre à fond, sucer toute la moelle de la vie, vivre avec tant de résolution Spartiate que tout ce qui n'était pas la vie serait mis en déroute. » Walden, publié en 1854, se présente comme le récit des deux années (1845-1847) que son auteur, Henry D. Thoreau, a passé à vivre seul dans les bois, près du lac Walden, dans une cabane qu'il avait construite de ses mains. Mais si ce texte relate bel et bien, saisons après saisons, cette expérience de vie autosuffisante et frugale, vivifiante aussi, passée au plus près de la nature, il ne se limite pas au simple exposé d'un art de vivre. Longuement mûri, réécrit huit fois entre 1847 et 1854, Walden est le chef-d'oeuvre littéraire de Henry D. Thoreau. Apprécié par des générations d'écrivains américains, à commencer par certains des représentants de la Beat Génération, Walden est aussi à la source de la réflexion écologiste sur l'utilisation des ressources et la préservation des espaces sauvages. Je voulais aimer ce livre, le premier de Thoreau, ce philosophe qui revient à la mode et qui, nous promet-on, a beaucoup à nous dire sur ce qui fait l’essentiel de la vie, sur ce qui est important. Je voulais aimer ce livre, j’espérais, je crois, y trouver un penseur qui aurait su mettre des mots sur des choses que je pressens, qui aurait su me pousser plus avant dans ma réflexion. Et je me suis accrochée, je le jure… Mais rien n’y fait, j’ai à peine pu dépasser la page 100, et les sirènes d’autres livres m’ont irrésistiblement appelée vers d’autres horizons livresques. Je m’étais dit en matière d’excuse que j’y reviendrai, mais deux mois plus tard, je dois bien m’avouer que c’était un leurre. Pourquoi cette déception ? Parce que le propos de Thoreau est trop docte et souvent caricatural. Il a tout compris et nous rien, et il nous le fait sentir. Pourtant, il n’est pas à l’abri de calculs économiques (qu’il nous détaille par le menu) plus qu’approximatifs. Ces vérités assénées mais basées sur des arguments fallacieux (alors qu’ils n’auraient pas été nécessaires pour développer un raisonnement convainquant) m’a vite lassée et je n’ai pas aller plus loin dans ma lecture. Je dois aussi qu’une émission de radio de cet été où il était dit que Thoreau a été bien loin de vivre comme un ermite près de son lac (il était connu dans sa petite ville de Concord pour voler les tourtes mises à refroidir sur le bord des fenêtres, et il passait presque tous les jours chez lui où sa mère lui donnait un petit panier repas car elle s’inquiétait pour son régime alimentaire… L’idée d’autarcie ou de vie en autonomie en prennent un sacré coup !) m’a convaincu de ne pas reprendre cette lecture. Et que ce soit clair, ce n’est pas les entorses à une doctrine trop stricte que je reproche à l’écrivain, mais plus l’imposture que je ne peux m’empêcher de flairer à la lecture de ce livre. Je ne peux que déplorer ce rendez-vous manqué bien qu’espéré, et j’irai chercher ma nourriture philosophique dans d’autres pages. Thoreau restera par moi incompris, et j’en suis presque la première désolée. Peut-être essayerai-je tout de même de lire La Désobéissance civile, qui est déjà sur mes étagères, mais les quelques pages que j’ai lues sur son passage en prison ne me mettent pas l’eau à la bouche… aucune critique | ajouter une critique
Appartient à la série éditorialeDoubleday Dolphin (C10) Everyman's Library (281) — 16 plus Gallimard, L'imaginaire (239) Gallmeister, Totem (78) Limited Editions Club (S:7.07) Sammlung Hofenberg (Thoreau) The World's Classics (68) Est contenu dansA Week on the Concord and Merrimack Rivers / Walden / The Maine Woods / Cape Cod par Henry David Thoreau Walden / The Maine Woods / A Week on the Concord and Merrimack Rivers / Civil Disobedience par Henry David Thoreau ContientEst en version abrégée dansA inspiréContient une étude deContient un commentaire de texte deContient un guide de lecture pour étudiantPrix et récompensesNotable Lists
Extrait: Je n'imposerais pas tant mes affaires l'attention de mes lecteurs si des demandes tr s particuli res n'avaient pas t faites par mes concitoyens concernant mon mode de vie, ce que certains pourraient consid rer comme impertinent, m me si cela ne semble pas du tout impertinent moi, mais, compte tenu des circonstances, tr s naturel et pertinent. Certains ont demand ce que j'avais manger, si je ne me sentais pas solitaire, si je n'avais pas peur, et ainsi de suite. D'autres ont t curieux de savoir quelle part de mon revenu je consacrais des fins caritatives, et certains, qui ont des familles nombreuses, le nombre d'enfants pauvres que j'aidais. Je vais donc demander ceux de mes lecteurs qui ne ressentent pas d'int r t particulier pour moi de me pardonner si je m'engage r pondre certaines de ces questions dans ce livre. Dans la plupart des livres, le Je, ou la premi re personne, est omise, dans celui-ci, elle sera conserv e, ce qui, l' gard de l' gotisme, est la principale diff rence. Nous oublions g n ralement que c'est, apr s tout, toujours la premi re personne qui parle. Je ne parlerais pas tant de moi-m me s'il y avait quelqu'un d'autre que je connaisse aussi bien. Malheureusement, je suis limit ce th me par l' troitesse de mon exp rience. En outre, j'ai, en ce qui me concerne, requis de chaque crivain, t t ou tard, un r cit simple et sinc re de sa propre vie, et pas seulement de ce qu'il a entendu dire de la vie des autres; un r cit comparable ce qu'il enverrait son fr re depuis un pays lointain, car si il a v cu sinc rement, c'est pour moi comme s'il avait t dans un pays lointain. Peut- tre que ces pages sont plus particuli rement adress es aux tudiants pauvres. Quant au reste de mes lecteurs, ils en prendront telle part qui leur revient. J'esp re que nul, en passant l'habit, n'en fera craquer les coutures, car il se peut prouver d'un bon usage pour celui auquel il ira. Je voudrais essayer de vous dire quelque chose, non pas tant sur Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Critiques des anciens de LibraryThing en avant-premièreLe livre Walden: With an Introduction and Annotations by Bill McKibben de Henry David Thoreau était disponible sur LibraryThing Early Reviewers. Couvertures populaires
![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)818.303Literature English (North America) Authors, American and American miscellany Middle 19th Century 1830-61Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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