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Cette série de neuf romans écrits du 1905 à 1940 par une baronne hongroise émigrée en Angleterre forme une fresque historique intéressante à lire sur la Révolution française. Un lord anglais, courageux et ayant le sens de l'humour, devient, sous le nom de Scarlet Pimpernel, le héros imprenable et invincible d'une immense conspiration visant à aider les nobles français attaqués par la Révolution. [SDM]… (plus d'informations)
Caramellunacy: A young adult historical fantasy set during the breathless build-up to the French Revolution/the Terror. A dastardly villain, a string of creepy murders & an intriguing psychic gift make this a lot of fun.
AbigailAdams26: This work of historical fiction for children is another tale of French aristocrats being rescued during the Terror, and even features Baron de Batz, who appears in some of the later Scarlet Pimpernel books.
– Mais dites-moi, pour quelle raison votre chef et vous tous, messieurs, dépensez-vous vos biens et risquez-vous votre vie, car enfin c’est votre existence que vous risquez chaque fois que vous posez le pied en France, et tout cela pour nous autres Français, hommes et femmes qui ne vous sommes rien ? – Pour le sport, madame la comtesse, affirma Lord Antony de sa voix agréable et chaude ; nous sommes un peuple de veneurs, vous savez, et actuellement il est à la mode d’arracher le lièvre de la gueule même des chiens. (p. 34-35, Chapitre 4, “La ligue : le Mouron rouge”).
Il n’y a que dans notre belle France que l’on puisse faire légalement un carnage général, au nom de la Liberté et de la Fraternité. (p. 182, Chapitre 21, “Arrêt”).
Au printemps dernier, il y avait du mouron rouge dans mon jardin et je m’extasiais devant ces petites tâches de couleur toutes discrètes et simples. Par une étrange association d’idées, cela m’a refait penser à un livre découvert sur les étagères virtuelles d’internet, je ne sais plus tout à fait où et que j’avais mis sur ma liseuse, car il est libre de droit et je l’avais trouvé sur le très précieux site de la Bibliothèque électronique du Québec. J’aime aller y chiner quelques livres que je n’aurais probablement pas acheté sinon mais qui me tentent bien tout de même. Drôle d’entrée en matière, mais ce fut la mienne, pour ce roman de cape et d’épée. Un roman de cape et d’épée anglais qui se passe pendant la Révolution française, cela renouvelle le genre et promet d’être intéressant. On y trouve bien sûr une vision de notre histoire bien différente de notre historiographie habituelle, et qui m’a d’ailleurs fait penser au livre de Dickens, A Tale of Two Cities, que j’avais lu quelques mois plus tôt et qui parlent sur le même ton horrifié de la même période historique. Revenons à notre mouron, donc. Un personnage insaisissable, un peu à Zorro, mais qui, parce que l’on est en Angleterre quand même, sauve les nobles de l’effroyable folie sanguinaire du petit peuple révolutionnaire, plutôt qu’il ne vient en aide aux pauvres, opprimés et affamés. Le livre est plutôt cousu de fil blanc. Les ficelles qu’emploie la Baronne (oui, l’auteur est Baronne, cela explique peut-être en grande partie cela), sont assez visibles, les effets de surprise prévisibles, mais cela n’enlève rien au plaisir de cette lecture, qui réside plus dans la découverte de la façon dont la belle ingénue va enfin se rendre compte de l’évidence et tomber amoureuse, enfin du courageux mouron rouge, qu’il va enfin tomber, pâmée, dans les bras du sublime héros qu’elle aura découvert maintenant que ses yeux sont décillés.
Je n’ai pas encore lu la suite parce que ma liseuse fait des siennes et que je n’ai pas pris le temps de voir si j’arrivais à la réparer. Mais je sais que je continuerai cette saga qui remet notre petite fierté républicaine à sa place (difficile de ne pas se sentir un peu coupable de prendre du plaisir quand la Révolution, ce monument de notre mémoire collective…). C’est amusant, on passe un bon moment avec ce personnage qui contourne tous les obstacles les plus machiavéliques de ces Français dévoyés qui ont commis le suprême pêché de guillotiner leur bon roi.
Une foule grouillante, bruissante et houleuse d'êtres qui n'ont d'humain que le nom, car à les voir et à les entendre, ils ne paraissent que des créatures féroces, animées par de grossières passions et par des appétits de vengeance et de haine.
Citations
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
We seek him here, we seek him there, Those Frenchies seek him everywhere. Is he in heaven? - Is he in hell? That damned, elusive Pimpernel!
Derniers mots
Il a mauvaise tête, mais le coeur est bon et, Dieu merci, son honneur est sans tache.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Cette série de neuf romans écrits du 1905 à 1940 par une baronne hongroise émigrée en Angleterre forme une fresque historique intéressante à lire sur la Révolution française. Un lord anglais, courageux et ayant le sens de l'humour, devient, sous le nom de Scarlet Pimpernel, le héros imprenable et invincible d'une immense conspiration visant à aider les nobles français attaqués par la Révolution. [SDM]
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– Pour le sport, madame la comtesse, affirma Lord Antony de sa voix agréable et chaude ; nous sommes un peuple de veneurs, vous savez, et actuellement il est à la mode d’arracher le lièvre de la gueule même des chiens.
(p. 34-35, Chapitre 4, “La ligue : le Mouron rouge”).
Il n’y a que dans notre belle France que l’on puisse faire légalement un carnage général, au nom de la Liberté et de la Fraternité.
(p. 182, Chapitre 21, “Arrêt”).
Au printemps dernier, il y avait du mouron rouge dans mon jardin et je m’extasiais devant ces petites tâches de couleur toutes discrètes et simples. Par une étrange association d’idées, cela m’a refait penser à un livre découvert sur les étagères virtuelles d’internet, je ne sais plus tout à fait où et que j’avais mis sur ma liseuse, car il est libre de droit et je l’avais trouvé sur le très précieux site de la Bibliothèque électronique du Québec. J’aime aller y chiner quelques livres que je n’aurais probablement pas acheté sinon mais qui me tentent bien tout de même. Drôle d’entrée en matière, mais ce fut la mienne, pour ce roman de cape et d’épée.
Un roman de cape et d’épée anglais qui se passe pendant la Révolution française, cela renouvelle le genre et promet d’être intéressant. On y trouve bien sûr une vision de notre histoire bien différente de notre historiographie habituelle, et qui m’a d’ailleurs fait penser au livre de Dickens, A Tale of Two Cities, que j’avais lu quelques mois plus tôt et qui parlent sur le même ton horrifié de la même période historique.
Revenons à notre mouron, donc. Un personnage insaisissable, un peu à Zorro, mais qui, parce que l’on est en Angleterre quand même, sauve les nobles de l’effroyable folie sanguinaire du petit peuple révolutionnaire, plutôt qu’il ne vient en aide aux pauvres, opprimés et affamés.
Le livre est plutôt cousu de fil blanc. Les ficelles qu’emploie la Baronne (oui, l’auteur est Baronne, cela explique peut-être en grande partie cela), sont assez visibles, les effets de surprise prévisibles, mais cela n’enlève rien au plaisir de cette lecture, qui réside plus dans la découverte de la façon dont la belle ingénue va enfin se rendre compte de l’évidence et tomber amoureuse, enfin du courageux mouron rouge, qu’il va enfin tomber, pâmée, dans les bras du sublime héros qu’elle aura découvert maintenant que ses yeux sont décillés.
Je n’ai pas encore lu la suite parce que ma liseuse fait des siennes et que je n’ai pas pris le temps de voir si j’arrivais à la réparer. Mais je sais que je continuerai cette saga qui remet notre petite fierté républicaine à sa place (difficile de ne pas se sentir un peu coupable de prendre du plaisir quand la Révolution, ce monument de notre mémoire collective…). C’est amusant, on passe un bon moment avec ce personnage qui contourne tous les obstacles les plus machiavéliques de ces Français dévoyés qui ont commis le suprême pêché de guillotiner leur bon roi.