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In City of Saints and Madmen, Jeff VanderMeer has reinvented the literature of the fantastic. You hold in your hands an invitation to a place unlike any you've ever visited--an invitation delivered by one of our most audacious and astonishing literary magicians.
City of elegance and squalor. Of religious fervor and wanton lusts. And everywhere, on the walls of courtyards and churches, an incandescent fungus of mysterious and ominous origin. In Ambergris, a would-be suitor discovers that a sunlit street can become a killing ground in the blink of an eye. An artist receives an invitation to a beheading--and finds himself enchanted. And a patient in a mental institution is convinced he's made up a city called Ambergris, imagined its every last detail, and that he's really from a place called Chicago....
By turns sensuous and terrifying, filled with exotica and eroticism, this interwoven collection of stories, histories, and "eyewitness" reports invokes a universe within a puzzlebox where you can lose--and find--yourself again.
tetrachromat: Seems likely Vandermeer was inspired by Lovecraft. Both have "subterranean terrors". Tons of other similarities too, though thankfully lacking Lovecraft's racist commentary.
L'ouvrage de Jeff VanderMeer a reçu le prix du Cafard cosmique 2007 et c'est justice. Souvent la quatrième de couverture nous promet un "livre monde" comme on dit dans le jargon - comprenons par là un livre qui nous initie à un monde nouveau, original dans lequel on aura envie de s'immerger et que la dernière page nous fera regretter de le quitter. Souvent la quatrième de couverture nous le promet mais qu'il est rare qu'elle tienne cette promesse (petite parenthèse au passage: ne faites jamais confiance pour choisir un livre à la quatrième de couverture qui ne se gêne pas parfois pour vous raconter des choses qui ne se produisent qu'au 2/3 du livre, ce qui gâche le plaisir de lire !!!). Le nouveau Dune ou Hypérion se révèle souvent un simple argument marketing de vente et la dernière page achevée, on se dit: rien de nouveau sous le soleil !
Le livre de Jeff VanderMeer pour une fois tient la promesse d'être un livre monde. Nous allons nous immerger dans le monde fabuleux d'Ambregris avec son festival du Calmar géant, ses champigniens. Pour cela l'auteur utilise la technique du patchwork: le roman est en fait un ensemble volontairement hétéroclite de nouvelle, de monographie savante sur la calmarologie, de guide touristique, de texte crypté, d'illustrations ... Pour bien appuyer l'aspect hétéroclite, la typographie change, c'est comme si on était en présence d'une sorte de dossier tombé par hasard entre nos mains. L'ensemble est baroque, jouant sur les ruptures de ton: tantôt sarcastique, tantôt angoissant (au détour de certaines pages, on se met à craindre de rencontrer un Calmar ou un champignien ...), léger, grave, ...
On trouve aussi bien dans La Cité des saints et des fous un conte qui rappelle Hoffmann que la monographie savante qui m'a bien fait rire, d'autant plus que, de formation, je suis habitué à ce type d'écrit. On y retrouve tous les excès propres à ce type d'écrit (je parle toujours, bien entendu de la monographie): le ton inutilement polémique (surtout quand on traite d'un sujet très pointu), la bibliographie monstrueuse, constituant à elle seule un livre en soi (et uniquement destiné au spécialiste qui ne la lit au fond que pour savoir s'il a raté un ouvrage important dernièrement sur son domaine de prédilection), le ton pompeux ... ( )
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"What can be said about Ambergris that has not already been said? Every minute section of the city, no matter how seemingly superfluous, has a complex, even devious, part to play in the communal life. And no matter how often I stroll down Albumuth Boulevard, I never lose my sense of the city's incomparable splendor--its love of ritual, its passion for music, its infinite capacity for the beautiful cruelty." --Voss Bender, Memoirs of a Composer, Vol. No. 1, page 558, Ministry of Whimsy Press
Dédicace
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For Ann, who means more to me than words
Premiers mots
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Dradin, in love, beneath the window of his love, staring up at her while crowds surge and seethe around him, bumping and bruising him all unawares in their bright-roughed thousands.
Citations
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A footnote on the purpose of these footnotes: This text is rich with footnotes to avoid inflicting upon you, the idle tourist, so much knowledge that, bloated with it, you can no longer proceed to the delights of the city with your customary mindless abandon.
Derniers mots
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The briny aftertaste is particularly unpleasant, reminiscent of the frequent (and didactic) postscripts Dr. V's mother added to the letters she sent him when he was a student at the Blythe Academy so many years ago.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Fantasy.
Fiction.
Short Stories.
HTML:
In City of Saints and Madmen, Jeff VanderMeer has reinvented the literature of the fantastic. You hold in your hands an invitation to a place unlike any you've ever visited--an invitation delivered by one of our most audacious and astonishing literary magicians.
City of elegance and squalor. Of religious fervor and wanton lusts. And everywhere, on the walls of courtyards and churches, an incandescent fungus of mysterious and ominous origin. In Ambergris, a would-be suitor discovers that a sunlit street can become a killing ground in the blink of an eye. An artist receives an invitation to a beheading--and finds himself enchanted. And a patient in a mental institution is convinced he's made up a city called Ambergris, imagined its every last detail, and that he's really from a place called Chicago....
By turns sensuous and terrifying, filled with exotica and eroticism, this interwoven collection of stories, histories, and "eyewitness" reports invokes a universe within a puzzlebox where you can lose--and find--yourself again.
From the Trade Paperback edition.
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Le livre de Jeff VanderMeer pour une fois tient la promesse d'être un livre monde. Nous allons nous immerger dans le monde fabuleux d'Ambregris avec son festival du Calmar géant, ses champigniens. Pour cela l'auteur utilise la technique du patchwork: le roman est en fait un ensemble volontairement hétéroclite de nouvelle, de monographie savante sur la calmarologie, de guide touristique, de texte crypté, d'illustrations ... Pour bien appuyer l'aspect hétéroclite, la typographie change, c'est comme si on était en présence d'une sorte de dossier tombé par hasard entre nos mains. L'ensemble est baroque, jouant sur les ruptures de ton: tantôt sarcastique, tantôt angoissant (au détour de certaines pages, on se met à craindre de rencontrer un Calmar ou un champignien ...), léger, grave, ...
On trouve aussi bien dans La Cité des saints et des fous un conte qui rappelle Hoffmann que la monographie savante qui m'a bien fait rire, d'autant plus que, de formation, je suis habitué à ce type d'écrit. On y retrouve tous les excès propres à ce type d'écrit (je parle toujours, bien entendu de la monographie): le ton inutilement polémique (surtout quand on traite d'un sujet très pointu), la bibliographie monstrueuse, constituant à elle seule un livre en soi (et uniquement destiné au spécialiste qui ne la lit au fond que pour savoir s'il a raté un ouvrage important dernièrement sur son domaine de prédilection), le ton pompeux ... ( )