AccueilGroupesDiscussionsPlusTendances
Site de recherche
Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.

Résultats trouvés sur Google Books

Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.

Chargement...

Double assassinat dans la rue Morgue (1841)

par Edgar Allan Poe

Autres auteurs: Voir la section autres auteur(e)s.

Séries: Auguste Dupin

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
7222331,168 (3.54)85
"The Murders in the Rue Morgue" is a short story by Edgar Allan Poe published in Graham's Magazine in 1841. It has been claimed as the first detective story; Poe referred to it as one of his "tales of ratiocination". Similar works predate Poe's stories, including Das Fräulein von Scuderi (1819) by E.T.A. Hoffmann and Zadig (1748) by Voltaire.C. Auguste Dupin is a man in Paris who solves the mysterious brutal murder of two women. Numerous witnesses heard a suspect, though no one agrees on what language was spoken. At the murder scene, Dupin finds a hair that does not appear to be human.As the first true detective in fiction, the Dupin character established many literary devices which would be used in future fictional detectives including Sherlock Holmes and Hercule Poirot. Many later characters, for example, follow Poe's model of the brilliant detective, his personal friend who serves as narrator, and the final revelation being presented before the reasoning that leads up to it. Dupin himself reappears in "The Mystery of Marie Roget" and "The Purloined Letter".… (plus d'informations)
Chargement...

Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre

Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre.

» Voir aussi les 85 mentions

Anglais (18)  Français (2)  Danois (1)  Espagnol (1)  Portugais (1)  Toutes les langues (23)
2 sur 2
Pourquoi ce livre?

Je me suis toujours promis de lire des nouvelles d’Edgar Allan Poe. Son nom figure sur cette liste imaginaire que presque tout grand lecteur garde en mémoire. Elle est souvent interminable et soyons honnêtes, inatteignable. L’auteur a souvent été personnifié dans des séries et des films de même que plusieurs de ses nouvelles ont été portés sur grand écran. J’avais donc une image quelque peu galvaudée par ces œuvres dérivés. Double assassinat dans la rue Morgue n’est donc pas ce à quoi je m’attendais.

Un premier aspect qui m’a plu :

Un horrible double assassinat a été commis. Le meurtrier semble avoir déployé une force surhumaine. Le génie du récit est la thèse qui se cache derrière l’aventure policière. Le but est non pas de trouver le meurtrier, mais plutôt de mettre en exergue la supériorité analytique de l’apprenti détective, Auguste Dupin. En d’autres mots, l’important est de mettre l’accent sur la méthode d’analyse soit la déduction. Incapables de résoudre l’affaire, les policiers sont aveuglés par la surface des faits, c’est-à-dire les apparences. Ils se perdent dans ce terrible chaos aux circonstances extraordinaires, au contraire de Dupin qui prouve par la déduction, qu’il est possible de retrouver un certain ordre ou la réalité. En effet, les faits ne sont jamais ce qu’ils laissent paraître.

Un second aspect qui m’a plu :

Tout aussi méticuleux que son personnage principal, Edgar Allan Poe s'est largement inspiré d’Eugène-François Vidocq (1775-1857), un détective français. D’ailleurs, Auguste Dupin note l’homme de patience qu’il était, tout en déplorant son manque de vision d’ensemble. À travers la nouvelle, le lecteur ne découvre pas seulement Vidocq, mais aussi, Georges Cuvier (1769-1832), un anatomiste français, ou encore, celui-ci plus célèbre, Charles Baudelaire (1821-1867) qui a traduit la nouvelle. (Poe, 1995, p. 64) Bien que les références soient succinctes, elle étoffe le portrait d’une époque; ils sont tous contemporains d’Edgar Allan Poe (1809-1849).

Un aspect qui m’a moins plu :

Il y a quelques années, une émission de télévision pour adolescents a dépeint Edgar Allan Poe comme un personnage lugubre, voire gothique. L’auteur devait y incarner son œuvre. Cette image m’est restée en tête. Ainsi, bien qu’elle ne soit pas dépourvue de mystère, je ne m’attendais pas à ce que la nouvelle soit aussi cartésienne. En effet, plusieurs pages sont consacrées aux dépositions des témoins, rapportées presque à la manière d’un télégraphe. Il ne s'agit pas de l’auteur d’atmosphère que je m’étais imaginé. Le danger avec les adaptations de tous genres, c’est qu’elles ne sont qu’une suggestion basée sur des interprétations personnelles. Toutefois, l’œuvre de Poe ne se limite pas à Double assassinat dans la rue Morgue et mes attentes de lectrice pourront certainement être comblées avec une nouvelle telle que La chute de la maison d’Usher.

L’objet livre :

Double assassinat dans la rue Morgue est l’une des quatorze nouvelles du recueil Histoires extraordinaires. L’édition est plutôt vieille (1995) et elle fait partie de la collection Jeunes de France Loisirs. Elle est donc destinée à un public adolescent. D’ailleurs, le lettrage est gros (14 points) et le titre du roman de même que les sous-titres ont une typographie ludique. Suite à de multiples déménagements et après avoir passé entre plusieurs mains, les pages ont commencé à jaunir légèrement et les coins sont racornis. Il n’y a qu’une seule image, celle de la page couverture. Elle représente deux hommes pris au piège dans un tourbillon d’eau glaciale d’où s’envolent des oiseaux affolés. La pleine lune est haute et la nuit est sombre. Le livre est dans un carton souple de couleur noire. Le ton des nouvelles s’amalgame ainsi à l’objet. Son apparence est tout aussi sombre que son contenu. Les nouvelles et l’objet livre, le tout réunit, donne presque le goût de se planquer sous les couvertures et de lire à la lumière de la lampe de poche. Aussi, la préface du livre est une dédicace écrite par Charles Baudelaire à sa mère et le résumé est une citation de Paul Valéry. Les dédicaces de ces auteurs procurent à l’objet un air solennel. Le lecteur tient entre ses mains, un recueil que les pairs de Poe reconnaissent. La dédicace la plus importante est sans aucun doute celle écrite par ma mère. Au-dessous de celle-ci, l’entrée du livre dans la maison familiale : le 19 novembre 1995. Une inscription qui rend l’expérience de lecture un brin nostalgique.

Poe, E. A. (1995). Double assassinat dans la rue Morgue. In Histoires extraordinaires (p. 9‑79). Paris: France loisirs. ( )
  jasmine6344a15 | Oct 13, 2015 |
Double Assassinat dans la rue Morgue met en scène le détective Dupin et un de ses amis, qui joue le rôle de narrateur. L’histoire se déroule à Paris, au XIXe siècle. Cependant, la plupart des lieux cités dans la nouvelle, dont la rue Morgue, n'existent pas. Le début de la nouvelle est une réflexion sur l'importance qu'on donne à l'analyse dans l'esprit humain. La suite est un exemple qui décrit l'incroyable capacité d'analyse de Dupin, qui devine à quoi pense son ami juste en observant ses mouvements en marchant dans la rue. Dupin et le narrateur apprennent alors qu'un meurtre déroute les policiers français : on a retrouvé les cadavres de deux femmes de la famille L'Espanaye, une mère et sa fille, vivant en vieilles filles dans un immeuble de la rue Morgue. Le corps de la fille présente des marques de strangulation et était violemment encastré dans le conduit de cheminée. Celui de la mère avait la gorge tranchée net, et se trouvait à moitié démembré sur les pavés de la cour derrière l'immeuble.
Or, il n'y a ni mobile pour le crime, ni même une explication plausible. Les fenêtres sont fermées et bloquées de l'intérieur mais personne n'a pu s'enfuir par la porte puisque des gens, entendant les cris, s'y sont précipités. Tous les témoins (les voisins ayant entendu une partie de la scène) s'accordent à dire qu'il y avait deux voix, dont une grave, parlant français ; mais personne n'a pu déterminer quelle était la deuxième. Dupin décide de résoudre l'affaire. Grâce à ses contacts dans la police, il peut fouiller le lieu du crime, et grâce aux indices, parvient à la conclusion que la voix inconnue n'est pas humaine. En effet, le meurtre est explicable si le coupable est... un orang-outan. Avec le sens de la mise en scène qui lui est propre, Dupin décide de mettre une annonce dans le journal signalant qu'il a retrouvé un orang-outan. Le soir même, un marin ayant signalé la disparition de son orang-outang vient le chercher chez Dupin. Ce dernier lui explique alors sa théorie. Confondu par les conclusions de Dupin, le maître avoue : c'est effectivement son primate le coupable, et c'est lui-même qui était la première voix (il l'avait poursuivi pour le rattraper et l'empêcher de faire une bêtise). "Wikipedia" ( )
  vdb | Jul 8, 2011 |
2 sur 2
aucune critique | ajouter une critique

» Ajouter d'autres auteur(e)s (31 possibles)

Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Edgar Allan Poeauteur principaltoutes les éditionscalculé
Case, DavidNarratorauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Quintanilha, MarcelloIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Est contenu dans

Fait l'objet d'une ré-écriture dans

Fait l'objet d'une adaptation dans

Est en version abrégée dans

A inspiré

Contient un guide de lecture pour étudiant

Vous devez vous identifier pour modifier le Partage des connaissances.
Pour plus d'aide, voir la page Aide sur le Partage des connaissances [en anglais].
Titre canonique
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Titre original
Titres alternatifs
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Date de première publication
Personnes ou personnages
Lieux importants
Évènements importants
Films connexes
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
Épigraphe
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
What song the Surens sang, or what name Achilles assumed when he hid himself among women, although puzzling questions are not beyond all conjecture. -- Sir Thomas Browne, Urn-Burial.
Dédicace
Premiers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
The mental features dicoursed of as the analytical, are, in themselves, but little susceptible of analysis.
Citations
Derniers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
This work is for the original short story, "The Murders in the Rue Morgue" by Edgar Allan Poe. It should not be combined with collections containing additional stories, adaptations, etc.
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Informations provenant du Partage des connaissances portugais (Brésil). Modifiez pour passer à votre langue.
Langue d'origine
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

Aucun

"The Murders in the Rue Morgue" is a short story by Edgar Allan Poe published in Graham's Magazine in 1841. It has been claimed as the first detective story; Poe referred to it as one of his "tales of ratiocination". Similar works predate Poe's stories, including Das Fräulein von Scuderi (1819) by E.T.A. Hoffmann and Zadig (1748) by Voltaire.C. Auguste Dupin is a man in Paris who solves the mysterious brutal murder of two women. Numerous witnesses heard a suspect, though no one agrees on what language was spoken. At the murder scene, Dupin finds a hair that does not appear to be human.As the first true detective in fiction, the Dupin character established many literary devices which would be used in future fictional detectives including Sherlock Holmes and Hercule Poirot. Many later characters, for example, follow Poe's model of the brilliant detective, his personal friend who serves as narrator, and the final revelation being presented before the reasoning that leads up to it. Dupin himself reappears in "The Mystery of Marie Roget" and "The Purloined Letter".

Aucune description trouvée dans une bibliothèque

Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Discussion en cours

Aucun

Couvertures populaires

Vos raccourcis

Évaluation

Moyenne: (3.54)
0.5
1 4
1.5
2 6
2.5 5
3 45
3.5 13
4 44
4.5 3
5 18

Est-ce vous ?

Devenez un(e) auteur LibraryThing.

 

À propos | Contact | LibraryThing.com | Respect de la vie privée et règles d'utilisation | Aide/FAQ | Blog | Boutique | APIs | TinyCat | Bibliothèques historiques | Critiques en avant-première | Partage des connaissances | 203,220,389 livres! | Barre supérieure: Toujours visible