AccueilGroupesDiscussionsPlusTendances
Site de recherche
Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.

Résultats trouvés sur Google Books

Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.

Chargement...

Les funérailles de la grande Mémé (1962)

par Gabriel Garcia Marquez

Autres auteurs: Voir la section autres auteur(e)s.

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
7691929,096 (3.63)10
Presents an anthology of eight short stories that illuminate the mythical world of Macondo.
Aucun
Chargement...

Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre

Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre.

» Voir aussi les 10 mentions

bon ( )
  Danielec | Jan 27, 2017 |
Il avait une barbe de deux semaines, les cheveux courts, durs et raides comme les crins d’un mulet, et avec cela un air de garçon apeuré. Mais c’était une fausse apparence. Il avait fêté ses trente ans en février, vivait avec Ursula depuis quatre ans, librement et sans enfants, et la vie lui avait apporté bien des raisons d’être vigilant mais non d’avoir peur. Il ne savait même pas que pour certaines personnes la cage qu’il venait de construire était la plus belle du monde. Pour lui, habitué à en fabriquer depuis son enfance, il s’était simplement agi d’un travail un peu plus difficile que les autres.
(p. 67, “Le merveilleux après-midi de Balthazar”).

Les funérailles de la Grande Mémé est probablement la nouvelle la plus connue de Gabriel Garcia Marquez. Publiée cinq ans avant son roman le plus célèbre, Cent ans de solitude, elle marque en effet l’invention d’un style que l’on appellera le réalisme magique et qui est vu comme la marque de fabrique des auteurs d’Amérique du Sud, comme l’arbre cachant la forêt.
Mais il serait dommage de résumer ce recueil à cette seule nouvelle qui le clôt. Les autres nouvelles sont certes de valeurs inégales (du moins je les ai appréciées à différents degrés), mais c’est une lecture plutôt agréable. J’ai eu l’impression de voir un écrivain en début de carrière s’essayant à différents styles et faisant ses gammes.
  raton-liseur | Jan 30, 2015 |
Les funérailles de la grande Mémé est considéré comme un tournant dans l’évolution de l’écriture de García Márquez puisque le réalisme magique, qui est la patte de cet auteur, commence à y prendre forme, et il n’y a pas à bouder son plaisir !
La grande Mémé fut une maîtresse femme qui, telle une reine colombienne, a dirigé son domaine seule, vierge et célibataire, d’une main sûre tout au long des circonvolutions du XXème siècle. Dans les apparences se contentant de prélever la taxe foncière de son encomienda, elle est aussi et surtout la garante d’une société hiérarchisée et sclérosée où le civilisé se sait sûr de son bon droit, et fier de sa place. Tout cela est bien sûr bien mieux décrit par la plume de García Márquez, comme une somme de petites touches qui semblent insignifiantes mais sont en réalité d’une ironie mordante…
Lorsque ce grand personnage meurt, son envergure dépasse finalement les limites de ses terres et c’est finalement une métaphore du pouvoir oligarchique qui a rendu l’âme, et auquel le Président et le Pape lui-même veulent rendre hommage. Situation rocambolesque, ridicule, qui est tout à la fois une critique acerbe du contexte colombien de l’époque et une réflexion sur la mort, le temps qui passe et la vanité des vivants.
D’un réalisme encore bien peu magique, cette nouvelle me semble plus facile á aborder que le monument inexpugnable qu’est Cent ans de solitude, et donne une bonne idée de la plume de García Márquez. Une bonne lecture à conseiller à ceux qui aiment déjà le célèbre Prix Nobel colombien, ainsi qu’à ceux qui ont été rebuté ou qui sont intimidés par ses œuvres plus connues, un peu comme une initiation ou une première marche vers la réalité toute particulière de García Márquez.
  raton-liseur | Jan 11, 2013 |
3 sur 3
aucune critique | ajouter une critique

» Ajouter d'autres auteur(e)s (9 possibles)

Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Gabriel Garcia Marquezauteur principaltoutes les éditionscalculé
Borghart, RietTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Cicogna, EnricoTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Fernández de la Mata, B.J.Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Fernández, TineTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Fiege, AnitaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Glastra van Loon, AlineTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Meyer-Clason, CurtTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Meyer-Clason, CurtDirecteur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Nordenhök, JensTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Puccini, DarioAvant-proposauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Roos, AnnekeTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Söderberg, LasseTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Westra, MiekeTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Vous devez vous identifier pour modifier le Partage des connaissances.
Pour plus d'aide, voir la page Aide sur le Partage des connaissances [en anglais].
Titre canonique
Titre original
Titres alternatifs
Date de première publication
Personnes ou personnages
Lieux importants
Informations provenant du Partage des connaissances espagnol. Modifiez pour passer à votre langue.
Évènements importants
Films connexes
Épigraphe
Dédicace
Premiers mots
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue.
La siesta del martes (1962)

El tren salió del trepidante corredor de rocas bermejas, penetró en las plantaciones de banano, simétricas e interminables, y el aire se hizo húmedo y no se volvió a sentir la brisa del mar. Una humareda sofocante entró por la ventanilla del vagón. En el estrecho camino paralelo a la vía férrea había carreta de bueyes cargadas de racimos verdes. Al otro lado del camino, en intempestivos espacios sin sembrar, había oficinas con ventiladores eléctricos, campamentos de ladrillos rojos y residencias con sillas y mesitas blancas en las terrazas entre palmeras y rosales polvorientos. Eran las once de la mañana y aún no había empezado el calor.
Citations
Derniers mots
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
Informations provenant du Partage des connaissances néerlandais. Modifiez pour passer à votre langue.
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

Aucun

Presents an anthology of eight short stories that illuminate the mythical world of Macondo.

Aucune description trouvée dans une bibliothèque

Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Discussion en cours

Aucun

Couvertures populaires

Vos raccourcis

Évaluation

Moyenne: (3.63)
0.5
1 2
1.5 1
2 8
2.5
3 23
3.5 10
4 41
4.5 1
5 15

Est-ce vous ?

Devenez un(e) auteur LibraryThing.

 

À propos | Contact | LibraryThing.com | Respect de la vie privée et règles d'utilisation | Aide/FAQ | Blog | Boutique | APIs | TinyCat | Bibliothèques historiques | Critiques en avant-première | Partage des connaissances | 205,155,698 livres! | Barre supérieure: Toujours visible