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Chargement... Harry Potter and the Cursed Child - Parts One & Two (Special Rehearsal Edition Script): The Official Script Book of the Original West End Production (édition 2016)par J. K. Rowling (Auteur)
Information sur l'oeuvreHarry Potter et l'enfant maudit par J. K. Rowling
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Cette huitième aventure d'Harry Potter est avant tout une pièce de théâtre. Dés lors, il ne faut pas s'attendre à quelque chose d'approchant la profondeur des romans. Ici, pas le temps de développer les intrigues, les personnages, les auteurs vont à l'essentiel. Néanmoins, ils ont réussi à imaginer une aventure palpitante, qui nous transporte de la même manière que les romans. On prend tout autant de plaisir à suivre les aventures d'Albus et Scorpius que l'on prenait à suivre celles d'Harry, Ron et Hermione. Et nous n'avons pas l'image. Les heureux spectateurs de la pièce de théâtre ont du assister à un spectacle des plus intéressants. À recommander aux lecteurs des sept premiers romans, ils devraient vraiment l'apprécier.
Un constat s'impose : c'est forcément beaucoup moins riche que les romans - on s'ennuie de la plume de Rowling et des passages plus narratifs. D'accord, rien de tout cela n'a l'impact d'un «vrai» Harry Potter. Mais il fait tellement bon se promener dans ce monde-là, soulever le rideau pour découvrir anecdotes et secrets bien gardés! Christian Bos ahnt es schon, Harry Potter gibt es künftig nur noch als Spektakel. Wenn nun J.K. Rowling, John Tiffany und Jack Thorne den offiziellen achten Teil der Saga vorlegen, macht Bos erst einmal klar, dass es sich nicht um einen Roman, sondern um die Textfassung zu dem Stück handelt, das derzeit am Londoner Palace-Theatre läuft, und zwar auch nur um die Probenfassung, die Endfassung erscheint, gewinnträchtigerweise, dann demnächst. Zum Inhalt verrät Bos dies: Harry, 19 Jahre nach seinem Sieg über Voldemort, bringt seinen Sohn zum Zug ins Zauberinternat, der aber hat einen gewöhnungsbedürftigen neuen Freund: Scorpius Malfoy, einziger Sohn Dracos. Da muss sich Bos erst einmal kneifen. Der Rest der Story scheint ihm vor allem von Zeitreisen in die gute alte Zauberwelt zu leben. Das Original erreicht der Text nicht, meint Bos. Und wer liest schon gern Regieanweisungen? Le temps d’une lecture souvent avalée d’une traite, on assiste à des retrouvailles dans le ton et non dénuées d’émotion, à défaut de faire renaître tout à fait la même magie que celle déployée par Rowling par le passé. It’s ambitious, studded with predictable and consequently satisfying twists that reach a critical mass in the finale. This feels very much like Rowling ... Even in the relatively fixed future where most of Cursed Child takes place, the characters are the right degree of surprising. Harry Potter himself has been so thoroughly, faithfully imagined since 1997 that it’s satisfying to see him as a crappy father and an awkward bureaucrat ... Without set decoration, it cleanly shows the moral imagination of the Harry Potter universe, in which goodness is circumstantial and endings are never guaranteed. Appartient à la sérieHarry Potter (8) Prix et récompensesDistinctionsListes notables
"Être Harry Potter n'a jamais été facile et ne l'est pas davantage depuis qu'il travaille au coeur des secrets du Ministère de la Magie. Marié et père de trois enfants, Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, tandis que son fils Albus affronte le poids d'un héritage familial dont il n'a jamais voulu. Quand passé et présent s'entremêlent dangereusement, père et fils se retrouvent face à une vérité : les ténèbres surviennent parfois des endroits les plus inattendus." [Source : 4e de couv.] Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)822.92Literature English & Old English literatures English drama 1900- 2000-Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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C’est dire si j’étais décidée à ne pas acheter ce huitième tome même si je savais que je le lirais un jour. Pourtant j’ai fini par l’acheter, maintenant qu’il est en poche (je ne veux pas être une vache à lait, j’avais déjà été assez en colère quand à partir du quatrième tome les livres étaient sortis en grand format bien chers alors que les précédents étaient des poches bien pratiques et suffisamment chers pour des jeunes lecteurs).
M’y voilà donc. La fameuse suite à laquelle personne n’osait croire, avec l’approbation de J.K. Rowling en personne. Certes ce n’est pas elle l’auteur, certes c’est une pièce de théâtre et le style de narration va être bien différent. Certes… J’étais prévenue et, contre toute attente, j’ai commencé cette lecture de façon plutôt bienveillante, n’attendant pas qu’elle soit à la hauteur des 7 tomes originaux. Et malgré cette bienveillance initiale, je ressors plus que mitigée de cette lecture.
J’ai passé un bon moment de lecture, je ne le nie pas. Ce n’est pas désagréable de retrouver des personnages qu’on a suivi sur quelques milliers de pages, même s’ils n’ont pas toujours évolué comme on s’y serait attendu. Mais je n’ai pas bien compris le thème de cette histoire. Il est question de la difficile relation entre un père et un fils, accentuée par la célébrité (positive ou négative) du premier. Intéressant, un point de départ plutôt original et bien vu. Mais après, c’est la grosse artillerie pour réussir à en tirer quelque chose, et ce sont les incohérences qui s’enchaînent les unes après les autres, même pour moi qui ne suis pas une experte du monde potterien. Toute cette histoire autour des retourneurs de temps sent plus la facilité que la cohérence et c’est bien dommage.
Il faut se rendre à l’évidence, il n’y aura pas de suite à Harry Potter. Il faut aussi se consoler en se disant que si c’est difficile à admettre, c’est probablement pour le mieux. Je ne suis pas une fan, donc la fanfiction, ça ne marche pas sur moi. Un livre à classer dans les produits dérivés, et donc plus fait pour nous transformer en vache à lait, et cette fois je me suis fait avoir, même si c’est en poche.