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Soudain jaillirent du sol des formes ténébreuses : silhouettes immenses, robes noires, masques d'acier étincelant. Elles avaient surgi à l'endroit le plus inattendu, entre les rangs mêmes de l'armée. Un jeune chevalier mimbraïque en avisa une à ses côtés et sabra. À l'instant où sa lame traversait l'ombre, il fut frappé par la foudre. Des tourbillons de fumée s'élevèrent des fentes de son ventail et il grilla dans son armure. Ce'Nedra, la Fiancée de Lumière, crispa la main sur son amulette et ferma les yeux : "Aide-nous, Belgarath ! Nous allons être écrasés !" À quoi servait de l'appeler ? Sans doute avait-il atteint la Cité de la Nuit, où Torak s'éveillait au milieu des ruines. L'immense geste s'achevait dans le fracas des armes, et l'enfant de la prophétie n'est pas prêt. La guerre de sept mille ans allait finir par la victoire du Dieu-Dragon des Angaraks ! [Source : 4e de couv.]… (plus d'informations)
En cinq tomes, le cycle de la Belgariade a fini par me séduire. Il m’en a fallu pour digérer le tissu de stéréotypes déployé par l’auteur tout au long de cette saga : du petit garçon innocent destiné à sauver le monde, aux magiciens tout puissants en passant par les artefacts sacrés, les armées titanesques et j’en passe, David Eddings nous en a fait voir de toutes les couleurs. Pourtant, en dépit de ces clichés usés jusqu’à la corde et de ce pillage du Seigneur des Anneaux, on se retrouve piégé dans la toile. Les personnages tout d’abord, totalement convaincants et crédibles (Belgarath le vieux loup de mer tatillon, Polgara la femme libérée et épanouie, Silk le voleur au grand cœur et à l’humour décapant, etc.) sont attachants et bien développés tout au long des cinq tomes (merci à sa femme Leigh pour les personnages féminins). Les dialogues ensuite, souvent drôles et vifs, entretiennent l’intérêt d’une histoire un peu falote. Ce dernier tome, comme le précédent, rehausse largement le niveau de la Belgariade. Les rebondissements se font bien plus nombreux et on note un net progrès dans la structure narrative du roman. La séparation des personnages alliée à la partie d’échecs que se livrent les deux camps donne une dimension intéressante à l’ouvrage. Le jeu entre les différentes nations génère des queues d’intrigues politiques pas désagréables. Enfin, Eddings s’avère très doué dans la description de la guerre : cruelle sans verser dans le mélodrame, La fin de partie de l’enchanteur recèle quelques moments poignants. La qualité de ce tome devrait vous pousser à lire la Belgariade jusqu’au bout : tenez bon, ça vaut le coup. ( )
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And finally, for Leigh, my beloved wife, whose hand and thought have touched every page, and who has joined me in this making - even as she joins me in all that I do.
Premiers mots
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Being an account of beginnings - and endings. - excerpts from The Book of Torak*
Hear me, ye Angaraks, for I am Torak, Lord of Lords and King of Kings.
*Editor's note: This version, said to be from the dread Book of Torak, is one of several circulated among the Nadraks. Since only the high Grolims were permitted official copies of the work, it is impossible to establish that this version is authentic, though internal evidence suggests that much of it may be. A true copy of the complete Book of Torak is believed to be in the library of King Anheg of Cherek, but this was not available for comparison.
There was, Garion decided, something definitely mournful about the sound of mule bells.
Citations
Derniers mots
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Then he chuckled and went out, quietly closing the door behind him.
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Aucun
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Soudain jaillirent du sol des formes ténébreuses : silhouettes immenses, robes noires, masques d'acier étincelant. Elles avaient surgi à l'endroit le plus inattendu, entre les rangs mêmes de l'armée. Un jeune chevalier mimbraïque en avisa une à ses côtés et sabra. À l'instant où sa lame traversait l'ombre, il fut frappé par la foudre. Des tourbillons de fumée s'élevèrent des fentes de son ventail et il grilla dans son armure. Ce'Nedra, la Fiancée de Lumière, crispa la main sur son amulette et ferma les yeux : "Aide-nous, Belgarath ! Nous allons être écrasés !" À quoi servait de l'appeler ? Sans doute avait-il atteint la Cité de la Nuit, où Torak s'éveillait au milieu des ruines. L'immense geste s'achevait dans le fracas des armes, et l'enfant de la prophétie n'est pas prêt. La guerre de sept mille ans allait finir par la victoire du Dieu-Dragon des Angaraks ! [Source : 4e de couv.]
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Pourtant, en dépit de ces clichés usés jusqu’à la corde et de ce pillage du Seigneur des Anneaux, on se retrouve piégé dans la toile. Les personnages tout d’abord, totalement convaincants et crédibles (Belgarath le vieux loup de mer tatillon, Polgara la femme libérée et épanouie, Silk le voleur au grand cœur et à l’humour décapant, etc.) sont attachants et bien développés tout au long des cinq tomes (merci à sa femme Leigh pour les personnages féminins). Les dialogues ensuite, souvent drôles et vifs, entretiennent l’intérêt d’une histoire un peu falote.
Ce dernier tome, comme le précédent, rehausse largement le niveau de la Belgariade. Les rebondissements se font bien plus nombreux et on note un net progrès dans la structure narrative du roman. La séparation des personnages alliée à la partie d’échecs que se livrent les deux camps donne une dimension intéressante à l’ouvrage. Le jeu entre les différentes nations génère des queues d’intrigues politiques pas désagréables. Enfin, Eddings s’avère très doué dans la description de la guerre : cruelle sans verser dans le mélodrame, La fin de partie de l’enchanteur recèle quelques moments poignants. La qualité de ce tome devrait vous pousser à lire la Belgariade jusqu’au bout : tenez bon, ça vaut le coup. ( )