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Chargement... L'ombre castratrice de saint Garta (1993)par Milan Kundera
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Au fil des neuf parties indépendantes de cet essai, les mêmes personnages reviennent et se croisent : Stravinski et Kafka avec leurs curieux amis Janacek et Hemingway ; Rabelais et ses héritiers, les grands romanciers. L'art du roman est le héros principal du livre : l'esprit de l'humour dont il est né ; sa mystérieuse parenté avec la musique ; son histoire qui se déroule (comme celle de la musique) en trois temps ; l'esthétique du troisième temps (le roman moderne). Et la sagesse existentielle du roman. Sous son éclairage sont examinées les grandes situations de notre ère : les procès moraux intentés contre l'art du siècle l'indiscrétion généralisée annonçant le crépuscule de l'individualisme ; les testaments trahis (de l'Europe, de l'art, de l'art du roman, des auteurs). Prix de la Société des compositeurs américains pour le meilleur livre sur la musique. aucune critique | ajouter une critique
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Cet essai est e crit comme un roman : au fil de neuf parties inde pendantes, les me mes personnages passent et se croisent : Stravinski et Kafka avec leurs curieux amis, Ansermet et Brod ; Hemingway avec son biographe ; Janacek avec sa petite nation ; Rabelais avec ses he ritiers : les grands romanciers. Car l'art du roman est le he ros principal du livre : l'esprit de l'humour dont il est ne ; sa myste rieuse parente avec la musique ; son histoire qui se de roule (comme celle de la musique) en trois temps ; l'esthe tique de son troisie me temps (le roman moderne) ; sa sagesse existentielle. C'est sous l'e clairage de cette "sagesse du roman" que le livre examine les grandes situations de notre e re ; les proce s moraux intente s contre l'art du sie cle, de Ce line a Mai akovski ; le temps qui passe et rend incertaine l'identite du "moi" pre sent avec ce me me "moi" d'hier ; le souvenir comme forme de l'oubli ; la pudeur comme notion essentielle d'une e poque fonde e sur l'individu ; l'indiscre tion qui, devenue habitude et re gle, annonce le cre puscule de l'individualisme ; la force myste rieuse de la volonte d'un mort ; les testaments ; les testaments trahis (de l'Europe, de l'art, de l'art du roman, des artistes). [Source : 4e de couv.] Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)809.3Literature By Topic History, description and criticism of more than two literatures FictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Se reporter à la critique de Jean DÉSY
In: (1994). Compte rendu de [Essais étrangers]. Nuit blanche, (55), p. 27… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/19576ac