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Chargement... Oblomov (1859)par Iwan Gontscharow
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. L'histoire d'Oblomov, un jeune dandy paresseux, qui a du mal à se lever de son canapé. Il reçoit la visite de ses amis qui l'incitent à sortir avec eux pur profiter de la vie, mais il refuse toute invitation. Un jour, lassé de son état, il finit par sortir et finit par rencontrer l'amour, ce qui va bouleverser sa vie. Un roman très drôle. Chef d'oeuvre du roman russe, encensé par Tolstoi et Dostoievsky. Peut-être est-ce la traduction, mais je suis passé complètement à côté : je me suis arrêté à la page 138. Oblomov reçoit les uns à la suite des autres des voisins ou amis, chacun caricature de l'homme actif. Lui-même est une caricature du fénéant procrastinateur, et son valet caricature de... valet. Le roman se rapprocherait donc d'une farce, mais il ne m'a pas tiré un sourire. Le style est pauvre. Le caractère d'Oblomov a sans doute déteint sur le mien car je n'ai vraiment pas le courage de pousser plus loin ma lecture.
In a world of planners Oblomov plans himself to sleep. In a world of action he discovers the poetry of procrastination. In a world of passion he discovers the delicacies of reluctance. And when we reject his passivity he bears our secret desire for it like a martyr. For us he sleeps, for us he lies in bed daydreaming, for us his mind goes back to the Arcadia of childhood, drinking the opiate of memory. For our sakes who live in clean rooms and who jump out of bed when the alarm clock goes, Oblomov lies among his cobwebs and his fleas, his books unread, his ink dry in the bottle, his letters unanswered. While we prosper, he is cheated... There is a transcendent gentleness, an ineffable prosaic delicacy, in the book. But we can’t get away from it; the second part, although benign and moral, is dull... The undertone of dream and fairy-tale runs through the book like the murmur of a stream, so that to call Goncharov a realist is misleading. Oblomov himself becomes one of those transfigured characters which have grown over a long period of writing, which exist on several planes, and which go on growing in the mind after the book is put down. Now he seems to symbolise the soul, now he i£ the folly of idleness, now he is the accuser of success. He is an enormous character. Appartient à la série éditorialeAlba Clásica (29) Biblioteca Júcar (90) Everyman's Library (878) — 13 plus Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Oblomov, apr?s sa jeunesse et ses r?ves, a rev?tu sa robe de chambre et s'est couch? dans son lit pour ne plus en sortir. Il songe ? toute cette vie incessante qui bruit au-dehors de chez lui, envisage de lire des livres qu'il n'ouvrira jamais ou d?laissera apr?s deux pages, imagine pour son domaine des plans qu'il ne mettra jamais en uvre, et gronde son domestique Zahar qui ne cesse d'?garer ses lettres et son papier et de g?ner la cr?ativit? de son g?nial ma?tre. Son ami, l'?nergique Stolz, lui fait conna?tre la jeune et belle Olga et tente une derni?re fois de le rendre ? la vie : Maintenant ou jamais ! Roman de m urs et portrait satirique de la noblesse russe, Oblomov est une figure embl?matique de la Russie et un des grands romans du XIXe si?cle. Traduction int?grale de Jean Lecl?re, 1946. EXTRAIT Dans la rue Gorokhova?a?; dans une de ces grandes maisons dont les locataires auraient suffi ? peupler un chef-lieu d'arrondissement?; dans son appartement, et dans son lit, se trouvait un matin, Ilia-Ilitch Oblomov. C'?tait un homme de trente-deux ou trente-trois ans, de taille moyenne, ? la figure agr?able, aux yeux gris fonc?s?; mais on e?t vainement cherch? ? lire sur ses traits la d?termination ou la profondeur de la pens?e. Celle-ci, comme un oiseau en libert?, glissait sur son visage, voltigeait dans ses yeux, se posait sur ses l?vres entrouvertes, se nichait dans les plis du front, puis disparaissait. Alors, toute la figure d'Ilia-Ilitch Oblomov s'illuminait d'un doux reflet d'insouciance. De l?, l'insouciance se manifestait dans les poses de tout le corps, et jusque dans les plis de la robe de chambre... ? PROPOS DE L'AUTEUR Ivan Aleksandrovitch Gontcharov, n? ? Simbirsk le 6 juin 1812 et mort ? Saint-P?tersbourg le 15 septembre 1891, est un ?crivain russe. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)891.733Literature Literature of other languages Literature of east Indo-European and Celtic languages Russian and East Slavic languages Russian fiction 1800–1917Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. Penguin AustraliaUne édition de ce livre a été publiée par Penguin Australia. » Page d'information de la maison d''édition Yale University PressUne édition de ce livre a été publiée par Yale University Press. » Page d'information de la maison d''édition Seven Stories Press2 éditions de ce livre ont été publiées par Seven Stories Press. Éditions: 1583228403, 1583229868 |
> Entre les lignes, 7 (2), pp. 24–25 : https://id.erudit.org/iderudit/62397ac
> Le Livre de Poche (celiatas) : https://fr.calameo.com/books/0043038443afedcb9a996
> Partisan de la position allongée, Oblomov ne trouve le bonheur que dans le sommeil. Ni son ami Stolz, incarnation de l'énergie et de l'esprit d'entreprise, ni la belle Olga avec qui se nouera l'embryon d'une idylle, ne parviendront à le tirer de sa léthargie. Entreprendre et aimer sont décidément choses
trop fatigantes. Grand roman de mœurs, Oblomov offre une satire mordante des petits fonctionnaires et des barines russes. La première partie du texte constitue un véritable morceau de bravoure, irrésistible de drôlerie, décrivant les multiples tentatives toutes vouées à l'échec d'Oblomov pour sortir de son lit. La profondeur du roman et la puissance du personnage n'ont pas échappé à des philosophes comme Levinas. L'inertie du héros est moins une abdication que le refus farouche de tout
divertissement. L'humour et la poésie sont au service d'une question que Gontcharov laisse ouverte : et si la paresse, après tout, était moins un vice qu'une forme de sagesse ?
—Pauline Hamon (Culturebox)
> Tolstoï adorait le roman de Gontacharov, Oblomov. Il trouvait que l'auteur avait su créer par le biais de son personnage un type de caractère nouveau. Ainsi Oblomov entra dans l'histoire de la littérature et de la vie courante au même titre qu'un Tartuffe ou qu'une Madame Bovary. Oblomov est un propriétaire terrien vivant à Saint-Pétersbourg à qui rien n'arrive tant notre héros est mou, flemmard à un point jamais atteint, pathologiquement paresseux. Rien n'arrive jamais, ou presque. Une chance inespérée se présente un jour dans la vie d'Oblomov. La belle Olga, introduite par l'ami d'enfance d'Oblomov, Stolz, se laisse a priori séduire par le riche propriétaire terrien. Mais notre héros arrivera-t-il à partir vers la conquête amoureuse ou restera-t-il terré dans son vice, l'apathie ?
Le génie de Gontcharov est d'amener le lecteur à comprendre et à aimer ce vrai roi feignant. Oblomov, c'est vous, c'est nous tous réunis dans un roman psychologique drôle et décalé. Un monument de la littérature russe à ne pas laisser dormir sur une étagère.
—Denis Gombert, Amazon.fr