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The Nun (Oxford World's Classics) par Denis…
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The Nun (Oxford World's Classics) (original 1796; édition 2005)

par Denis Diderot (Auteur), Russell Goulbourne (Traducteur)

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1,3802213,520 (3.68)1 / 68
La novice rebellebeau, intense, merveilleux LE FIGAROLe roman La Religieuse" de Denis Diderot fut publie pour la premiere fois en 1792 a titre posthume. Le roman etait predestine a etre porte a l'ecran. Cependant, la premiere adaptation de Jacques Rivette (1966) fut aussitot victime de la censure. Dans son livre sur une femme qui est devenue novice malgre elle, Diderot fait le proces des institutions religieuses coercitives et des consequences negatives qu'elles peuvent avoir sur les individus et la societe. Recemment, Guillaume Nicloux a de nouveau adapte le roman scandaleux qui ne cesse de fasciner les lecteurs. Voici la nouvelle edition du celebre roman de Denis Diderot publie a l'occasion de la sortie du film en mars 2013.Cette uvre fait partie de la serie TREDITION CLASSICS. La maison d'edition tredition, basee a Hambourg, a publie dans la serie TREDITION CLASSICS des ouvrages anciens de plus de deux millenaires. Ils etaient pour la plupart epuises ou uniquement disponibles chez les bouquinistes. Avec sa serie TREDITION CLASSICS, tredition a comme but de mettre a disposition des milliers de classiques de la litterature mondiale dans differentes langues et de les diffuser dans le monde entier.… (plus d'informations)
Membre:burritapal
Titre:The Nun (Oxford World's Classics)
Auteurs:Denis Diderot (Auteur)
Autres auteurs:Russell Goulbourne (Traducteur)
Info:Oxford University Press (2005), 234 pages
Collections:Votre bibliothèque, En cours de lecture
Évaluation:**
Mots-clés:Aucun

Information sur l'oeuvre

La Religieuse par Denis Diderot (Author) (1796)

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 Literary Centennials: Diderot - The Nun1 non-lu / 1StevenTX, Mars 2013

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> Par Patrick (livres-anciens-numerises...) : La Religieuse par Denis Diderot
Au XVIIIe siècle, une jeune fille nommée Suzanne Simonin est contrainte par ses parents de prononcer ses vœux au terme de son noviciat... C’est dans la communauté des clarisses de Longchamp qu’elle rencontre la supérieure de Moni. Celle-ci, une mystique, se lie d’amitié avec la jeune fille avant de mourir. La période de bonheur et de plénitude s’achève pour l’héroïne avec l’arrivée d’une nouvelle supérieure : Sainte-Christine. Au courant que Suzanne désire rompre ses vœux et que pour ce faire, elle a intenté un procès à la communauté, la supérieure opère un véritable harcèlement moral et physique sur Suzanne. L'infortunée subit de l’ensemble de la communauté, à l’instigation de la supérieure, une multitude d’humiliations physiques et morales.
  Joop-le-philosophe | Dec 14, 2018 |
Bof. Une histoire terrible de harcèlement dans un couvent, malheureusement avec un essai d'érotisme sans doute osé à l'époque de l'écriture du roman mais qui tombe à plat aujourd'hui. ( )
  Louve_de_mer | Mar 16, 2013 |
Ce livre est dans ma Pile À Lire depuis 1998. Ma prof de français de seconde (elle portait très mal son nom : elle était aussi joyeuse qu’un jour d’enterrement) nous a parlé de La Religieuse de Diderot en nous expliquant que l’héroïne était rousse car elle était le fruit du péché et que sa famille l’avait enfermée dans un couvent pour expier les péchés de la famille entière. J’avais dit à ma mère (c’était elle qui achetait les livres à l’époque) que cela avait l’air trop bien cette histoire et qu’il fallait qu’on l’achète pour la lire (parce que nous n’avions pas de bibliothèque familiale à l’époque ; j’ai réparé cela depuis). Voyage suivant à Gibert Jeune (nous n’avions pas encore découvert Gibert Joseph) : on le trouve d’occasion dans une édition publiée en 1989. Nous le prenons. Je rentre à la maison. Je l’ouvre. Je lis trois pages (en témoigne des notes parce que la même prof de français nous avait dit qu’il était important de faire des fiches sur les classiques). Je le referme parce que je trouve ça chiant. Maintenant, vous comprenez pourquoi je me suis dirigée vers des études scientifiques.

2012. Ys met dans son challenge ce livre. Pensant avoir légèrement progressé intellectuellement, je me dis que c’est le moment de le lire pour le sortir de mes piles. Cela a marché ! J’ai trouvé que le roman était excellent mais je n’ai absolument pas vu où il était que l’héroïne Suzanne Simonin était rousse (soit j’ai mal lu (j’étais très concentré pour trouver ce fameux détail pourtant) soit même la prof de français ne l’avait pas lu).

Je l’ai lu en partie en version électronique sur la bibliothèque électronique du Québec et en partie dans l’édition du livre de poche que ma maman m’avait achetée. Je commence donc par la version électronique. La première phrase est assez énigmatique puisqu’il est écrit

La réponse de M. le marquis de Croismare, s’il m’en fait une, me fournira les premières lignes de ce récit.

Je me suis demandée qui était ce marquis et j’ai passé. Il s’avère dans la suite que Suzanne Simonin nous raconte son histoire. Ses parents avaient trois filles dont elle. Le problème est que sa mère n’avait pas couché avec son père pour l’avoir (mais avec un autre homme rassurez vous) et qu’elle s’en est repenti toute sa vie. Il paraît que d’après la Bible les enfants paient les péchés de leurs parents. La mère décide donc que les deux “vraies” filles seront favorisées. Elle enferme Suzanne au couvent. Pendant ce temps, elle marie les deux autres avec des dots très importantes (quitte à ruiner les chances de mariage de Suzanne). Pour l’héritage, au moment du décès, il en sera de même.

Mais les deux filles une fois mariées, il n’est pas question de sortir Suzanne du couvent. Elle doit prendre l’habit de gré ou de force. Au terme de son noviciat, elle ne veut pourtant pas. Avec un chantage affectif, cependant, sa mère arrivera à ses fins (la narratrice sera plus ou moins forcée à dire oui). Suzanne intentera un procès pour que ses vœux soient déclarés comme faux. Il s’ensuivra alors des persécutions physiques et psychiques. Elle ne gagnera pas mais sera changé de couvent : elle passera de Longchamp à Sainte-Eutrope près d’Arpajon. Ce ne sera pas beaucoup mieux car elle s’attire les assiduités de sa Supérieure (celle-ci étant très amoureuse), qui est d’humeur changeante et pour qui Dieu n’est pas une priorité. Elle réussira à s’enfuir (même si cela ressemble un peu à un enlèvement). Elle écrira alors ce mémoire pour solliciter l’aide du marquis de Croismare.

Tout au long du texte, on découvre plusieurs choses : le sort qui était réservé aux jeunes filles à l’époque mais aussi le fait que les religieuses restent avant tout humaines et peuvent donc avoir tous nos traits de caractères. Sœur Suzanne connaîtra trois Supérieures : une “ascétique”, une “cupide” et une “d’une sensualité éperdue qui fait vivre tout le couvent en fête” (ces termes viennent de la quatrième de couverture du livre de poche). Ses consœurs ne sont pas épargnées car elles peuvent être gentilles tout autant que jalouses et perverses. Diderot nous dépeint aussi très bien un esprit de groupe qui est très fort : une fois que l’on a trouvé une bouc-émissaire, on tape dessus ! D’après Diderot, cet effet de groupe est encore accentué par le fait que les religieuses sont oisives et recluses.

Ce que j’ai aimé tout au long de ce texte, c’est l’impression d’intimité, de vérité, de sincérité et de candeur qui s’en dégage. On n’a jamais l’impression d’une charge contre la vie dans les couvents (et pourtant s’en est une). Cela fait vrai. L’écriture est des plus agréables et compréhensibles (il n’y a pas besoin de notes de bas de pages ou de fin d’ouvrage pour comprendre le livre). Cela prouve que j’ai progressé depuis la seconde.

Au cours de la lecture, il faut garder en tête que l’histoire est inspirée d’un fait réel, celui de Marguerite Delamarre (1758) et que la sœur de Diderot est morte au couvent à l’âge de 29 ans.

Une fois fini le livre électronique fini, j’ai ouvert le livre papier car il y avait une postface constituée de lettres entre Suzanne Simonin, le marquis de Croismare et une Madame Madin. Naïvement, je croyais que cela faisait partie du livre mais en fait non. C’est plutôt des lettres qui expliquent le contexte de la création du livre. Le livre a été commencé en 1760 dans un contexte bien particulier. Diderot et ses amis voulaient attirés de nouveau le marquis de Croismare car il leur manquait depuis qu’il s’était “exilé” en Normandie. Ayant porté intérêt au cas de Marguerite Delamarre, ils sont utilisés ce fait pour essayer de faire bénéficier la religieuse de ses bontés en sollicitant son aide. Le truc est que cela n’a pas marché pour diverses raisons et qu’ils ont dû se dénoncer (le marquis l’ayant bien pris ; on est homme de bien ou on ne l’est pas). Pourtant Diderot gardera cette histoire en tête et retravaillera les mémoires fictives de Suzanne en 1780. Une partie en sera publié en feuilleton entre 1780 et 1782 et le tout à titre posthume (il avait déjà eu des ennuis avec l’Église) en 1796.

Si vous lisez ce livre (ou si vous l’avez lu), j’espère que vous me direz où est-ce qu’il est dit que l’héroïne est rousse (si c’est vrai). ( )
  CecileB | Aug 9, 2012 |
Publié sans nom d'auteur, Interdit il y a quelques années au cinéma, La Religieuse fait toujours scandale ; or, ce livra, disait Montherlant, ' est à peine licencieux et n'est pas du tout frivole mais au contraire très grave '. Inspiré par une histoire vécue, Diderot imagine que la religieuse Suzanne Simonie raconte ses mésaventures en 1760. Spoliée de sa dot, elle séjourne dans trois couvents successifs. La première supérieure est cupide, la deuxième est ascétique, la troisième est d'une sensualité éperdue qui fait vivre tout le couvent en fête. Diderot décrit ce qui arrive lorsqu'on contredit 'la pente générale de la nature '. «Je ne crois pas qu'on ait écrit une plus effroyable satire des couvents », disait-il. La Religieuse est aussi et surtout une chaleureuse apologie de la liberté individuelle.
  vdb | Aug 14, 2010 |
Publié sans nom d'auteur, Interdit il y a quelques années au cinéma, La Religieuse fait toujours scandale ; or, ce livra, disait
Montherlant, " est à peine licencieux et n'est pas du tout frivole
mais au contraire très grave ".
Inspiré par une histoire vécue, Diderot imagine que la religieuse Suzanne Simonie raconte ses mésaventures en 1760. Spoliée de sa dot, elle séjourne dans trois couvents successifs. La première supérieure est cupide, la deuxième est ascétique, la troisième est d'une sensualité éperdue qui fait vivre tout le couvent en fête. Diderot décrit ce qui arrive lorsqu'on contredit "la pente générale de la nature ". «Je ne crois pas qu'on ait écrit une plus effroyable satire des couvents », disait-il. La Religieuse est aussi et surtout une chaleureuse apologie de la liberté individuelle. ( )
  vdb | Aug 13, 2010 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Diderot, DenisAuteurauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Alberts, A.Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Bianconi, PietroTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Birrell, FrancisTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Di Giorgio, AntonioTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Furbank, P. N.Introductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Hauf, AlbertoTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Tancock, LeonardTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Épigraphe
Dédicace
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The Marquis de Croismare's reply, if he does reply, will serve as the opening lines of this tale.
Citations
Derniers mots
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.

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La novice rebellebeau, intense, merveilleux LE FIGAROLe roman La Religieuse" de Denis Diderot fut publie pour la premiere fois en 1792 a titre posthume. Le roman etait predestine a etre porte a l'ecran. Cependant, la premiere adaptation de Jacques Rivette (1966) fut aussitot victime de la censure. Dans son livre sur une femme qui est devenue novice malgre elle, Diderot fait le proces des institutions religieuses coercitives et des consequences negatives qu'elles peuvent avoir sur les individus et la societe. Recemment, Guillaume Nicloux a de nouveau adapte le roman scandaleux qui ne cesse de fasciner les lecteurs. Voici la nouvelle edition du celebre roman de Denis Diderot publie a l'occasion de la sortie du film en mars 2013.Cette uvre fait partie de la serie TREDITION CLASSICS. La maison d'edition tredition, basee a Hambourg, a publie dans la serie TREDITION CLASSICS des ouvrages anciens de plus de deux millenaires. Ils etaient pour la plupart epuises ou uniquement disponibles chez les bouquinistes. Avec sa serie TREDITION CLASSICS, tredition a comme but de mettre a disposition des milliers de classiques de la litterature mondiale dans differentes langues et de les diffuser dans le monde entier.

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