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Just Kids

par Patti Smith

Autres auteurs: Robert Mapplethorpe (Photographe)

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5,4442381,889 (4.14)340
In this memoir, singer-songwriter Patti Smith shares tales of New York City : the denizens of Max's Kansas City, the Hotel Chelsea, Scribner's, Brentano's and Strand bookstores and her new life in Brooklyn with a young man named Robert Mapplethorpe--the man who changed her life with his love, friendship, and genius.… (plus d'informations)
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Beaucoup à retenir de ce livre, au-delà de la très belle relation entre Patti et Robert Mapplethorpe, un hommage 20 ans après sa mort.

On est ici à 1000 lieues d'une golden story à paillettes, le succès, ou plutôt la reconnaissance arrive par le travail, la ténacité, une éducation aimante et rigoureuse, une culture hétéroclite mais profonde, sans craindre, la faim, les privations, les peurs et le qu'en dira-t-on. Rien à voir avec le "je veux tout, tout de suite" ...

C'est magnifique de la voir éclore, son arrivée à New York, elle sait ce qu'elle ne veut pas, et peu à peu, à la confrontation des livres, de la poésie, des amis et des rencontres, elle mûrit, elle grandit, elle s'affirme.

Je ne connais pas très bien la musique de Patti Smith et encore moins ses oeuvres picturales, pourtant, lorsqu'il y a très longtemps j'ai pris mon sac et ai vagabondé à la découverte d'autres horizons, j'avais un petit cassettophone (oui, il existait des trucs de ce genre) avec une unique cassette écoutée en boucle celle de Patti. Elle était comme une amie, calmant mes peurs, écartant mes doutes, m'insufflant énergie et espoir. Elle y avait mis sa vie, je l'ai appris en lisant ce livre.

Patti, une femme, sans concessions sur l'essentiel, qui a su ne rien renier, ni son art, ni sa vie de femme, amie, épouse et mère et qui ne s'est jamais laissé éblouir par les sunlights.. Chapeau !

Si j'ai mis 9*, ce n'est pas pour la qualité littéraire du livre, qui manque à certains moments de souffle, mais bien pour Patti Smith et le regard qu'elle nous permet de porter à travers elle sur ces années 70, tellement vivantes, riches, où beaucoup se sont brûlés les ailes. ( )
  domguyane | Aug 15, 2011 |
The reader knows who Smith and Mapplethorpe will become, so it is intriguing to read about his continued attempts to encourage her to become a musician, while she urges him to delve into photography.
 
“Just Kids” is the most spellbinding and diverting portrait of funky-but-chic New York in the late ’60s and early ’70s that any alumnus has committed to print. The tone is at once flinty and hilarious, which figures: she’s always been both tough and funny, two real saving graces in an artist this prone to excess. What’s sure to make her account a cornucopia for cultural historians, however, is that the atmosphere, personalities and mores of the time are so astutely observed.
 
It’s possible to come away from “Just Kids” with an intact image of the title’s childlike kindred spirits who listened to Tim Hardin’s delicate love songs, wondered if they could afford the extra 10 cents for chocolate milk and treasured each geode, tambourine or silver skull they shared, never wanting what they couldn’t have or unduly caring what the future might bring. If it sometimes sounds like a fairy tale, it also conveys a heartbreakingly clear idea of why Ms. Smith is entitled to tell one.
 

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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Smith, Pattiauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Mapplethorpe, RobertPhotographeauteur secondairetoutes les éditionsconfirmé
Rutten, KathleenTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Speaker, Mary AustinConcepteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

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Titre canonique
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Épigraphe
Dédicace
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Much has been said about Robert, and more will be added. Young men will adopt his gait. Young girls will wear white dresses and mourn his curls. He will be condemned and adored. His excesses damned or romanticized. In the end, truth will be found in his work, the corporeal body of the artist. It will not fall away. Man cannot judge it. For art sings of God, and ultimately belongs to him.
Premiers mots
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I was asleep when he died.
Citations
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
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Langue d'origine
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DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (2)

In this memoir, singer-songwriter Patti Smith shares tales of New York City : the denizens of Max's Kansas City, the Hotel Chelsea, Scribner's, Brentano's and Strand bookstores and her new life in Brooklyn with a young man named Robert Mapplethorpe--the man who changed her life with his love, friendship, and genius.

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