

Chargement... To Your Scattered Bodies Go (Riverworld Saga, Book 1) (original 1971; édition 1998)par Philip Jose Farmer
Détails de l'œuvreLe monde du fleuve par Philip José Farmer (1971)
![]()
» 15 plus Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. L'idée du scénario est géniale : les morts se réveillent au bord d'un fleuve, toutes générations confondues. Et après ? Qu'y font-ils ? Qui les a réveillé ? Cela ne sonne pas comme du Matrix mais l'idée est très bonne. Ce premier tome de la série vaut vraiment le coup d'oeil. On ne peut pas en dire autant des suivants car l'action tire vraiment en longueur. J'ai mis longtemps à me décider à acheter, puis lire ce livre bien que j'en ai entendu parlé depuis longtemps. Je pense que j'avais une espèce d'a priori bien que le thème de la mort et de la résurrection m'attire beaucoup d'habitude. Est-ce cet a priori qui a fait que je n'ai pas totalement adhéré ? Je ne sais pas vraiment mais bien que j'ai trouvé le livre bon, je n'ai pas été transporté comme on s'y attend lors de la lecture d'un livre tant encensé. J'aime bien les livres qui font réfléchir sur le message qu'ils portent et sur la trame qu'ils proposent. Je n'ai pas trouvé mon compte avec "Le monde du fleuve" : un livre comme ça qui commence par une telle énigme, j'attends quelque chose de corsé, et finalement les réponses viennent finalement assez vite et ne m'ont pas transporté. Ce livre n'est que le premier de la série mais quand même, il ne m'a pas donné envie d'enchaîner avidement sur les autres volumes. Je pense que je lirai les autres mais plus tard ... parce que j'ai passé quand moment un moment agréable en le lisant mais je m'attendais à beaucoup mieux. J'aurais dû tomber dessus pas hasard :-) Nous voilà à l'aube de la Renaissance de l'humanité et que lui arrive-t-elle ? Elle se retrouve comme une tribu d'hommes préhistoriques, à s'écharper les uns les autres. Dans ce thriller pareil à une série télé, on se demande bien qui et pourquoi à ressuscité l'humanité... Sauf que le petit quotidien de ces ilots d'humain devient vite aussi ennuyeux que la Lost. On en perd l'intrigue principal...
Some of Farmer's infelicities can be excused on the grounds that he's gone for a deliberately pulpy style. He's more concerned with cranking out a story at a furious pace than dwelling on technical and psychological details. His portrayal of Hermann Göring, for instance, is cartoonish at best, but that doesn't matter because we all know what Göring was like and anyway, look – he's naked and tripping his nuts off and murdering everyone! More unforgivable is the bad prose, particularly the mounds of information dumping: "Burton looked closely at the man. Could he actually be the legendary king of ancient Rome? Of Rome when it was a small village threatened by other Italic tribes, the Sabines, the Aequi and Volsci? Who in turn were being pressed by the Umbrians, themselves pushed by the powerful Etruscans?" Appartient à la sérieAppartient à la série éditorialeEst contenu dansFait l'objet d'une adaptation dans
For explorer Richard Francis Burton and Alice Liddell Hargreaves and the rest of humanity, death is nothing like they expected. Instead of heaven, hell, or even the black void of nothingness, all of the 36 billion people who ever lived on Earth are simultaneously resurrected on a world that has been transformed into a gian river valley called Riverworld. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
![]() Couvertures populairesÉvaluationMoyenne:![]()
|
Le filon est bien exploité puisque l’auteur décrit tel un anthropologue les réactions que l’on peut attendre : meurtres, vols, mais aussi solidarité, organisation sociale, religions… On croise sans surprise quelques visages connus, ce qui apporte une certaine fraîcheur au récit. Et surtout Richard Burton, personnage principal du roman, qui pimente ce premier tome en rappelant au lecteur son caractère fantasque et sa vie (terrestre) renversante.
Burton va se lancer dans une quête effrénée : celle du qui et du pourquoi, et va tenter de résoudre cette énigme. Un très bon roman partant d’une thématique très riche et qui possède un souffle épique incontestable. (