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Moi, ce que j'aime, c'est les monstres - Livre premier

par Emil Ferris

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1,1037218,273 (4.28)51
"Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, est une fan absolue des fantômes, vampires et autres morts-vivants. Elle se voit d'ailleurs comme un petit loup-garou : d'après elle, dans ce monde, il est plus facile d'être un monstre que d'être une femme. Un jour de Saint Valentin, au retour de l'école, Karen apprend la mort de sa belle voisine, Anka Silverberg, une survivante de l'Holocauste. Elle décide alors de mener l'enquête et va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka au coeur de l'Allemagne nazie, son quartier en pleine ébullition et les drames qui, tapis dans l'ombre de son quotidien, la guettent, les monstres bons ou "pourris" sont des êtres comme les autres, complexes, torturés, fascinants. Conçu comme le journal intime d'une artiste surdouée, c'est un livre époustouflant."… (plus d'informations)
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3 sur 3
Une petite fille dans un quartier défavorisé de Chicago des années 60 qui se prend pour un loup-garou détective.

Son histoire entre sa mère malade, son frère qu’elle suspecte d’avoir tué la voisine, les copines ??? d’école et les monstres

Un chef-d’oeuvre, même s’il peut être un peu difficile d’accès et que je n’ai possiblement pas tout compris (attendons le tome 2). Un magnifique travail d’édition (un peu lourd quand même) ( )
  noid.ch | Oct 24, 2020 |
Incroyable et magnifique roman graphique. Ovationné par la critique à juste titre, cet album est un vrai choc esthétique, un coup de poing artistique.
C'est une histoire d'une subtilité et d'une intelligence remarquable qui peut se lire à plusieurs niveaux. Les monstres les plus horribles et terrifiants ne sont pas ceux que l'on pense et sous les apparences de gens comme tout le monde peuvent se cacher de terribles et effrayants secrets, fantasmes.
Emil Ferris, traite de tout les monstres de la vie, supposés ou réels, l'homosexualité considéré par certain comme une tare que va découvrir Karen jeune adolescente, la pédophilie, le monstre du cancer qui va emporter la mère de Karen, le monstre de la pauvreté, du racisme et de l'exclusion qui abîme les hommes et détruit des quartiers entiers, le monstre du nazisme, la monstruosité des enfants rejetant avec violence la différence, les monstres des gueules cassées de la première guerre mondiale,...
Mais c'est aussi un magnifique parcours dans l'histoire de l'art. L'art dans lequel se cache également des monstres, l'art qui peut sauver, car exprimant l'indicible, le questionnement et la beauté.
Cet album m'a bouleversé, sidéré, devant tant d'intelligence et de beauté, tant de densité. Dès les premières pages j'ai été littéralement scotché par le dessin et le trait d'Emil Ferris. C'est un roman graphique à tout point remarquable et unique.
A souligner le remarquable travaille du traducteur qui est arrivé à refaire des jeux de mots compréhensible et cohérent avec le texte, ainsi que pour la mise en lettrage.

"Si on pouvait voir avec un oeil de verre, le monde aurait-il l'air plus fragile ?"

"D"après Deeze, la vie c'est jamais tout bien ou tout mal, tout noir ou tout blanc. Pour lui la plupart des choses c'est comme les milliers de nuances dans les dessins au crayon. Pour maman, au contraire, soit c'est bon, soit c'est mauvais. Je crois qu'ils ont tort. Pour moi, c''est comme sur une photo, on dirait vraiment des nuances mais si on regarde de très près ce sont de minuscules points d('encre noire sur une parfaite page blanche"

"Parfois des choses si terribles surviennent que les gens veulent que le monde soit à l'image de ce qu'ils ressentent au plus profond d'eux" ( )
  folivier | Jan 26, 2019 |
Chicago 1968, Karen Reyes, 11 ans, préférerait être un monstre. Son carnet de notes à la main, elle dessine et transcrit son quotidien. Jusqu’au jour où elle s’improvise détective afin d’enquêter sur la mort suspecte de sa voisine Anka. Au fil de son investigation, Karen croise sur son chemin des personnages singuliers et s’aperçoit que son monde étrange le devient davantage. Les illustrations magnifiquement détaillées d’Emil Ferris, où s’invitent parfois nudité, violence et vulgarité, nous plonge dans l’univers des quartiers pauvres et turbulents, où couleurs vives jaillissent et protagonistes inusités ponctuent l’histoire. Monstres compris…ou argent remis! ( )
  sandra6344a18 | Dec 8, 2018 |
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J'ai monté le son pour qu'on ne sache pas ce que je faisais, parce que...
... ça serait vraiment la cata...
... si maman se sointait et me trouvait comme ça.
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"Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, est une fan absolue des fantômes, vampires et autres morts-vivants. Elle se voit d'ailleurs comme un petit loup-garou : d'après elle, dans ce monde, il est plus facile d'être un monstre que d'être une femme. Un jour de Saint Valentin, au retour de l'école, Karen apprend la mort de sa belle voisine, Anka Silverberg, une survivante de l'Holocauste. Elle décide alors de mener l'enquête et va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka au coeur de l'Allemagne nazie, son quartier en pleine ébullition et les drames qui, tapis dans l'ombre de son quotidien, la guettent, les monstres bons ou "pourris" sont des êtres comme les autres, complexes, torturés, fascinants. Conçu comme le journal intime d'une artiste surdouée, c'est un livre époustouflant."

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