Présenté comme un classique de la SF space opéra, le livre a plutôt bien vieilli.

Mais on a l'impression de voir déroulé devant nous une successions de scènes toujours à la limite du cliché : le sauvetage par des pirates de l'espace, l'assaut contre une forteresse, la secte-tribu cannibale, la destruction de masse, le jeu de hasard, etc. Le héros viril s'en sort à chaque fois.

Le style est agréable à lire, mais on trouvera facilement des histoires plus agréables à lire, car plus contemporaines. ( )

Horza, l'un des derniers métamorphes, peut modifier sa forme à sa guise, ce qui en fait une redoutable machine de guerre. Il s'est engagé, aux côtés des Idirans, dans une croisade personnelle contre la Culture, cette immense société galactique anarchiste, tolérante, éthique et cynique. Mais son combat n'est qu'une escarmouche insignifiante dans la grande guerre qui embrase la Galaxie, entre la Culture et les Idirans fanatiques. Une guerre anachronique : une guerre de religion.

Après L'Homme des jeux et L'Usage des armes, voici le troisième volume de la série de la Culture, la plus grande épopée galactique depuis Fondation, Dune et Hypérion.