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Une ombre sur l'épaule est un roman baroque moderne.Jean Déchamps nous emmène dans le road-movie de son personnage central comme certains réalisateurs nous ont fait rentrer dans les films comme Psychose ou Delicatessen.C'est l'itinéraire de la recherche de soi, la quête initiatique amoureuse.
Un roman originellement écrit en vers, ce que ne rend pas la traduction de Tourgueniev. Un récit ironique et même souvent mordant, brillant et mélancolique sur le peuple russe. Il décrit notamment les jeunes années d'Eugène Onéguine, dandy lassé de tout mais qui se prend néanmoins d'amitié pour un jeune poète. Il tuera toutefois son ami en duel, après l'avoir provoqué en faisant la cour à la femme qu'il aime. Tatiana, soeur de cette jeune femme, aime éperdument Eugène Onéguine qui ne lui retourne qu'indifférence. Pourtant, la retrouvant quelques années plus tard avantageusement mariée, son amour pour elle éclate. Si Eugène Onéguine décrit les moeurs russes, il rend essentiellement compte de l'universalité des coeurs à travers des rencontres, des passions, des amours perdues, des remords et des erreurs irréparables.
Extraits : "L'habitude est un don que nous accorde le ciel pour remplacer le bonheur qu'il ne peut nous donner". "hum, hum ! respectable lecteur, toute votre famille se porte-t-elle bien ? Permettez : vous désirez peut-être savoir de moi quelle espèce de gens sont les parents ? Ce sont des gens que nous sommes contraintes de caresser, d'aimer, d'estimer de toute notre âme ; à qui, d'après la coutume populaire, nous devons rendre visite le jour de Noël, ou bien écrire par la poste des lettres de félicitation, pour que, tout le reste de l'année, ils ne songent point à nous. Que Dieu leur donne donc de longs jours !" "Il été aimé ; il le croyait au moins, et il était heureux. Fortuné, cent fois fortuné celui qui sait croire ; qui, domptant son esprit sceptique, se repose dans la voluptueuse insouciance de son coeur, comme un voyageur aviné dans une auberge, ou bien, si vous voulez une plus gracieuse comparaison, comme un papillon qui s'est plongé dans une fleur de printemps. Mais digne de pitié est celui qui prévoit toujours, à qui la tête ne tourne jamais, qui finit par détester chaque parole, chaque geste dans la traduction qu'il s'en fait à lui-même, celui dont le coeur paralysé par l'expérience a perdu la force de s'oublier". ( )
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Pétri de vanité il avait encore plus de cette espèce d'orgueil qui fait avouer avec la même indifférence les bonnes comme les mauvaises actions, suite d'un sentiment de supériorité, peut-être imaginaire. Tiré d'une lettre particullère
[Steeped in vanity, he had moreover the particular sort of pride that makes one acknowledge with equal indifference both his good and evil actions, a consequence of a sense of superiority, perhaps imaginary. From a private letter.] (Falen translation)
Dédicace
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Not thinking of the proud world's pleasure, But cherishing your friendship's claim, I would have wished a finer treasure To pledge my token to your name-- One worthy of your soul's perfection, The sacred dreams that fill your gaze, Your verse's limpid, live complexion, Your noble thoughts and simple ways. But let it be. Take this collection Of sundry chapters as my suit: Half humorous, half pessimistic, Blending the plain and idealistic-- Amusement's yield, the careless fruit Of sleepless nights, light inspirations Born of my green and withered years . . . The intellect's cold observations, The heart's reflections, writ in tears.
[Originally addressed to Pushkin's friend and publisher P. A. Pletnyov.] (Falen translation)
To Véra
Premiers mots
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'My uncle, man of firm convictions... By falling gravely ill, he's won A due respect for his afflictions-- The only clever thing he's done. (James E. Falen translation)
Alexander Pushkin (1799 - 1837) is the poet and writer whom Russians regard as both the source and the summit of their literature. (Introduction)
Citations
Derniers mots
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But all at once for good withdrew-- As I from my Onegin do. (James E. Falen translation)
Life's chalice, he tells us in its final stanza, never runs dry, life's novel (which the artist both reads and writes) never comes to an end for the taker of risks. (Introduction)
Une ombre sur l'épaule est un roman baroque moderne.Jean Déchamps nous emmène dans le road-movie de son personnage central comme certains réalisateurs nous ont fait rentrer dans les films comme Psychose ou Delicatessen.C'est l'itinéraire de la recherche de soi, la quête initiatique amoureuse.
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Description du livre
Résumé sous forme de haïku
Bibliothèque patrimoniale: Alexander Pushkin
Alexander Pushkin a une bibliothèque historique. Les bibliothèques historiques sont les bibliothèques personnelles de lecteurs connus, qu'ont entrées des utilisateurs de LibraryThing inscrits au groupe Bibliothèques historiques [en anglais].
Un récit ironique et même souvent mordant, brillant et mélancolique sur le peuple russe. Il décrit notamment les jeunes années d'Eugène Onéguine, dandy lassé de tout mais qui se prend néanmoins d'amitié pour un jeune poète. Il tuera toutefois son ami en duel, après l'avoir provoqué en faisant la cour à la femme qu'il aime. Tatiana, soeur de cette jeune femme, aime éperdument Eugène Onéguine qui ne lui retourne qu'indifférence. Pourtant, la retrouvant quelques années plus tard avantageusement mariée, son amour pour elle éclate.
Si Eugène Onéguine décrit les moeurs russes, il rend essentiellement compte de l'universalité des coeurs à travers des rencontres, des passions, des amours perdues, des remords et des erreurs irréparables.
Extraits :
"L'habitude est un don que nous accorde le ciel pour remplacer le bonheur qu'il ne peut nous donner".
"hum, hum ! respectable lecteur, toute votre famille se porte-t-elle bien ? Permettez : vous désirez peut-être savoir de moi quelle espèce de gens sont les parents ? Ce sont des gens que nous sommes contraintes de caresser, d'aimer, d'estimer de toute notre âme ; à qui, d'après la coutume populaire, nous devons rendre visite le jour de Noël, ou bien écrire par la poste des lettres de félicitation, pour que, tout le reste de l'année, ils ne songent point à nous. Que Dieu leur donne donc de longs jours !"
"Il été aimé ; il le croyait au moins, et il était heureux. Fortuné, cent fois fortuné celui qui sait croire ; qui, domptant son esprit sceptique, se repose dans la voluptueuse insouciance de son coeur, comme un voyageur aviné dans une auberge, ou bien, si vous voulez une plus gracieuse comparaison, comme un papillon qui s'est plongé dans une fleur de printemps. Mais digne de pitié est celui qui prévoit toujours, à qui la tête ne tourne jamais, qui finit par détester chaque parole, chaque geste dans la traduction qu'il s'en fait à lui-même, celui dont le coeur paralysé par l'expérience a perdu la force de s'oublier". ( )