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Chargement... A Short Account of the Destruction of the Indies (original 1552; édition 1999)par Bartolomé de las Casas (Auteur)
Information sur l'oeuvreTrès brève relation de la destruction des Indes par Bartolomé de las Casas (1552)
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Bartolome de Las Casas was the first and fiercest critic of Spanish colonialism in the New World. An early traveller to the Americas who sailed on one of Columbus's voyages, Las Casas was so horrified by the wholesale massacre he witnessed that he dedicated his life to protecting the Indian community. He wrote A Short Account of the Destruction of the Indies in 1542, a shocking catalogue of mass slaughter, torture and slavery, which showed that the evangelizing vision of Columbus had descended under later conquistadors into genocide. Dedicated to Philip II to alert the Castilian Crown to these atrocities and demand that the Indians be entitled to the basic rights of humankind, this passionate work of documentary vividness outraged Europe and contributed to the idea of the Spanish 'Black Legend' that would last for centuries. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)980.013History and Geography South America History of South America History of South America Early history to 1806Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> TRÈS BRÈVE RELATION DE LA DESTRUCTION DES INDES, de Bartolomé de Las Casas, traduit de l’espagnol par Franchita Gonzales Batlle, La Découverte/Poche, Paris, 1996, 153 pages — Soixante ans après le premier voyage de Christophe Colomb, le dominicain Bartolomé de Las Casas a rédigé à l'usage du souverain d’Espagne un court texte dénonçant la colonisation en Amérique. Avec une précision inouïe, un style direct et puissant, le religieux décrit les atrocités et la bêtise qui triomphent en ces terres nouvelles où les Indiens sont massacrés au nom de Dieu. Un critique du magazine français Télérama a très justement dit de ce texte qu’il s'agissait d'un rapport d’Amnistie internationale écrit avec quatre siècles d’avance: « Même ton précis, même souci d’accumuler détails et exemples.» (Marcel JEAN)
—Le devoir, 28 septembre 1996, Cahier D, (p. 4)