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XVIIIe siècle, au temps de la traite des esclaves. Ghanéennes, Effia et Esi sont demi-sœurs mais ne se connaissent pas. La sublime Effia est mariée de force à un Anglais, le capitaine du fort de Cape Coast. Dans les cachots de ce fort sont enfermés les futurs esclaves. Parmi eux, Esi. Elle sera expédiée en Amérique. Ses enfants et petits-enfants seront continuellement jugés sur la couleur de leur peau. La descendance d'Effia, métissée et éduquée, perpétuera le commerce triangulaire familial et devra survivre dans un pays meurtri pour des générations.Yaa Gyasi nous conte le destin d'une famille à l'arbre généalogique brisé par la cruauté des hommes. Un voyage dans le temps inoubliable. Une incroyable saga, un talent inouï. Vertigineux. Estelle Lenartowicz, Lire. Une écriture limpide, un savant dosage de politique et d'intime, d'histoire et de magie. Gladys Marivat, Le Monde des livres. No Home pourrait bien devenir un classique. Yves Viollier, La Vie.… (plus d'informations)
> Par K. Moussou, P. Frey, O. de Lamberterie (Elle) : Les 39 meilleurs livre de poche du moment 6 juin 2018 - Vous allez voyager entre l’Afrique et l’Amérique. On suit deux histoires en parallèle : celle de Effia et Esi, deux soeurs qui ne se connaissent pas et que tout oppose. L’un a dû épouser un riche Anglais, l’autre est emprisonnée dans un cachot et attend d’être envoyée comme esclave aux Etats-Unis… Une belle et douloureuse histoire qui parle de descendance, d’humanité et de souffrance en héritage. —Khadija Moussou
> L'héritière de Toni Morrison ! [] Yaa Gyasi cache, derrière la fraîcheur de son sourire, la sagesse d'une vieille âme et la maestria d'un romancier chevronné. —Jeanne de Ménibus, Elle
> Dans une écriture limpide et resserrée, [Yaa Gyasi] signe un roman de survie porté par des personnages complexes. —Gladys Marivat, Le Monde des livres
> Il y a les bons, il y a les beaux, et il y a les grands livres. Ceux qui émeuvent et instruisent, et puis ceux, bien plus rares et précieux, qui ont en eux la force de changer notre manière d'appréhender la complexité de ce drôle de monde. No Home, le premier roman de Yaa Gyasi, appartient à cette seconde catégorie. —Estelle Lenartowicz, Lire
> C’est remarquable. […] Il faut absolument suivre [Yaa Gyasi], elle va devenir un des géants de la littérature mondiale. —France 2 > Télématin , coup de cœur de la librairie Lamartine
> Un texte remarquable sur la condition noire, mais aussi un somptueux roman polyphonique naviguant à travers les époques. —Chayma Drira, Jeune Afrique.
> Cette fresque familiale et historique d'une formidable ampleur retrace, à travers les décennies et de part et d'autre de l'Atlantique, le destin d'une quinzaine de personnages de la même lignée. —Madeleine Launay, Vanity Fair
> No Home est un texte très romanesque. Comme une nouvelle presque indépendante (mais en fait non), donc, chaque chapitre a sa chute qui peut mettre les larmes aux yeux, tellement ça va mal ou justement parce que tout à coup ça ne va pas si mal que ça. Les éléments historiques se fondent dans la sensibilité des personnages et les contraintes de la vie quotidienne. —Mathieu Lindon, Libération
> Encensée par la critique outre-Atlantique, présentée par le magazine Vogue comme un écrivain qui renouvelle le grand roman américain, Yaa Gyasi fait preuve d’un talent de conteuse et d’une ambition indéniable dans cette saga entêtante. —Le Monde.fr
> On aime cette incroyable saga qui raconte le déracinement et ses blessures, mais aussi la dignité et la rage de vivre. —Cosmopolitan
> Dans une langue émotive, organique, puissante, pleine d’images colorées et sonore comme la terre d'Afrique, dans ces échanges incessants entre les personnages et les époques […], Yaa Gyasi dessine avec finesse des sociétés qui entrent peu à peu dans la modernité. —Blandine Hutin-Mercier, La Montagne.
> No Home est un roman d'une belle épaisseur. Mais le poids du papier n'est rien au regard de celui que porte la mémoire. —Pierre Maury, Le Soir
> C’est […] d'une écriture dénuée de toute forme de sensiblerie ou de colère que le jeune auteure américaine d'origine ghanéenne Yaa Gyasi signe un premier roman étourdissant. —Carrefour Savoirs
> Un premier roman magistral, fort en authenticité dans la veine d'une Toni Morrison (Beloved). —L'Éveil normand
> Un pur bijou. —Afrolivresque
> Une impressionnante saga, dont l'écriture addictive nous entraîne au fil des vies et des descendances de ces deux femmes. —L'Amour des livres
> Avec ses personnages féminins inoubliables et sa capacité à saisir et à illustrer les tournants de l'histoire, Yaa Gyasi s'inscrit déjà dans le sillage prestigieux de Toni Morrison et de Chimamanda Ngozi Adichie. —Egolarevue
> Une incroyable saga, un talent inouï. Vertigineux. Estelle Lenartowicz, —Lire.
> Une écriture limpide, un savant dosage de politique et d’intime, d’histoire et de magie. —Gladys Marivat, Le Monde des livres.
> No Home pourrait bien devenir un classique. —Yves Viollier, La Vie.
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
Abusua te sε kwaε: sε wo wɔ akyire a wo hunu sε εbom; sε wo bεn ho a na wo hunu sε nnua no bia sisi ne baabi nko.
The family is like the forest: if you are outside it is dense: if you are inside you see that each tree has its own position.
—AKAN PROVERB
Dédicace
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For my parents and for my brothers
Premiers mots
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The night Effia Otcher was born into the musky heat of Fanteland, a fire raged through the woods just outside her father's compound.
Citations
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We believe the one who has the power. He is the one who gets to write the story. So when you study history, you must always ask yourself, Whose story am I missing? Whose voice was suppressed so that this voice could come forth. Once you have figured that out, you must find that story too. From there, you begin to get a clearer, yet still imperfect picture.
Derniers mots
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Marjorie splashed him suddenly, laughing loudly before swimming away, toward the shore.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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XVIIIe siècle, au temps de la traite des esclaves. Ghanéennes, Effia et Esi sont demi-sœurs mais ne se connaissent pas. La sublime Effia est mariée de force à un Anglais, le capitaine du fort de Cape Coast. Dans les cachots de ce fort sont enfermés les futurs esclaves. Parmi eux, Esi. Elle sera expédiée en Amérique. Ses enfants et petits-enfants seront continuellement jugés sur la couleur de leur peau. La descendance d'Effia, métissée et éduquée, perpétuera le commerce triangulaire familial et devra survivre dans un pays meurtri pour des générations.Yaa Gyasi nous conte le destin d'une famille à l'arbre généalogique brisé par la cruauté des hommes. Un voyage dans le temps inoubliable. Une incroyable saga, un talent inouï. Vertigineux. Estelle Lenartowicz, Lire. Une écriture limpide, un savant dosage de politique et d'intime, d'histoire et de magie. Gladys Marivat, Le Monde des livres. No Home pourrait bien devenir un classique. Yves Viollier, La Vie.
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6 juin 2018 - Vous allez voyager entre l’Afrique et l’Amérique. On suit deux histoires en parallèle : celle de Effia et Esi, deux soeurs qui ne se connaissent pas et que tout oppose. L’un a dû épouser un riche Anglais, l’autre est emprisonnée dans un cachot et attend d’être envoyée comme esclave aux Etats-Unis… Une belle et douloureuse histoire qui parle de descendance, d’humanité et de souffrance en héritage.
—Khadija Moussou
> L'héritière de Toni Morrison ! [] Yaa Gyasi cache, derrière la fraîcheur de son sourire, la sagesse d'une vieille âme et la maestria d'un romancier chevronné.
—Jeanne de Ménibus, Elle
> Dans une écriture limpide et resserrée, [Yaa Gyasi] signe un roman de survie porté par des personnages complexes.
—Gladys Marivat, Le Monde des livres
> Il y a les bons, il y a les beaux, et il y a les grands livres. Ceux qui émeuvent et instruisent, et puis ceux, bien plus rares et précieux, qui ont en eux la force de changer notre manière d'appréhender la complexité de ce drôle de monde. No Home, le premier roman de Yaa Gyasi, appartient à cette seconde catégorie.
—Estelle Lenartowicz, Lire
> C’est remarquable. […] Il faut absolument suivre [Yaa Gyasi], elle va devenir un des géants de la littérature mondiale.
—France 2 > Télématin , coup de cœur de la librairie Lamartine
> Un texte remarquable sur la condition noire, mais aussi un somptueux roman polyphonique naviguant à travers les époques.
—Chayma Drira, Jeune Afrique.
> Cette fresque familiale et historique d'une formidable ampleur retrace, à travers les décennies et de part et d'autre de l'Atlantique, le destin d'une quinzaine de personnages de la même lignée.
—Madeleine Launay, Vanity Fair
> No Home est un texte très romanesque. Comme une nouvelle presque indépendante (mais en fait non), donc, chaque chapitre a sa chute qui peut mettre les larmes aux yeux, tellement ça va mal ou justement parce que tout à coup ça ne va pas si mal que ça. Les éléments historiques se fondent dans la sensibilité des personnages et les contraintes de la vie quotidienne.
—Mathieu Lindon, Libération
> Encensée par la critique outre-Atlantique, présentée par le magazine Vogue comme un écrivain qui renouvelle le grand roman américain, Yaa Gyasi fait preuve d’un talent de conteuse et d’une ambition indéniable dans cette saga entêtante.
—Le Monde.fr
> On aime cette incroyable saga qui raconte le déracinement et ses blessures, mais aussi la dignité et la rage de vivre.
—Cosmopolitan
> Dans une langue émotive, organique, puissante, pleine d’images colorées et sonore comme la terre d'Afrique, dans ces échanges incessants entre les personnages et les époques […], Yaa Gyasi dessine avec finesse des sociétés qui entrent peu à peu dans la modernité.
—Blandine Hutin-Mercier, La Montagne.
> No Home est un roman d'une belle épaisseur. Mais le poids du papier n'est rien au regard de celui que porte la mémoire.
—Pierre Maury, Le Soir
> C’est […] d'une écriture dénuée de toute forme de sensiblerie ou de colère que le jeune auteure américaine d'origine ghanéenne Yaa Gyasi signe un premier roman étourdissant.
—Carrefour Savoirs
> Un premier roman magistral, fort en authenticité dans la veine d'une Toni Morrison (Beloved).
—L'Éveil normand
> Un pur bijou.
—Afrolivresque
> Une impressionnante saga, dont l'écriture addictive nous entraîne au fil des vies et des descendances de ces deux femmes.
—L'Amour des livres
> Avec ses personnages féminins inoubliables et sa capacité à saisir et à illustrer les tournants de l'histoire, Yaa Gyasi s'inscrit déjà dans le sillage prestigieux de Toni Morrison et de Chimamanda Ngozi Adichie.
—Egolarevue
> Une incroyable saga, un talent inouï. Vertigineux. Estelle Lenartowicz,
—Lire.
> Une écriture limpide, un savant dosage de politique et d’intime, d’histoire et de magie.
—Gladys Marivat, Le Monde des livres.
> No Home pourrait bien devenir un classique.
—Yves Viollier, La Vie.