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Chargement... The Girlspar Emma Cline
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The Girls works a well-tapped vein in literary fiction: the queasy exploration of how young women with crippled egos can become accessories to their own degradation. Joyce Carol Oates and Mary Gaitskill are masters of this theme. Cline’s contribution is a heady evocation of the boredom and isolation of adolescence in pre-internet suburbia, in houses deserted by their restless, doubt-stricken adult proprietors where “the air was candied with silence.” The novel is heavy with figurative language; Cline has a telling fondness for the word “humid.” Not all of this comes off effectively (Evie’s mom makes Chinese ribs that “had a glandular sheen, like a lacquer”), but most of it does (Evie, dazzled by her father’s girlfriend, thinks she has a life “like a TV show about summer.”) Appartient à la série éditorialeOtavan kirjasto (258) Prix et récompensesDistinctionsListes notables
Northern California, during the violent end of the 1960s. At the start of summer, a lonely and thoughtful teenager, Evie Boyd, sees a group of girls in the park, and is immediately caught by their freedom, their careless dress, their dangerous aura of abandon. Soon, Evie is in thrall to Suzanne, a mesmerizing older girl, and is drawn into the circle of a soon-to-be infamous cult and the man who is its charismatic leader. Hidden in the hills, their sprawling ranch is eerie and run down, but to Evie, it is exotic, thrilling, charged -- a place where she feels desperate to be accepted. As she spends more time away from her mother and the rhythms of her daily life, and as her obsession with Suzanne intensifies, Evie does not realize she is coming closer and closer to unthinkable violence. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.6Literature English (North America) American fiction 21st CenturyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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6 juin 2018 - Dans les années 60, Evie a 16 ans et s’ennuie dans sa bourgade californienne. Plusieurs fois, elle aperçoit un groupe de jeunes filles plus âgées, un peu étranges mais surtout plus libres. Elle décide de les suivre et se retrouve sans s’en rendre compte dans une secte qui se prépare à un destin funeste. Emma Cline décortique ici avec habileté, le mécanisme insidieux et addictif d’un groupe de jeunes gens sur une personne.
—Khadija Moussou
> Un choc littéraire.
Emma Cline dresse un portrait psychologique a double voix d'une justesse dérangeante. Dans une langue ciselée et percutante, reconstruisant les semaines précédant le drame, elle ne néglige aucune émotion ni tentation.
—Le Figaro Magazine
> Un roman intelligent, puissant, narrativement habile.
—L'Obs
> Emma Cline décrit avant tout cet âge d'inouie fragilité et d'inconscience sauvage ou tout peut basculer. Elle a l'art des demi-teintes et des pas de côté hypnotiques.
—Le Point
> Cet épatant premier roman déborde d'une prose déliée, remplie d'images à craquer, de phrases qui brillent comme des bijoux au cou des femmes.
—Le Figaro
> On en sort sonnés, admiratifs, avec l'impression d'avoir eu affaire à ce qui se fait de meilleur en littérature.
—Lire
> La jeune Américaine Emma Cline avec "The Girls" , une fiction plus psychologique, voire sociologique (sur la place dévolue aux femmes dans la sociéte ), mais brillante et ente tante, dans laquelle se reconnaissent sans peine, tant leurs masques sont translucides, les protagonistes du fait divers atroce de 1969.
—Télérama
> Emma Cline signe un roman envoutant sur les tourments de l'adolescence.
—Les Inrockuptibles
> Ce roman magistral agit comme un grand frisson révélateur sur la manière dont on se fabrique.
—Elle
> Éblouissant !
Emma Cline restitue avec maestria toute la fragilité de l'adolescence.
—Paris Match