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(3.45) | 303 | It's not the dead that seem strange to Quirke. It's the living. One night, after a few drinks at an office party, Quirke shuffles down into the morgue where he works and finds his brother-in-law, Malachy, altering a file he has no business even reading. Odd enough in itself to find Malachy there, but the next morning, when the haze has lifted, it looks an awful lot like his brother-in-law, the esteemed doctor, was in fact tampering with a corpse--and concealing the cause of death. It turns out the body belonged to a young woman named Christine Falls. And as Quirke reluctantly presses on toward the true facts behind her death, he comes up against some insidious--and very well-guarded--secrets of Dublin's high Catholic society, among them members of his own family.… (plus d'informations) |
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Titre canonique |
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Titre original |
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Titres alternatifs |
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Date de première publication |
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Personnes ou personnages |
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Lieux importants |
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Évènements importants |
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Films connexes |
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Prix et distinctions |
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Épigraphe |
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Dédicace |
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue. To Ed Victor  | |
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Premiers mots |
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue. She was glad it was the evening mailboat she was taking, for she did not think she could face a morning departure.  | |
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Citations |
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Derniers mots |
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Notice de désambigüisation |
Informations provenant du Partage des connaissances anglais. Modifiez pour passer à votre langue. Benjamin Black, pseud. used by John Banville. Original title: Christine Falls  | |
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Directeur(-trice)(s) de publication |
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Courtes éloges de critiques |
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Langue d'origine |
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DDC/MDS canonique |
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▾Références Références à cette œuvre sur des ressources externes. Wikipédia en anglais
Aucun ▾Descriptions de livres It's not the dead that seem strange to Quirke. It's the living. One night, after a few drinks at an office party, Quirke shuffles down into the morgue where he works and finds his brother-in-law, Malachy, altering a file he has no business even reading. Odd enough in itself to find Malachy there, but the next morning, when the haze has lifted, it looks an awful lot like his brother-in-law, the esteemed doctor, was in fact tampering with a corpse--and concealing the cause of death. It turns out the body belonged to a young woman named Christine Falls. And as Quirke reluctantly presses on toward the true facts behind her death, he comes up against some insidious--and very well-guarded--secrets of Dublin's high Catholic society, among them members of his own family. ▾Descriptions provenant de bibliothèques Aucune description trouvée dans une bibliothèque ▾Description selon les utilisateurs de LibraryThing
Résumé sous forme de haïku |
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Le personnage principal, c’est Quirke (apparemment il sera récurrent dans les livres de Benjamin Black). Il est médecin légiste à Dublin dans les années cinquante. Il est grand, bourru, alcoolique, fumeur … Irlandais quoi (je suis une fille pleine de préjugés :) ). Niveau famille : il est orphelin, recueillie par Grant Griffin, juge de son état, qui lui-même a un fils Malachy, qui lui même a une femme Sarah. Les deux derniers ont ensemble une fille Phoebe. Quirke est veud de Delia, morte en couche, vingt ans plus tôt. Détail non négligeable c’est la soeur de Sarah.
Ces histoires amoureuses ont commencé comme ça : Quirke et Malachy sont partis aux Etats-Unis il y a vingt ans pour une année chez un grand amis de Grant : Crawford (le prénom m’échappe, désolée). Celui-ci a deux filles : Sarah et Delia. Quirke veut Sarah mais couche avec Delia (comme quoi les hommes …)
Je pense vous avoir situé tous les personnages à part Rose, Andy et Claire et aussi les membres de l’Église irlandaise et bostonienne. Je vous en dévoilerai un peu beaucoup alors.
Pour ce qui est de l’intrigue : Quirke arrive un jour dans son bureau et trouve Malachy, gynécologue de son état, en train de falsifier un rapport de décès. Celui de Christine Falls, morte d’un embolie pulmonaire. Quirke ne dit trop rien mais s’aperçoit rapidement que cette fille est en réalité morte en accouchant d’une petite fille. La question qu’il se pose est où est la petite fille ? Est-elle morte ou vivante ? Il met alors le doigt dans une histoire glauque d’enlèvements d’enfants (de trafic en réalité avec les États-Unis) par des membres de l’Église irlandais, dont plusieurs membres de sa famille.
Comme je vous le disais, j’ai passé un excellent moment de lecture. C’est un page-turner si on reprend l’expression de la quatrième de couverture . Il y a plein d’intrigues, de rebondissements. Par contre c’est un roman noir (d’où le pseudo de l’auteur) mais pas un roman policier. Il n’y a pas d’enquête à proprement dit. Par contre, on peut reprocher au livre les défauts des premiers volumes de série ; l’auteur essaye de garder du suspense sur la vie du personnage principal et prend du temps à décrire les personnages qui seront récurrents. Par contre il faut noter le soucis du détail dans les descriptions des personnages (récurrents ou pas) que vous pouvez pratiquement visualiser. Mais là c’est l’auteur de romans et non de romans noirs qui écrit à mon avis. (