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Marina Gregg, une celebre actrice, et son epoux Jason Rudd s'installent a Saint Mary Mead, le petit village de Miss Marple. Au cours d'une reception donnee en leur demeure, une jeune femme boit un cocktail empoisonne et trouve la mort. Or tout semble indiquer que ce cocktail etait destine a l'actrice... Dermot Craddock, inspecteur de Scotland Yard, est envoye sur place pour elucider ce mystere et trouvera en la personne de Miss Marple une aide precieuse.Traduction entierement revisee de Michel Averlant… (plus d'informations)
Je suis fière d’annoncer que pour la première fois dans ma vie, j’ai résolu une énigme d’Agatha Christie avec qu’elle ne nous dévoile le dessous des cartes ! Je suis toute fière de moi (même si je n’ai résolu qu’un meurtre sur les trois mais c’est déjà pas mal). Ce livre est aussi ma première rencontre avec Miss Marple, et son investigation plus psychologique que déductive rend peut-être la résolution plus facile, puisque ce qui m’a mis la puce à l’oreille, ce n’est pas vraiment un fait anodin qui révèle toute l’énigme comme avec Hercule Poirot (ce qui est toujours très frustrant mais aussi très habile) mais une écoute attentive de la description des personnages et les éléments sur lesquels cette description s’appuyait longuement, trop pour que ce ne soit pas suspect. Il faudra donc que je retente un Miss Marple, mais j’ai trouvé la partie résolution de l’énigme moins satisfaisante qu’avec Hercule Poirot. Par contre la façon dont le décor est planté est un petit régal de causticité. On est loin des intérieurs bourgeois feutrés dans lesquels évolue Poirot, ici c’est le milieu du cinéma américain qui débarque dans la campagne anglaise, avec tous les clichés d’une part (divorces à répétition, presse à scandale, tiens les choses n’ont pas beaucoup évolué on dirait…) comme de l’autre (le thé de quatre heures, et j’en passe). Très amusant, et c’est cet aspect du livre qui a rendu ma lecture divertissante d’un bout à l’autre, et ce malgré les meurtres finaux un peu sortis du chapeau. Je suis consciente que ma note de lecture est surtout une comparaison entre Miss Marple que je découvre, donc ma première impression n’est peut-être pas la bonne, et Hercule Poirot. J’imagine que l’on pourrait écrire des thèses sur la comparaison entre les différents personnages récurrents d’Agatha Christie, mais je me garderais bien de le faire, n’ayant qu’une connaissance limitée de son œuvre. Toutefois, à l’issue de ce roman, je comprends pourquoi elle a créé des personnages différents. C’est en effet une plume différente, un contexte différent, et aussi des ressorts différents pour la résolution des énigmes. Cela rend les choses peut-être un peu prévisibles, mais au moins, on sait à quoi s’attendre lorsque l’on lit du Agatha Christie !
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Out flew the web and floated wide; The mirror crack'd from side to side; "The curse is come upon me," cried The Lady of Shalott. Alfred Tennyson
Out flew the web and floated wide; The mirror crack'd from side to side; "The curse is come upon me," cried The Lady of Shalott. --Alfred Tennyson
Dédicace
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To Margaret Rutherford in admiration
Premiers mots
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Miss Jane Marple was sitting by her window.
Citations
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Well, Alison always saw her own point of view so clearly that she didn't always see how things might appear to, or affect, other people. (Chapter 2)
"I don't—didn't dislike her. But she's just not my type. Too interfering." "You mean inquisitive, nosy?" "No I don't," said Cherry. "I don't mean that at all. She was a very kind woman and she was always doing things for people. And she was always quite sure she knew the best thing to do. What they thought about it wouldn't have mattered." (Chapter 6.i)
"Why? Did she bully him?" "Oh, no," said Miss Marple, "but I don't think that she—well, she wasn't a considerate woman. Kind, yes. Considerate, no. She would be fond of him, and look after him when he was ill and see to his meals and be a good housekeeper, but I don't think she would ever—well, that she would ever even know what he might be feeling or thinking. That makes rather a lonely life for a man." (Chapter 8.ii)
"Well, frankly," said Mrs. Bantry, "I can't imagine anybody wanting to kill Heather Badcock. I've seen her quite a few times, on local things, you know. Girl Guides and the St. John Ambulance, and various parish things. I found her a rather trying sort of woman. Very enthusiastic about everything and a bit given to over-statement, and just a bit of a gusher. But you don't want to murder people for that. She was the kind of woman who in the old days if you'd seen her approaching the front door, you'd have hurried out to say to your parlourmaid—which was an institution we had in those days, and very useful too—and told her to say 'not at home' or 'not at home to visitors,' if she had conscientious scruples about the truth."
"You mean one might have taken pains to avoid Mrs. Badcock, but one would have no urge to remove her permanently." (Chapter 8.iii)
"Heather Badcock meant no harm. She never did mean harm, but there is no doubt that people like Heather Badcock (and my old friend Alison Wilde) are capable of doing a lot of harm because they lack—not kindness, they have kindness—but any real consideration for the way their actions may affect other people. She always thought of what an action meant to her, never sparing a thought for what it might mean to somebody else." (Chapter 23.i)
Derniers mots
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She quoted softly the last lines of the poem: "He said, 'She has a lovely face; God in His mercy lend her grace, The Lady of Shalott."
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Marina Gregg, une celebre actrice, et son epoux Jason Rudd s'installent a Saint Mary Mead, le petit village de Miss Marple. Au cours d'une reception donnee en leur demeure, une jeune femme boit un cocktail empoisonne et trouve la mort. Or tout semble indiquer que ce cocktail etait destine a l'actrice... Dermot Craddock, inspecteur de Scotland Yard, est envoye sur place pour elucider ce mystere et trouvera en la personne de Miss Marple une aide precieuse.Traduction entierement revisee de Michel Averlant
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Ce livre est aussi ma première rencontre avec Miss Marple, et son investigation plus psychologique que déductive rend peut-être la résolution plus facile, puisque ce qui m’a mis la puce à l’oreille, ce n’est pas vraiment un fait anodin qui révèle toute l’énigme comme avec Hercule Poirot (ce qui est toujours très frustrant mais aussi très habile) mais une écoute attentive de la description des personnages et les éléments sur lesquels cette description s’appuyait longuement, trop pour que ce ne soit pas suspect. Il faudra donc que je retente un Miss Marple, mais j’ai trouvé la partie résolution de l’énigme moins satisfaisante qu’avec Hercule Poirot.
Par contre la façon dont le décor est planté est un petit régal de causticité. On est loin des intérieurs bourgeois feutrés dans lesquels évolue Poirot, ici c’est le milieu du cinéma américain qui débarque dans la campagne anglaise, avec tous les clichés d’une part (divorces à répétition, presse à scandale, tiens les choses n’ont pas beaucoup évolué on dirait…) comme de l’autre (le thé de quatre heures, et j’en passe). Très amusant, et c’est cet aspect du livre qui a rendu ma lecture divertissante d’un bout à l’autre, et ce malgré les meurtres finaux un peu sortis du chapeau.
Je suis consciente que ma note de lecture est surtout une comparaison entre Miss Marple que je découvre, donc ma première impression n’est peut-être pas la bonne, et Hercule Poirot. J’imagine que l’on pourrait écrire des thèses sur la comparaison entre les différents personnages récurrents d’Agatha Christie, mais je me garderais bien de le faire, n’ayant qu’une connaissance limitée de son œuvre. Toutefois, à l’issue de ce roman, je comprends pourquoi elle a créé des personnages différents. C’est en effet une plume différente, un contexte différent, et aussi des ressorts différents pour la résolution des énigmes. Cela rend les choses peut-être un peu prévisibles, mais au moins, on sait à quoi s’attendre lorsque l’on lit du Agatha Christie !