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Ma vie rouge Kubrick

par Simon Roy

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Stanley Kubrick's film The Shining was released in 1980 and has been fascinating viewers ever since. It is a psychological thriller about a writer with writer's block (along with his wife and their young son) who takes a job as caretaker of an isolated hotel in the Colorado mountains during the winter off-season. The boy, Danny, is gifted with a "sixth sense" and soon begins receiving disturbing messages about the hotel's mysterious past, and thus begins a cinematic descent into madness and terror. Simon Roy first saw The Shining when he was ten years old and was mesmerized by a particular line in the movie spoken by Dick Hallorann, the chef of the Overlook Hotel, while he is giving the family an orientation tour of the facilities. Hallorann seems to speak directly to Danny (and Simon Roy) while in the middle of enumerating the stock of the hotel's pantry to Danny's mother. He glances at Danny and the words cross telepathically into the boy's mind: "How'd you like some ice cream, Doc?" Roy encountered the scene by chance, while idly flipping through the channels on the television, but the short scene left an indelible mark upon him: "The doubling of Chef Hallorann's voice created in me such powerful unease that I can still feel it, intact, thirty years later. ... I felt like Hallorann had for a moment drawn back from his role as the guide of the Overlook Hotel to establish a direct relationship with me and reveal something hidden." Roy has since seen the movie over forty-two times, and the painstaking bond he has knitted with this story of evil has enabled him to absorb the disquieting traits of his own family's "macabre lineage." Analysis of the film, and the many parallels to his own family's troubled history, have allowed him to gain insight into the nature of domestic violence.… (plus d'informations)
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Pourquoi ce livre?
En tant que lectrice, j’ai l’habitude de m’intéresser aux prix littéraires. Début octobre, mon attention a été attirée par le livre de Simon Roy, Ma vie rouge Kubrick, qui a reçu le Prix des libraires du Québec 2015. J’avoue que j’ai trouvé ce titre fort intéressant. J’ai cherché une description du sujet, et j’ai lu également une courte biographie de cet écrivain que je ne connaissais pas. Parce que c’est une nouveauté, la chance de trouver ce livre disponible à la bibliothèque était assez petite. La variante numérique devrait être plus accessible. J’ai fait la demande sur le site du catalogue Sésame des Bibliothèques de Laval et j’ai reçu le lien pour pouvoir activer le prêt.

Premier aspect qui m’a plu :
Livre biographique, Ma vie rouge Kubrick se construit autour du célèbre film de Stanley Kubrick, The Shinning, qui est devenu une obsession pour Simon Roy dès sa jeune enfance, quand il l’a vu pour la première fois. Il construit son récit entremêlant des séquences du film et des séquences de sa propre vie, dans l’essai « d’exorciser son passé familial » (Roy, 2015, p. 47). Des liens inattendus se tissent entre les deux mondes; le récit se construit comme un puzzle reflété dans un miroir. J’ai trouvé très intéressante cette manière de raconter une histoire personnelle par l’intermède d’une œuvre de fiction.

Second aspect qui m’a plu :
Avec l’histoire de sa mère – qui s’est enlevée la vie pendant qu’il écrivait son roman, après plusieurs tentatives ratées au cours de sa vie –, Simon Roy met en lumière un sujet tabou du monde contemporain : la dépression chronique et les pulsions suicidaires. Comment aider ces personnes, car « on ne gave pas quelqu’un du désir de vivre » (Roy, 2015, p. 49)? La mort d’un être cher entraîne de lourdes conséquences pour la famille; le chaos s’installe, et c’est le moment de découvrir « la précarité de cet édifice » qui est la vie (Roy, 2015, p. 75).

Aspect qui m’a moins plu :
J’aime bien l’écriture de Simon Roy, mais je la trouve parfois trop sombre. De même pour les idées véhiculées. En voilà un exemple : « Il n’y a pas d’issue, nous sommes condamnés à reproduire les pires calamités de génération en génération, de siècle en siècle » (Roy, 2015, p. 106). Ou encore : « Une vie matérielle ramenée à vingt-deux sacs à ordures et à deux voyages d’auto bien pleins, voilà aussi ce que nous sommes. » (Roy, 2015, p. 134). Quoique parfaitement justifiable, ce pessimisme qui alimente son texte d’un bout à l’autre n’est pas facile à soutenir.

Le livre comme objet numérique
J’ai lu Ma vie rouge Kubrick en format EPUB, « un format ouvert », qui « s’est établi comme un format de prédilection pour la diffusion de textes numériques, surtout pour sa mise en page flexible » (Sinclair et Rockwell, 2014a).

a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation

Ce livre numérique reproduit des caractéristiques du volume sur papier, ce qui a un effet rassurant sur le lecteur (Sinclair et Rockwell, 2014b). De plus, il offre la flexibilité spécifique au numérique : augmenter ou diminuer la taille de la police, approcher ou éloigner la page, positionner la page (plein écran), avancer ou retourner en appuyant sur la flèche. Il y a la possibilité de sélectionner des fragments de texte pour les rajouter dans la section des Signets; on peut mettre des signets pour les pages. Il y a aussi la possibilité d’utiliser une boîte de recherche pour chercher des mots dans le texte.

b. Fonctions hypertextuelles

La navigation se fait facilement, à l’aide des flèches ou en déroulant les pages avec la souris. Il y a la possibilité de renvois internes, mais dans le cas de ce livre, les notes (peu nombreuses) se trouvent sur la même page. Le menu déroulant offre la possibilité de faire des notes. La Table de matière s’ouvre dans un rectangle à gauche, en cliquant sur le panneau de navigation et permet d’ouvrir le chapitre désiré. Le livre peut contenir des renvois externes, par exemple le lien qui mène vers le site des Éditions Boréal.
  simona6344a15 | Oct 12, 2015 |
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Stanley Kubrick's film The Shining was released in 1980 and has been fascinating viewers ever since. It is a psychological thriller about a writer with writer's block (along with his wife and their young son) who takes a job as caretaker of an isolated hotel in the Colorado mountains during the winter off-season. The boy, Danny, is gifted with a "sixth sense" and soon begins receiving disturbing messages about the hotel's mysterious past, and thus begins a cinematic descent into madness and terror. Simon Roy first saw The Shining when he was ten years old and was mesmerized by a particular line in the movie spoken by Dick Hallorann, the chef of the Overlook Hotel, while he is giving the family an orientation tour of the facilities. Hallorann seems to speak directly to Danny (and Simon Roy) while in the middle of enumerating the stock of the hotel's pantry to Danny's mother. He glances at Danny and the words cross telepathically into the boy's mind: "How'd you like some ice cream, Doc?" Roy encountered the scene by chance, while idly flipping through the channels on the television, but the short scene left an indelible mark upon him: "The doubling of Chef Hallorann's voice created in me such powerful unease that I can still feel it, intact, thirty years later. ... I felt like Hallorann had for a moment drawn back from his role as the guide of the Overlook Hotel to establish a direct relationship with me and reveal something hidden." Roy has since seen the movie over forty-two times, and the painstaking bond he has knitted with this story of evil has enabled him to absorb the disquieting traits of his own family's "macabre lineage." Analysis of the film, and the many parallels to his own family's troubled history, have allowed him to gain insight into the nature of domestic violence.

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