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Le château de ma mère (1957)

par Marcel Pagnol

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Le plus beau livre sur l'amiti enfantine: un matin de chasse dans les collines, Marcel rencontre le petit paysan., Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie enti re en seront illumin es.Un an apr s La Gloire de mon p re, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d'enfance avec ce Ch teau de ma m re (1958), deuxi me volet de ce qu il consid rait comme un diptyque, s'achevant sur la sc ne c l bre du f roce gardien effrayant la timide Augustine. Le petit Marcel., apr s la tendresse familiale, a d couvert l'amiti avec le merveilleux Lili., sans doute le plus attachant de ses personnages. Le livre se cl t sur un pilogue m lancolique., poignante l gie au temps qui a pass . Pagnol y fait vibrer les cordes d'une gravit laquelle il a rarement habitu ses lecteurs. H l'ami Je vis un gar on de mon ge qui me regardait s v rement. Il ne faut pas toucher les pi ges des autres. dit-il. Un pi ge, c'est sacr - Je n'allais pas le prendre, dis-je. Je voulais voir l'oiseau. II s'approcha: c ' tait un petit paysan. Il tait, brun, avec un fin visage proven al, des yeux noirs et de longs cils de fille. … (plus d'informations)
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Bibliothèques historiquesKaren Blixen
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Avec leurs fourrés de térébinthes et de chênes kermès, les collines qui dominent Aubagne sont le paradis du gibier, des chasseurs et des braconniers, Mais est-on braconnier sur les terres de son village ? Ce n'est pas l'avis de Lili des Bellons que Marcel Pagnol (glorieusement promu à l'âge de neuf ans « rabatteur et chien rapporteur» pour le compte de son père et de son oncle) rencontre au Puits du Mûrier. Ils chasseront de compagnie plume, poil et « grosibou » jusqu'au jour sinistre de la rentrée. Quand la ronde des saisons ramène le printemps, la famille Pagnol, chargée de baluchons, reprend le chemin de la bastide. Un jour, le raccourci est barré par un garde intraitable : c'est l'épisode affolant du « château de la peur » sur lequel s'achève ce volume - suite de La gloire de mon père ? où Marcel Pagnol poursuit le récit de sa jeunesse avec l'esprit, la tendresse et la drôlerie qui ont fait la juste réputation de cet écrivain sensible et gai. ( )
  vdb | Nov 21, 2010 |
Le plus beau livre sur l'amitié enfantine : un matin de chasse dans les collines. Marcel rencontre le petit paysan, Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie entière en seront illuminées.
Un an après La Gloire de mon père, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d'enfance avec ce Château de ma mère (1958), deuxième volet de ce qu'il considérait comme un diptyque, s'achevant sur la scène célèbre du féroce gardien effrayant la timide Augustine. Le petit Marcel, après la tendresse familiale, a découvert l'amitié avec le merveilleux Lili, sans doute le plus attachant de ses personnages. Le livre se clôt sur un épilogue mélancolique, poignante élégie au temps qui a passé. Pagnol y fait vibrer les cordes d'une gravité à laquelle il a rarement habitué ses lecteurs.
Je ris un garçon de mon âge qui me regardait sévèrement. "Il ne faut pas toucher les pièges des autres, dit-il. Un piège, c'est sacré ! - Je n'allais pas le prendre, dis-je. Je voulais voir l'oiseau. '' Il s'approcha : c'était un petit paysan. Il était brun, avec un fin ri sage provençal, des veux noirs et de longs cils de fille. " ( )
  bonite | Apr 20, 2007 |
Sans doute le plus poignant; éloge à sa mère et à son frère ( )
  Cecilturtle | May 22, 2006 |
Souvenirs D'enfance T02
  guyotvillois | Oct 16, 2018 |
4 sur 4
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Marcel Pagnolauteur principaltoutes les éditionscalculé
Wedekind, PamelaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Appartient à la série éditoriale

Goldmann (41289)

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Le plus beau livre sur l'amiti enfantine: un matin de chasse dans les collines, Marcel rencontre le petit paysan., Lili des Bellons. Ses vacances et sa vie enti re en seront illumin es.Un an apr s La Gloire de mon p re, Marcel Pagnol pensait conclure ses Souvenirs d'enfance avec ce Ch teau de ma m re (1958), deuxi me volet de ce qu il consid rait comme un diptyque, s'achevant sur la sc ne c l bre du f roce gardien effrayant la timide Augustine. Le petit Marcel., apr s la tendresse familiale, a d couvert l'amiti avec le merveilleux Lili., sans doute le plus attachant de ses personnages. Le livre se cl t sur un pilogue m lancolique., poignante l gie au temps qui a pass . Pagnol y fait vibrer les cordes d'une gravit laquelle il a rarement habitu ses lecteurs. H l'ami Je vis un gar on de mon ge qui me regardait s v rement. Il ne faut pas toucher les pi ges des autres. dit-il. Un pi ge, c'est sacr - Je n'allais pas le prendre, dis-je. Je voulais voir l'oiseau. II s'approcha: c ' tait un petit paysan. Il tait, brun, avec un fin visage proven al, des yeux noirs et de longs cils de fille.

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