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Chargement... Can't We Talk about Something More Pleasant?: A Memoir (édition 2014)par Roz Chast (Auteur)
Information sur l'oeuvreCan't We Talk about Something More Pleasant? A Memoir par Roz Chast
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Prix et récompensesDistinctionsListes notables
"Les parents de Roz vivent depuis cinquante ans dans le même appartement de Brooklyn, convaincus qu'il leur suffit de ne pas penser à la mort pour la tenir à distance. Mais quand les effets du grand âge se font sentir malgré tout, Roz n'a d'autre choix que de s'immiscer dans leur quotidien pour leur venir en aide. Une intrusion qui se révèle aussi perturbante pour le trio que la vieillesse elle-même... Des premières défaillances jusqu'à l'inéluctable issue, Roz Chast nous livre ici un témoignage unique, à la fois drôle et terrifiant, intime et universel." Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)741.5The arts Graphic arts and decorative arts Drawing & drawings Cartoons, Caricatures, ComicsClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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La bande dessinée de Roz Chast est une œuvre extrêmement puissante et touchante. Il s’agit d’un récit autobiographique qui relate les dernières années de ses parents sur terre. Elle nous ouvre son cœur et raconte sans la moindre pudeur et une grande sensibilité les défis de s’occuper de parents vieillissants. Peut-être parce que je vois venir ces moments avec mes propres parents à l’aube de leur septième décennie, j’ai ressentie énormément d’empathie pour l’auteur et me suis identifié à elle à cet égard.
Je ne crois pas qu’il y ait eu un aspect qui m’a vraiment déplu. La seule chose qui me vient à l’esprit est la traduction française. Ce n’est pas la qualité de la traduction qui soit dit en passant n’est pas mauvaise mais plutôt la perte de la spécificité culturelle. L’auteur est d’origine juive américaine. C’est un aspect fondamental de son identité et de son expérience qui est mieux rendu dans sa version originale anglaise. Je crois que, dans la mesure du possible, il est bien plus intéressant de lire une œuvre dans sa langue originale.
J’ai téléchargé le livre à partir du catalogue de la BAnQ. Je l’ai ensuite lu sur mon ordinateur grâce à Adobe Digital Edition 4.5. Je crois qu’il est juste de dire d’emblée que j’ai un préjugé défavorable envers les livres numériques et particulièrement pour les bandes dessinées. Mis à part des blogs tels que ceux de Zviane ou Guy Delisle, je ne lis jamais de bandes dessinées en format numérique et je crois même que c’est la première fois.
Il y a une demi-douzaine de choix d’affichage alors que dans les faits, il n’y a que les modes les plus gros qui conviennent puisque le livre devient quasiment illisible lorsque petit. Le texte est manuscrit, abondant et pas particulièrement bien écrit, ce qui n’est toutefois pas gênant dans un format décent. Je n’ai pas trouvé les fonctions de surlignage ou d’annotations. La table des matières est inutile à moins d’avoir besoin d’un raccourci pour accéder à la page de copyright ou de biographie de l’auteur. La navigation ressemble à celle de n’importe quel document PDF. Il n’y a aucun lien hypertextuel. Je n’ai pas aimé mon expérience et à moins d’y être contraint, je ne rechercherai pas à obtenir une version numérique pour les bandes dessinées que je veux lire. Sans aucun doute, il existe des applications plus intéressantes pour lire des livres numériques. Je mentionne au passage que je n’ai même pas essayé sur une tablette qui a assurément un format trop petit pour l’œuvre d’origine.