Ce roman de Daryl Gregory est son quatrième et il est paru trois ans après L'Éducation de Stony Mayhall qui était un véritable ovni littéraire, bijou d'inventivité et d'originalité. Sans atteindre ce résultat, l'auteur s'en approche d'assez prêt car Afterparty est vraiment très original dans son intrigue de départ ainsi que dans son personnage principal toujours affublé de son ange acolyte. Le déroulement de l'intrigue est lui un peu plus classique ainsi que son dénouement où encore une fois le personnage le plus sympathique se retrouve être celui qui a manigancé un plan assez machiavélique dès le départ. L'auteur choisit de ne pas donner toutes les explications relatives à certains phénomènes dont l'ange du personnage principal se trouve être à la base, ce qui est un peu dommage. Mais cela n'entache en rien le plaisir que l'on prend à la lecture de ce livre. ( )

First, I must praise the narrator who did an astounding job at characterization and allowed me to go with the flow. Many people here recommended this book so I decided to try it - but it wasn't exactly my cup of tea : a near future, drug addicts, a chase and whodunnit, etc.
And you know what? I listened and listened and was hooked till the end! Even though the main character could be a bit abrasive and sometimes reminded me of Thomas Covenant, the unbeliever (something I found unbearable at the time ; I like my characters to play the game!). Till the end, Lyda follows a very narrow path between rationality and madness, rationalization and surrender to her goddess. No melodrama here, the characters are true, unbalanced, crazy, faulty, innocent : each one of them goes through all.
Reader and characters, we're all in the same boat - the same ambiguous boat - never knowing if we're going to sink or reach the shore. Gregory structured his book such that the reader can experience some of the "reality" lived by his characters and maintains the incertitude till the end. ( )