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Chargement... Sapiens: Los piliares de la civilización: Una historia gráfica binocular (édition 2021)par Yuval Noah Harari (Auteur)
Information sur l'oeuvreSapiens : une brève histoire de l'humanité par Yuval Noah Harari
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Beaucoup de parti pris et de tentatives d'endoctrinement dans ce livre, maus aucun regard réellement objectif. ( ) > Voir un extrait : https://books.google.fr/books?id=M89yCgAAQBAJ&hl=fr&printsec=frontcover&... > Recommandé par Mark Zuckerberg le dernier essai de Yuval Noah Harari est un best-seller mondial. De l'âge de la pierre à la Silicon Valley, au carrefour des sciences et de la philosophie, "Sapiens" interroge l'histoire globale de l'humanité à un rythme haletant. > —L'obs > Voici un pavé de cinq cents pages sorti en septembre, mais qui aurait fait un excellent polar de l'été. [...] Un brillant travail de vulgarisation et une nécessaire mise en garde sur le devenir de l'humanité. —Le Monde des Religions > Sapiens s'est rapidement imposé partout dans le monde, parce qu il aborde les plus grandes questions de l'histoire moderne dans une langue limpide et précise. —Jared Diamond, prix Pulitzer, auteur d'Effondrement Essai passionnant. Claire, précis, avec des pointes d'humour par moment, c'est un remarquable ouvrage qui donne à penser et prendre de la distance sur notre monde, notre société, notre histoire. Au travers de quatre révolutions, la révolution cognitive, la révolution agricole, la révolution scientifique et la révolution industrielle, nous comprenons comment Homo Sapiens a conquis le monde pour arriver à un point ou son avenir est en bascule. Sans parti pris l'auteur tente de présenter des explications sur cette conquête qui s'est faites sans égard et attention aux autres espèces présentes sur notre terre. En prenant le recul et la distanciation de l'historien et en mettant en perspective ces 200.000 ans d'évolution, il nous questionne sur cette recherche éperdue du bonheur et sur notre avenir. - c'est la fiction qui nous a permis d'imaginer des choses, mais aussi de la faire collectivement. - ces mythes donnent à Sapiens une capacité sans précédent de coopérer en masse et en souplesse. - le seuil critique de la capacité d'organisation humaine se situe autour de ce chiffre magique (150)..... comment Homo Sapiens a-t-il réussi à franchir ce seuil critique pour finalement fonder des cités et des empires.. Le secret réside probablement dans l'apparition de la fiction. - toute coopération humaine à grande échelle s'enracine dans des mythes communs qui n'existent que dans l'imagination collective. - la difficulté n'est pas de raconter l'histoire mais de convaincre tous les autres d'y croire. - depuis la révolution cognitive, les Sapiens ont donc vécu dans une double réalité. D'un côté la réalité objective, de l'autre la réalité imaginaire. - la collectivité humaine en sait aujourd'hui bien plus long que les bandes d'autrefois. Sur un plan individuel, en revanche, l'histoire n'a pas hommes plus avertis et plus habiles que les anciens chasseur-cueilleur. - parmi les plus grandes créatures du monde, les seuls survivants du déluge humain sont les hommes eux-mêmes et les animaux de ferme réduits à l'état de galériens dans l'arche de Noé. - si nos esprits sont ceux des chasseurs-cueilleurs, notre cuisine est celle des anciens fermiers - la révolution agricole augmenta la somme totale des cidres à la disposition de l'humanité, mais la nourriture supplémentaire ne se traduisit ni en meilleure alimentation ni en davantage de loisirs. Elle se solda plutôt par des explosions démographiques et l'appartient d'une élite choyée. Le fermier moyen travaillait plus dur que le chasseur-cueilleur mais se nourrissait moins bien. - paradoxalement, une série d'amélioration toutes censées rendre la vie plus facile ajoutèrent une meule au cou de ces cultivateurs. - la recherche par l'humanité d'une vie plus facile a libéré des forces de changement immense qui ont transformé le monde d'une façon que personne n'envisageait ni ne désirait. - l'attachement à "sa maison" et la séparation d'avec les voisins devint la marque psychologique d'une créature bien plus égocentrique. - dès l'avènement de l'agriculture, les soucis quant à ce que réservait le futur devinrent de grands acteurs dans le théâtre de l'esprit humain. - le stress de la culture ut lourd de conséquence. Ce fut le fondement de systèmes politique et sociaux de grands ampleur. L'ordre imaginaire : a) est incorporé au monde matériel. b) façonne nos désirs c) est intersubjectif - L'impact le plus important de l'écriture sur l'histoire humaine a progressivement changé la façon dont les hommes pensent et voient le monde. Libre association et pensée soliste ont laissé la place au compartimentage et à la bureaucratie Comment les hommes se sont-ils organisés en réseaux de coopération de masse ? Ils créèrent des ordres imaginaires et inventèrent des écritures. - Mythes et fictions habituèrent les gens à penser de certaines façons, à se conformer à certaines normes, à vouloir certaines choses et à observer certaines règles. Ce faisant ils créèrent des instincts artificiels qui permirent à des millions d'inconnus de coopérer efficacement. C'est ce réseau d'instincts artificiels qu'on appelle "culture". Contrairement aux lois de la physique, qui n'admettent pas la moindre inconséquence, tout ordre humain es truffé de contradictions internes. Les cultures ne cessent d'essayer de concilier ces contradictions et ce processus nourrit le changement. Elles sont indissociables de toute culture humaine. En fait elles sont ses moteurs et expliquent la créativité et le dynamisme de notre espèce. La discorde de nos pensées, idées et valeurs, nous oblige à penser, à réévaluer et à critiquer. La cohérence est le terrain de jeu des esprits bornés. - La monnaie n'est pas une réalité matérielle, mais une construction psychologique. Elle opère en transformant la matière en esprit. La monnaie est le système de confiance mutuelle le plus efficace qui ait jamais été imaginé. La monnaie est l'apogée de la tolérance. La monnaie est le seul système de confiance créé par l'homme qui puisse enjamber n'importe quel fossé culturel et qui ne fasse aucune discrimination sur la base de ak religion, du genre, de la race, de l'âge ou de l'orientation sexuelle. Grâce à l'argent même des gens qui ne se connaissent pas et ne se font pas confiance peuvent tout de même coopérer efficacement. Mais : si tout est convertible, que la confiance dépend de pièces anonymes, cela corrode les traditions locales, les relations intimes et les valeurs humaines pour les remplacer par les lois froides de l'offre et de la demande. Cette confiance est investie non pas dans le hommes, les communautés ou les valeurs sacrées, mas dans la monnaie elle-même et les systèmes impersonnels qui l'a soutiennent. - l'intuition fondamentale du polythéisme est propice à une profonde tolérance religieuse. - les cultures sont des parasites mentaux qui apparaissent par accident puis profitent de toux ceux qu'elles ont contaminés. - la dynamique de l'histoire n'est pas vouée à renforcer le bien-être humain. Comme l'évolution, l'histoire méprise le bonheur des organismes individuels. Et les individus, quant à eux, sont habituellement bien trop ignorant et faibles pour infléchir le cours de l'histoire à leur avantage. - Au XV° et XVI° siècle, les expéditions impériales européennes transformèrent l'histoire du monde : une série d'histoire de peuples et de culture isolés laissé place à l'histoire d'une seule et unique société humaine intégrée - les empires occidentaux créèrent le monde tel que nous le connaissons, y compris les idéologies qui nous servent à les juger - quand la croissance devient un bien suprême sans aucune considération éthique pour la freiner, elle risque fort de mener à la catastrophe. - de même que la révolution agricole, la croissance économique moderne pourrait bien apparaître comme une colossale imposture. L'espère humaine et l'économie mondiale peuvent poursuivre leur croissance, cela n'empêche pas que beaucoup vivent dans la faim et le besoin. - la révolution industrielle a été au fond une révolution de la conversion énergétique. Elle a démontré que la quantité d'énergie à notre disposition n"a pas de limite. Ou, plus exactement, que la seule limite est celle de notre ignorance. - les éthiques capitaliste et consuméristes sont les deux côtés de la même médaille, la fusion de deux commandements; Le commandement suprême du riche est "Investis !" Celui du commun des mortels "achète !" C'est une aventure en vol plané au-dessus de l'histoire, à laquelle nous convie Yuval Noah Harari, cet historien de l'Université hébraique de Jérusalem. Avec une capacité étonnante d'aborder l'humanité sous un angle macroscopique, il nous offre une vision globale de l'évolution de l'homo sapiens. Il s'attarde, il va de soi, sur les premiers moments de l'homo sapiens en présentant des hypothèses intéressantes sur les éléments qui auraient contribué au fait que Sapiens soit encore là alors que Néanderthal ou l'homme de Flores nous ont quittés. Il avance que ce serait la capacité de Sapiens à imaginer des fictions qui lui a permis de faire collaborer des ensembles toujours plus importants d'individus autour des mêmes idées. Ces fictions, ce sont notamment les religions, les monnaies, les entreprises commerciales, ... Il abordera ainsi les grandes révolutions de l'humain, la révolution cognitive qui aura permis à sapiens de communiquer de façon efficace, la révolution agricole, les grands facteurs unificateurs que sont la religion, l'argent et l'empire, la révolution industrielle et scientifique. Sur tous ces éléments, Harari porte un regard global et critique qui parfois heurte nos façons de voir les choses, mais il amène ses arguments de si belles manières et il démontre un tel talent de vulgarisateur qu'on ne peut que s'incliner et faire le constat que l'auteur vient de nous faire vivre une aventure palpitante de plusieurs millénaires. Aujourd'hui encore, malgré nos technologies avancées, plus de 90% des calories qui nourissent l'humanité proviennent de la poignée de plantes que nos ancêtres domestiquèrent entre -9 500 et -3 500 : blé, riz, maïs, pommes de terre, millet et orge. [Y.N.H.] Depuis des milliers d'années, philosophes, penseurs et prophètes ternissent l'argent et en font la racine de tous les maux. Quoi qu'il en soit, la monnaie est aussi l'apogée de la tolérance. [...] Grâce à l'argent, même des gens qui ne se connaissent pas et ne se font pas confiance peuvent tout de même coopérer efficacement. [... Mais] quand tout est convertible, quand la confiance dépend de pièces anonymes et de cauris, elle corrode les traditions locales, les relations intimes et les valeurs humaines, pour les remplacer par les lois froides de l'offre et de la demande. [Y.N.H.] Dans les cercles universitaires, beaucoup sont naïfs au point de croire à la science pure. Ils croient l'État et les entreprises assez altruistes pour leur donner de quoi poursuivre leurs projets de recherche au gré de leur fantaisie. Or, la réalité du financement de la science est bien différente. La plupart des études scientifiques sont financées parce que quelqu'un estime qu'elles peuvent aider à atteindre quelque but politique, économique ou religieux. [Y.N.H.] Dans les derniers chapitres, il examine le rythme effarant des dernières révolutions et il se pose une question essentielle. Ces révolutions contribuent-elles à l'avancée du bonheur au coeur de l'humain? Enfin, il dresse un portrait inquiétant de l'éventuel futur de l'homo sapiens. Voici soixante-dix mille ans, Homo sapiens n'était encore qu'un animal insignifiant qui vaquait à ses affaires dans un coin de l'Afrique. Au fil des millénaires suivants, il s'est transformé en maître de la planète entière et en terreur de l'écosystème. Il est aujourd'hui en passe de devenir un dieu, sur le point d'acquérir non seulement une jeunesse éternelle, mais aussi les capacités divines de destruction et de création. [Y.N.H. En épilogue] On peut voir ici une conférence Ted de l'auteur : Comment expliquer l'ascension de l'homme? http://bit.ly/2aOc57R [http://rivesderives.blogspot.ca/2016/08/sapiens-une-breve-histoire-de-l-yuval.html]
Much of Sapiens is extremely interesting, and it is often well expressed. As one reads on, however, the attractive features of the book are overwhelmed by carelessness, exaggeration and sensationalism. Jared Diamond hoort met Simon Schama, Bill Bryson en Charles Mann tot die zeldzame auteurs die inderdaad het grote verhaal vertellen. [...] Zijn recente werk, De wereld tot gisteren, is een brede vergelijking tussen de laatste primitieve samenlevingen, en de eenheidsworst die we nu 'beschaving' noemen. Diamond laat zien hoe 'primitief' we eigenlijk nog zijn, en hoe veel we van die volken kunnen leren. Hij zet aan tot denken. Harari laat de lezer in verwarring achter. [...] Harari beheerst de techniek, maar een 'groot verhaal' komt niet van de grond. Appartient à la série éditorialeTascabili [Bompiani] (533) Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Il y a 100,000 ans, la Terre était habitée par au moins six espèces différentes d'hominidés. Une seule a survécu. Nous, les Homo Sapiens. Comment notre espèce a-t-elle réussi à dominer la planète ? Pourquoi nos ancêtres ont-ils uni leurs forces pour créer villes et royaumes ? Comment en sommes-nous arrivés à créer les concepts de religion, de nation, de droits de l'homme ? A dépendre de l'argent, des livres et des lois ? A devenir esclaves de la bureaucratie, des horaires, de la consommation de masse ? Et à quoi ressemblera notre monde dans le millénaire à venir ? Véritable phénomène d'édition, traduit dans une trentaine de langues, Sapiens est un livre audacieux, érudit et provocateur. Professeur d'Histoire à l'Université hébraïque de Jérusalem, Yuval Noah Harari mêle l'Histoire à la Science pour remettre en cause tout ce que nous pensions savoir sur l'humanité : nos pensées, nos actes, notre héritage... et notre futur. (Payot.ch) Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)909History and Geography History World historyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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