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Chargement... Organon, tome 6 : Les Réfutations sophistiquespar Aristote
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L'interpretation des Refutations Sophistiques reposait depuis pres d'un siecle sur l'edition de Ross qui n'avait ni relu les manuscrits les plus anciens : l'Urbinas gr. 35 (A, du Xe s.) et le Marcianus gr. 201 (B, a. 954), ni utilise le Vaticanus Barberinianus gr. 87 (V, du Xe s.) et les fragments du Parisinus suppl. gr. 1362 (F, du IXe s.). L'edition de Myriam Hecquet repose sur de nouvelles collations de ces temoins directs. Elle ajoute le temoignage des traductions arabes de Qadim ibn Na'ima (IXe s.), Yahya ibn 'Adi (Xe s.) et 'Isa ibn Zur'a (Xe s.) d'apres l'examen ponctuel que Michel Crubellier a fait du Parisinus ar. 2346. Elle retient generalement le texte des manuscrits A et B, moins corrompus, plutot que les corrections savantes trouvees dans les autres manuscrits ou proposees par les editeurs et interpretes. Sa traduction elucide des passages restes jusque la incompris. Un appareil de notes explicatives tres developpees rend compte de la complexite du texte et en facilite la lecture. Dans l'introduction, l'auteur revient sur la genese du traite et la coherence de l'analyse aristotelicienne, propose une explication inedite du fonctionnement de la dialectique peirastique (comment n'importe qui peut-il mettre a l'epreuve le savoir revendique par son interlocuteur?) et reconsidere l'objet du traite et la relation aux Topiques. L'interpretation des Refutations Sophistiques reposait depuis pres d'un siecle sur l'edition de Ross qui n'avait ni relu les manuscrits les plus anciens : l'Urbinas gr. 35 (A, du Xe s.) et le Marcianus gr. 201 (B, a. 954), ni utilise le Vaticanus Barberinianus gr. 87 (V, du Xe s.) et les fragments du Parisinus suppl. gr. 1362 (F, du IXe s.). L'edition de Myriam Hecquet repose sur de nouvelles collations de ces temoins directs. Elle ajoute le temoignage des traductions arabes de Qadim ibn Na'ima (IXe s.), Yahya ibn 'Adi (Xe s.) et 'Isa ibn Zur'a (Xe s.) d'apres l'examen ponctuel que Michel Crubellier a fait du Parisinus ar. 2346. Elle retient generalement le texte des manuscrits A et B, moins corrompus, plutot que les corrections savantes trouvees dans les autres manuscrits ou proposees par les editeurs et interpretes. Sa traduction elucide des passages restes jusque la incompris. Un appareil de notes explicatives tres developpees rend compte de la complexite du texte et en facilite la lecture. Dans l'introduction, l'auteur revient sur la genese du traite et la coherence de l'analyse aristotelicienne, propose une explication inedite du fonctionnement de la dialectique peirastique (comment n'importe qui peut-il mettre a l'epreuve le savoir revendique par son interlocuteur?) et reconsidere l'objet du traite et la relation aux Topiques. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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