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The Santiago Pilgrimage: Walking the…
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The Santiago Pilgrimage: Walking the Immortal Way (édition 2017)

par Jean-Christophe Rufin (Auteur)

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L'écrivain se met en scène dans le costume du pélerin qu'il est devenu. Il se défait de tous les attributs de sa position sociale et raconte, à travers des anecdotes et ses rencontres, son parcours sur ce Chemin qui fascine et qui fête son 1.200e anniversaire. Prix Nomad's 2013.--[Memento]
Membre:HenriRenard
Titre:The Santiago Pilgrimage: Walking the Immortal Way
Auteurs:Jean-Christophe Rufin (Auteur)
Info:MacLehose Press (2017)
Collections:Votre bibliothèque
Évaluation:*****
Mots-clés:Aucun

Information sur l'oeuvre

Immortelle randonnée. Compostelle malgré moi par Jean-Christophe Rufin

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Son titre, sa 1ère de couverture rouge sang, son auteur ; ce livre m'a fait un clin d'oeil depuis l'étalage de la maison de la presse du Val-André. Ce chemin de Compostelle, que je n'ai parcouru que sur deux petites portions, en Normandie, près de l'abbaye de Jumièges, et que j'ai longtemps souhaité entreprendre sur la durée, j'avais envie de m'y plonger par le réçit de quelqu'un parti sur le chemin, seul, en quête de je ne sais quoi. Alors j'ai lu ce livre de J.Ch. Rufin, j'y ai trouvé matière à imaginer un peu mieux cet appel des sentiers et les paysages de ce chemin du nord ; j'y ai découvert des personnages attachants, étonnants, émouvants parfois. Mais globalement je suis un peu restée sur ma faim, et j'ai eu un peu la sensation que Rufin a écrit ce livre un peu facilement, à la va-vite, sur commande de son éditeur. Pas mal mais pas top, loin s'en faut. ( )
  fiestalire | Oct 22, 2013 |
Très irritant au début, puis on se laisse prendre, surtout parce qu'on a fait ce chemin. ( )
  Danielec | Sep 28, 2013 |
Humeur, humour, autodérision. La lente transformation du "pèlerin" sur le chemin de Compostelle. J'ai trouvé ce livre plein de légèreté et en même temps, on pressent, derrière cette légèreté, que cette expérience laissera des traces indélébiles dans la vie de narrateur.
  NICOLASyves | Aug 29, 2013 |
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If, like me, you know nothing about Santiago de Compostela before setting off, you probably imagine an ancient path winding through meadows, worn over many centuries by the feet of solitary pilgrims.
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Ne pas combiner l'édition TEXTE avec l'édition ILLUSTREE
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L'écrivain se met en scène dans le costume du pélerin qu'il est devenu. Il se défait de tous les attributs de sa position sociale et raconte, à travers des anecdotes et ses rencontres, son parcours sur ce Chemin qui fascine et qui fête son 1.200e anniversaire. Prix Nomad's 2013.--[Memento]

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Description du livre
D'Hendaye à Saint-Jacques de Compostelle, sur le Camino del Norte, Jean-Christophe Rufin nous fait partager son goût des "raccourcis" et des "variantes" pour ne pas rencontrer les foules de marcheurs qui pérégrinent  en direction de Saint-Jacques de Compostelle.

De déconvenues en bonnes surprises son chemin ne ressemble pas au pèlerinage lambda. Il est parsemé d'interrogations, de remises en question et d'aventures cocasses.

Il pose un regard sans condescendance sur la foule des pèlerins du vingtième siècle qui ne respecte pas toujours les "règles" du "vrai pèlerinage". Mais ce pèlerinage authentique existe-t-il vraiment de nos jours? Chacun vit son chemin à sa manière et c'est ce qui fait la diversité du "Camino". Il faut simplement faire preuve de tolérance pour autant que chacun respecte son prochain.
LORSQUE, comme moi, on ne sait rien de Compostelle avant de partir, on imagine un vieux chemin courant dans les herbes, et des pèlerins plus ou moins solitaires qui l'entretiennent en y laissant l'empreinte de leurs pas. Erreur grossière, que l'on corrige bien vite lorsqu'on va chercher la fameuse credencial, document obligatoire pour accéder aux refuges pour pèlerins !
On découvre alors que le Chemin est l'objet sinon d'un culte, du moins d'une passion, que partagent nombre de ceux qui l'ont parcouru. Toute une organisation se cache derrière le vieux chemin : des associations, des publications, des guides, des permanences spécialisées. Le chemin est un réseau, une confrérie, une internationale. Nul n'est contraint d'y adhérer, mais cette organisation se signale à vous dès le départ, en vous délivrant la credencial, ce passeport qui est bien plus qu'un bout de carton folklorique. Car, dûment fiché comme futur-ancien-pèlerin, vous recevrez désormais des bulletins d'études savants, des invitations à des sorties pédestres et même, si vous habitez certaines villes, à des séances de restitution d'expériences, organisées autour de voyageurs fraîchement rentrés. Ces rencontres amicales autour d'un verre s'appellent «Le vin du pèlerin» !
J'ai découvert ce monde en entrant par une après-midi pluvieuse dans la petite boutique sise rue des Canettes à Paris, dans le quartier Saint-Sulpice, siège de l'association des Amis de Saint-Jacques. L'endroit détone, au milieu des bars branchés et des boutiques de fringues. Il fleure bon sa salle paroissiale et le désordre poussiéreux qui l'encombre a l'inimitable cachet des locaux dits «associatifs». Le permanencier qui m'accueille est un homme d'un certain âge - on dirait aujourd'hui un «senior», mais ce terme n'appartient pas au vocabulaire jacquaire. Il n'y a personne d'autre dans la boutique et j'aurais l'impression de le réveiller s'il ne se donnait pas beaucoup de mal pour paraître affairé. L'informatique n'a pas encore pris possession du lieu. Ici règnent toujours la fiche bristol jaunâtre, les dépliants ronéotypés, le tampon baveux et son encreur métallique.
Je me sens un peu gêné de déclarer mon intention - pas encore arrêtée, pensé-je - de partir sur le Chemin. L'ambiance est celle d'un confessionnal et je ne sais pas encore que la question du «pourquoi» ne me sera pas posée. Prenant les devants, je tente des justifications qui, évidemment, sonnent faux. L'homme sourit et revient à des questions pratiques : nom, prénom, date de naissance.
Il me conduit peu à peu jusqu'au grand sujet : est-ce que je souhaite adhérer à l'association avec le bulletin - c'est plus cher - ou sans, c'est-à-dire en payant le minimum : il me donne les prix de chaque option. Les quelques euros de différence lui semblent suffisamment importants pour qu'il se lance dans une longue explication sur le contenu précis des deux formes d'adhésion. Je mets cela sur le compte d'un désir louable de solidarité : ne pas priver de Chemin les plus modestes. En cours de route, j'aurai l'occasion de comprendre qu'il s'agit de bien autre chose : les pèlerins passent leur temps à éviter de payer. Ce n'est souvent pas une nécessité, mais plutôt un sport, un signe d'appartenance au club. J'ai vu des marcheurs, par ailleurs prospères, faire d'interminables calculs, avant de décider s'ils commanderont un sandwich (pour quatre) dans un bar, ou s'ils feront trois kilomètres de plus pour l'acheter à une hypothétique boulangerie. Le pèlerin de Saint-Jacques, que l'on appelle un Jacquet, n'est pas toujours pauvre, loin s'en faut, mais il se comporte comme s'il l'était. On peut rattacher ce comportement à l'un des trois voeux qui, avec la chasteté et l'obéissance, marquent depuis le Moyen Âge l'entrée dans la vie religieuse ; on peut aussi appeler cela plus simplement de la radinerie. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
Revue de presse
«Chaque fois que l’on m’a posé la question “Pourquoi êtes-vous allé à Santiago ?”, j’ai été bien en peine de répondre. Car le Chemin a pour effet sinon pour vertu de faire oublier les raisons qui ont amené à s’y engager. On est parti, voilà tout.»
Résumé sous forme de haïku

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