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Chargement... Longbourn (édition 2013)par Jo Baker (Auteur)
Information sur l'oeuvreUne saison à Longbourn: Traduit de l'anglais par Carole Hanna par Jo Baker
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Une curiosité quand on lu Jane Austen et regardé Downton Abbey ! Le style est un peu trop descriptif, avec des passages dignes d'un roman "de gare"... Peut-être est-ce la faute de la traduction ? J'ai été prise par l'histoire, ou plutôt les différentes histoires des protagonistes. C'est une jolie découverte que ce roman.
Like Austen, Baker has written an intoxicating love story but, also like Austen, the pleasure of her novel lies in its wit and fierce intelligence. Longbourn is a profound exploration of injustice, of poverty and dependence, of loyalty and the price of principle; running through the quiet beauty of much of Baker's writing is the unmistakable glint of anger. Jo Baker’s interesting novel focuses on the downstairs life at Longbourn, the house where the Bennets of “Pride and Prejudice” live. The author makes no attempt to imitate Austen’s style, and pays relatively little attention to Austen’s major characters...Jo Baker’s thoroughly researched description of the servants’ toil expands the tiny piece of ivory that Jane Austen worked on by showing how the lives of the middle and upper classes depended on work that’s now hard to imagine...Certainly, of the many literary rethinkings of Austen’s work, “Longbourn” is one of the most engaging and rewarding Baker deploys them to good effect not only for their intrinsic interest but as a moral corrective. She has also fashioned an absorbing and moving story about the servants at Longbourn...If part of Baker’s inspiration could have come from Charlotte Brontë, there’s also an aside straight out of “Les Misérables... But to mention these classics is not to condemn as pastiche a work that’s both original and charming, even gripping, in its own right. Appartient à la série éditorialeEst une réponse àPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Fiction.
Literature.
Romance.
Historical Fiction.
HTML: ? Pride and Prejudice was only half the story ? Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.92Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 2000-Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Je cherchais une lecture divertissante et ma belle-sœur, à qui j’avais parlé de ma lecture récente d’une réécriture du récit d’Orgueil et préjugés, m’a proposé ce roman qu’elle venait de terminer. Je me demandais si je voulais relire une adaptation du livre de Austen aussi rapidement, mais finalement j’ai compris que les deux ouvrages sont totalement différents quant au sujet et à la forme. Après avoir lu le quatrième de couverture et écouté les impressions de ma belle-sœur, je décidai de le lui emprunter.
Un aspect qui m'a plu:
J’ai apprécié le fait que l’histoire s’éloigne du récit d’Orgueil et préjugés, qui devient un repère lointain, pour mieux exposer la vie de l’époque. Par les thèmes abordés et son réalisme, l’histoire devient une œuvre en elle-même, plutôt qu’un calque d’un classique. Même si on s’éloigne de l’intention d’Austen, l’auteur nous fait découvrir des aspects de la famille Bennet qui changent notre perception de ses membres et permettent de mieux justifier certaines de leurs actions. Le récit est à la fois historique et très humain : une bonne idée, bien déployée, qui réussit à nous surprendre.
Un aspect qui m'a moins plu:
Je trouve que le livre n’était pas assez long. Il s’y passe déjà beaucoup d’action, mais j’aurais aimé en connaître plus sur l’avenir et le passé des personnages qui ne sont qu’effleurés et qui semblent très riches. Peut-être est-ce un souhait que je regretterais s’il se réalisait, mais je considère que Baker a les compétences nécessaires pour ne pas gâcher son récit et que le monde qu’elle a construit recèle assez de matière pour développer davantage. Peut-être pourrait-elle proposer une suite à ce roman ?
L'objet livre:
Comme l’indique le nom de la collection, le livre est imprimé en petit format. Cette caractéristique, ajoutée au fait que le papier choisi n’est pas trop lourd, tout en étant robuste, rend le livre facilement transportable et sa lecture plus agréable, pour deux raisons. Premièrement, la manipulation du livre n’est pas dérangeante, puisqu’il se tient bien d’une main et n’est pas trop encombrant. Deuxièmement, le livre peut nous accompagner presque partout, ce qui permet de se plonger plus souvent dans l’histoire et de mieux s’en imprégner. La typographie utilisée est assez commune et n’a pas vraiment influencé mon expérience de lecture. Le choix de l’illustration en couverture, la seule du livre, permet de repérer le livre, d’avoir une idée du genre de récit, tout en ne dévoilant pas d’information sur l’intrigue. Dans le même ordre d’idées, le résumé se trouvant en quatrième de couverture permet de développer un intérêt sans trop dévoiler le déroulement de l’histoire. Toutefois, je trouve que celui rédigé par les éditions Livre de poche suggère une légèreté du récit, semblable à celle d’Orgueil et préjugés. Puisqu’il n’en est rien, je trouve que le résumé – après ma lecture – ne rend pas justice au roman. Mais étant donné qu’il ne m’a pas découragé de lire le récit, j’imagine que ce n’est pas un trop grand défaut. Et bien entendu, le livre papier étant le format que je manipule le plus souvent, son utilisation est synonyme de confort pour moi.