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En f vrier 1943, le nom de Stalingrad est sur toutes les l vres et va devenir le symbole de la d faite allemande. Correspondant de L'Etoile rouge, Vassili Grossman assiste aux combats, dont il rend compte dans ses chroniques. C'est ce moment-l qu'il entreprend sa fresque monumentale, Pour une juste cause, dont la seconde partie sera connue dans le monde entier sous le titre de Vie et destin. Grossman est alors un homme branl par la guerre. Son fils a n a t tu au front, sa m re a p ri dans un ghetto... Termin apr s la guerre, Pour une juste cause est publi , entre juillet et octobre 1952, dans la revue Novy Mir. pop e d'une bataille embl matique, c'est un vivant portrait du peuple russe saisi dans sa souffrance et dans sa grandeur. Mais, derri re cette mosa que de destins, ces affrontements sans merci, ces sacrifices h ro ques, nous voyons d j se profiler les questions vertigineuses de Vie et destin sur les totalitarismes de notre temps.… (plus d'informations)
>Pour une juste cause, par Vassili Grossman. — Pour une juste cause est la première partie du récit sur la bataille de Stalingrad et la socièté soviètique réalisé par Vassili Grossman. En 1980, l'Occident découvrait, grâce à des microfilms passés sous le manteau, Vie et destin, récit sur la bataille de Stalingrad et la société soviétique, chef-d'oeuvre de Vassili Grossman (1905-1964). Le correspondant de L'Etoile rouge avait entrepris cette grande fresque dès 1943, après avoir assisté aux combats, et y a mis un point final en 1962. Mais Vie et destin est la seconde partie de ce récit, et Pour une juste cause, pourtant traduit dans la foulée, est la première. Publié en 1952 dans la très officielle revue Novy Mir, ce texte fut démoli dans la Pravda et sa parution précipita la disgrâce de l'auteur. Il s'agit pourtant d'un des plus beaux témoignages sur l'héroïsme du peuple russe, incarné par de formidables personnages à la Tolstoï. —L'Express
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En f vrier 1943, le nom de Stalingrad est sur toutes les l vres et va devenir le symbole de la d faite allemande. Correspondant de L'Etoile rouge, Vassili Grossman assiste aux combats, dont il rend compte dans ses chroniques. C'est ce moment-l qu'il entreprend sa fresque monumentale, Pour une juste cause, dont la seconde partie sera connue dans le monde entier sous le titre de Vie et destin. Grossman est alors un homme branl par la guerre. Son fils a n a t tu au front, sa m re a p ri dans un ghetto... Termin apr s la guerre, Pour une juste cause est publi , entre juillet et octobre 1952, dans la revue Novy Mir. pop e d'une bataille embl matique, c'est un vivant portrait du peuple russe saisi dans sa souffrance et dans sa grandeur. Mais, derri re cette mosa que de destins, ces affrontements sans merci, ces sacrifices h ro ques, nous voyons d j se profiler les questions vertigineuses de Vie et destin sur les totalitarismes de notre temps.
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En 1980, l'Occident découvrait, grâce à des microfilms passés sous le manteau, Vie et destin, récit sur la bataille de Stalingrad et la société soviétique, chef-d'oeuvre de Vassili Grossman (1905-1964). Le correspondant de L'Etoile rouge avait entrepris cette grande fresque dès 1943, après avoir assisté aux combats, et y a mis un point final en 1962. Mais Vie et destin est la seconde partie de ce récit, et Pour une juste cause, pourtant traduit dans la foulée, est la première. Publié en 1952 dans la très officielle revue Novy Mir, ce texte fut démoli dans la Pravda et sa parution précipita la disgrâce de l'auteur. Il s'agit pourtant d'un des plus beaux témoignages sur l'héroïsme du peuple russe, incarné par de formidables personnages à la Tolstoï.
—L'Express