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Chargement... Fragments d'un enseignement inconnu (1949)par P. D. Ouspensky
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Listes notables
This text describes Gurdjieff's cosmology from Ouspensky's perspective as student, and shows how Ouspensky's formulation of his own ideas eventually led to his break with Gurdjieff. The book conveys a strong and lasting impression that not only did Ouspensky discover a real knowledge about man and his relationship with the universe, but that a practical cosmic teaching for the conduct of life is even now in existence. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)197Philosophy and Psychology Modern western philosophy RussiaClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> 3e millénaire : https://www.revue3emillenaire.com/blog/les-miettes-du-festin-par-michel-de-salzm...
> Philo5 : https://www.philo5.com/Mes%20lectures/Ouspensky,%20Fragments%20d'un%20enseigneme...
> Gurdjieff, De l’esclavage à la libération : https://drive.google.com/file/d/1aDqJ8SCOxdLYhCh4pA3pohXQj9rbi87F/view?usp=shari...
> G.I. Gurdjieff : S'observer pour changer, In: Revue 3e millénaire, n°114, Hiver 2014
> Tant qu'un homme ne se fait pas horreur, il ne sait rien sur lui-même.
—Gurdjieff in Ouspensky : Fragments d'un enseignement inconnu
> « Entre l'art objectif et l'art subjectif la différence est en ceci que dans le premier cas l'artiste "crée" réellement - il fait ce qu'il a l'intention de faire, il introduit dans son œuvre les idées et les sentiments qu'il veut. Et l'action de son œuvre sur les gens est tout à fait précise ; ils recevront, chacun d'eux selon son niveau naturellement, les idées et les sentiments mêmes que l'artiste a voulu leur transmettre. Lorsqu'il s'agit d'art objectif, il ne peut rien y avoir d'accidentel, ni dans la création de l'œuvre même, ni dans les impressions qu'elle donne. »
*P. D. Ouspensky, Fragments d'un enseignement inconnu (Ed. Stock, 1974)
> « Selon un enseignement ancien, dont il subsiste des traces en de nombreux systèmes d’hier et d’aujourd’hui, lorsque l’homme atteint le développement le plus complet qui lui soit possible en général, il se compose de quatre corps. Ces quatre corps sont constitués par des substances qui deviennent de plus en plus fines, s’interpénétrent, et forment quatre organismes ayant entre eux une relation bien définie, tout en étant indépendants, capables d’actions indépendantes. »
—Ouspensky, Fragments d’un enseignement inconnu, Stock, 1975, p. 69.
> « Il serait bien préférable de substituer au mot ‘‘immortalité'” les mots “existence
après la mort”. Je répondrai alors que l’homme a la possibilité d’une existence après
la mort. Mais la possibilité est une chose, et la réalisation de la possibilité en est une
autre. »
—P. Ouspensky, Fragments d’un enseignement inconnu, Stock, 1949.
> Needleman Jacob. CONFÉRENCE DE M. JACOB NEEDLEMAN [autre]
In: École pratique des hautes études, Section des sciences religieuses. Annuaire. Tome 100, 1991-1992. 1991. pp. 413-417. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/ephe_0000-0002_1991_num_104_100_14650
Enfin, pour ce qui concerne les divers exposés de l’enseignement de Gurdjieff, l’oeuvre de P.D. Ouspensky, et en particulier Fragments d’un enseignement inconnu est de loin la plus sûre. D’autres commentaires de valeur ont été proposés par René Daumal, Jean Vaysse, Thomas de Hartmann, Maurice Nicoll et Michel Waldberg. Le conférencier a exposé le contenu de ces divers ouvrages et présenté l’état actuel de la recherche et des travaux…
> Ouspensky parvient admirablement à synthétiser l'aspect pratique de l’enseignement oral de son maitre G J. Gurdjieff. Livre indispensable
—Mainmise
> L’ouvrage fondamental sur le travail de Gurdjieff : “Un des meilleurs moyens d’éveiller le désir de travailler sur soi-même est de prendre conscience que l'on peut mourir d’un moment à l’autre. Et cela, il faut apprendre à ne pas l’oublier.” (Albert SARALLIER)
—Nouvelles Clés, (12), Juillet/Août 1990, (p. 45)
> Illusion de COMMUNICATION. — Les gens ne réalisent pas combien leur langage est subjectif, combien les choses qu'ils disent sont différentes, bien qu'ils emploient tous les mêmes mots. Ils ne voient pas que chacun d'eux parle sa langue à lui, sans rien comprendre — ou si vaguement — à celle des autres, sans avoir la moindre idée que l'autre leur parle toujours dans une langue qui leur est inconnue. Les gens sont absolument convaincus d'avoir un langage commun et de se comprendre les uns les autres. En fait, cette conviction n'a pas le moindre fondement. Les mots dont ils font usage sont adaptés aux besoins de la vie pratique. Ils peuvent se communiquer ainsi des informations de caractère pratique, mais aussitôt qu'ils passent à un domaine légèrement plus complexe, ils sont perdus et ils cessent de se comprendre, bien qu'ils en soient inconscients. […] Ils s'imaginent aussi comprendre les auteurs des livres qu'ils lisent […]. En fait, personne ne comprend personne.
—Ouspensky : Fragments d'un enseignement inconnu ( )