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Chargement... Jane, the Fox and Me (original 2012; édition 2014)par Fanny Britt, Isabelle Arsenault
Information sur l'oeuvreJane, le renard & moi par Fanny Britt (2012)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Appareil de lecture : Samsung Galaxy Tab 3 Plateforme vous ayant permis l’accès : BAnQ : http://banq.pretnumerique.ca/resources/5272a59a1dab10c297307a39 Pourquoi avez-vous choisi ce livre ? J’ai choisi ce livre parce que j’avais envie d’expérimenter pour la première fois la bande dessinée numérique. Étant fervente amatrice de bande dessinée, j’étais curieuse de faire ce test. Et comme j’aime particulièrement la bande dessinée québécoise, je cherchais une bédé de cette origine sur le web. Les bandes dessinées numériques québécoises étant très peu nombreuses sur la Toile, je me suis rapidement tournée vers Jane, étant donné sa très grande renommée et les nombreux prix que ce livre a reçu, tant au Québec qu’à l’étranger. En 75-100 mots, un aspect qui vous a plu : J’aime beaucoup le traitement des couleurs dans cette bande dessinée. J’aime comment le gris du crayon de plomb correspond au gris de la vie d’Hélène et comment les couleurs s’animent en aquarelles lorsque celle-ci fait référence à sa lecture de Jane Eyre ou lorsqu’apparaît son beau renard sauvage. J’aime aussi comment ces couleurs prennent de plus en plus de place au fil des pages au fur et à mesure qu’Hélène prend confiance en elle, qu’elle se fait des amies et que sa vie s’égaye. Un aspect qui vous a moins plu : J’ai détesté ne pas avoir une vue d’ensemble sur les pages double de la bande dessinée en version numérique. Certaines « pages » numériques n’avaient ainsi aucun sens. Je pense à un cas en particulier (p.74-75) où on voit seulement sur la page « de gauche » quelques traits au plomb formant une tache. C’est en consultant ensuite la page « de droite » que l’on comprend que le personnage d’Hélène est en fait dans un immense trou s’étalant sur deux pages. Ce découpage nécessaire du numérique nuisait ici à la compréhension du récit. L’objet numérique : a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation Lors de ma lecture, il m’était possible de cliquer sur quelques options. Sous Réglages, il était possible de verrouiller l’orientation du texte ou le fond d’écran (ce que je n’ai pas vraiment trouvé pertinent), ou encore de me mettre en mode nocturne ou de changer la luminosité de la tablette (ce qui peut être plus utile). Je pouvais également modifier l’animation pour tourner les pages du livre (Tourner, Glisser, Fondue, Couper), ce qui me semble à mon avis qu’une « bébelle pour faire joli ». Il m’était impossible de choisir une grosseur de texte ou de page prédéterminée, bien qu’il ait été possible, avec les doigts, d’agrandir chaque page comme on le fait habituellement sur un écran tactile (nécessitant beaucoup de patience pour revenir au format de départ ou passer à la page suivante). Je n’ai pas compris l’utilisation des signets. Finalement, la fonction Recherche était inutile, puisque le texte ne semblait pas être indexé. Évidemment, il était impossible d’annoter ou de surligner le texte. Comme il s’agit d’une bande dessinée, la taille de l’écriture, sa couleur ou sa police font partie de façon intégrale de l’œuvre et on comprend aisément qu’il ait été impossible ici de les changer sans la dénaturer. Heureusement, dans le cas de Jane, il m’était possible de lire le texte sans avoir à faire de zoom toutes les pages. b. Fonctions hypertextuelles Le format du document semblait prévoir un espace pour un index sous l’onglet Contenus, mais il n’était pas utilisé dans le cas de Jane. Aucun renvoi n’était non plus accessible, que ce soit entre différentes partie de l’ouvrage ou vers d’autres ressources. Album ou roman graphique qui raconte le harcèlement que subit une jeune fille à l'école. Le thème du harcèlement y est traité avec une grande acuité, de façon très touchante. C'est aussi la question des attentes de la société, celle que les jeunes filles intègrent, qu'elles soient prédateurs ou victimes. sur la représentation de la beauté féminine. Cette type d'expérience de lecture "coup de poing" est susceptible de constituer une source de résilience : Elles donnent une voix et la permission de parler de ces problématique pour ces jeunes qui vivent des situations pour lesquelles le monde n’a pas prévu de mots à leur hauteur. Puis, si les mots et les images sont (d’abord) conçus pour les jeunes, ce sujet rejoignent tous les lecteurs, les jeunes comme les adultes, parce que ce sont des parents ou des éducateurs concernés, ou des adultes qui ont vécu ces situations. À ce titre ces albums peuvent servir de pont entre les générations. aucune critique | ajouter une critique
A été inspiré parPrix et récompensesListes notables
belle Arsenault. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)741.5The arts Graphic arts and decorative arts Drawing & drawings Cartoons, Caricatures, ComicsClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> La Plume Francophone : https://la-plume-francophone.com/2016/12/06/isabelle-arsenault-et-fanny-britt-ja...
> BoDoï : https://www.bodoi.info/jane-le-renard-et-moi/
> Radio‑Canada (Lu par Émilie Bibeau) : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/livres-audio/41593/jane-le-renard-et-moi
> du9 : https://www.du9.org/chronique/jane-le-renard-moi/
> Existe-t-il un lecteur qui n'a pas, un jour, plongé dans un livre afin d'échapper à ceux qui le ridiculisaient? Et qui, ce faisant, s'est soustrait à la méchanceté tout en trouvant, dans les pages de ce livre, un peu de réconfort? C'est le propos d'un roman graphique chavirant et subtil, inspiré par Jane Eyre de Charlotte Brontë: Jane, le renard et moi, texte de la dramaturge Fanny Britt, illustré par Isabelle Arsenault.
*Jane, le renard et moi. Fanny Britt et Isabelle Arsenault. La Pastèque, 104 pages.
—Marie-Christine Blais (LaPresse.ca)
> JANE, LE RENARD ET MOI ENCORE COURONNÉ. — La Ville de Montréal annonçait vendredi le livre lauréat de son 8e Prix jeunesse des bibliothèques de Montréal. C’est l’album de Fanny Britt, aussi connue pour ses pièces et traductions de théâtre, et de l’illustratrice Isabelle Arsenault qui remporte les honneurs. Jane, le renard et moi (La Pastèque) poursuit ainsi sa collecte de prix. Récit illustré, album, bande dessinée, le livre flirte avec les genres, et a ainsi récolté les prix Shuster et Bédéis Causa de bande dessinée. Il est aussi finaliste aux prix littéraires du Gouverneur général. L’histoire aborde l’intimidation à l’école, à travers une petite Hélène, souvent bousculée, qui se réconforte par la lecture du roman de Charlotte Brontë Jane Eyre. Au Prix des bibliothèques, les autres œuvres finalistes étaient À la recherche du bout de monde (Hurtubise) de Michel Noël, Au carnaval des animaux (La Courte Échelle) de Marianne Dubuc, Ho (Québec Amérique) de François Gravel et Mingan, mon village : poèmes d’écoliers innus de Rogé.
—Le Devoir,
26 octobre 2013
Lire
> Hélène est victime de harcèlement et d’intimidation à son école. Elle trouve refuge dans le monde de Jane Eyre, le premier roman de Charlotte Brontë...
Jane, le Renard et Moi (éditions La Pastèque) est un récit touchant qui présente avec justesse la méchanceté que les enfants peuvent déployer les uns envers les autres. (par Marianne PIERRE)