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The Wild Iris (1992)

par Louise Glück

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9841721,150 (4.14)40
Louise Gl©ơck compte depuis longtemps parmi les voix majeures de la po©♭sie contemporaine outre-Atlantique. Son ¿uvre, n©♭e de l'exp©♭rience et de la voix d'une femme, traverse le f©♭minin tout en lui r©♭sistant car la biographie, quand elle a eure dans ses po©·mes, ne subsiste que comme trace : l'©♭v©♭nement, d©♭j© pass©♭ au tamis du langage, laisse place © sa profondeur, © son interpr©♭tation, © l'interrogation. Le jardin o©£ l'on croise furtivement John, un mari qui cultive des plants de tomates, ou encore un fils, Noah, prend ainsi dans L'iris sauvage une dimension biblique et mythologique pour finalement devenir l'espace imaginaire o©£ se d©♭ploie une vaste polyphonie. Louise Gl©ơck y fait entendre © la fois la voix des fleurs interpellant leur Cr©♭ateur, celle de ce m©®me Cr©♭ateur se penchant sur sa Cr©♭ation, et la voix humaine questionnant sa propre finitude, notamment par un regard distanci©♭ sur la vie quotidienne. Dans cette chambre d'©♭chos m©♭taphysique, on trouvera port©♭e © son comble une po©♭tique de la renaissance qui est au c¿ur de l'¿uvre gl©ơckienne. Par une ©♭criture qui emploie le langage de tous les jours, sublim©♭ par le travail du vers et par les multiples r©♭sonances au sein des po©·mes, o©£ pr©♭cision, coupes abruptes, ellipses tendent © souligner l'acuit©♭ de sa vision, Louise Gl©ơck parvient © dire la beaut©♭ tragique de toute vie sur terre, le temps d'une floraison. Ce recueil d'une originalit©♭ incomparable, © la composition parfaite, a ©♭t©♭ r©♭compens©♭ du prix Pulitzer de po©♭sie © sa parution en 1992 et a marqu©♭ un tournant d©♭cisif dans l'¿uvre de Louise Gl©ơck.… (plus d'informations)
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Arguments with god and mortality in a garden. The garden is the ubiquitous artifact observed occasionally through a window or from a porch. He appears, sometimes with a rake. But made objects are so scarce that when Presque Isle presents us with a dish a table within walls, a balcony sheet, and more we are overwhelmed with the human world and humanity, ripped like a wild flower from the melancholy contemplation of a brief, sometimes blighted, life. ( )
  quondame | Jan 24, 2024 |
reading this in the midst of a slight emotional breakdown was an experience ( )
  femmedyke | Sep 27, 2023 |
"No one's despair is like my despair." ( )
  cbwalsh | Sep 13, 2023 |
First reading:
This is a collection of poems I hope to understand some day.

Second Reading, years later:
And still I can’t find the context to understand or to feel this collection of poems, or even know how to approach it.

Much contemporary poetry is private and so inaccessible to the rest of us, but this book doesn't seem like that.
I’ve done research of this celebrated poet, read a few of her other poems, learned about her life, seen some reviews, listened to a podcast, looked up each named plant.
I have felt little bursts of grasp, little bursts of feeling here and there, but so far no message, no thrum.

It’s clear each of the 54 poems is a unit unto itself and also connected to the others.
The poems follow the short growing season, probably of Vermont, from late winter, through spring and summer, into early winter again.

Eighteen plants speak. Someone prays seven morning matins before midsummer, and ten evening vespers after.
Various kinds of gods answer in a dozen poems related to seasons and times of day.
Then there are other titles, some that seem to fit with the rest, some that may be asides. Some of the poems are probably about poetry.

I don’t regret the time I’ve spent on The Wild Iris. This is real poetry. Maybe it’s just not meant to speak to me. ( )
  mykl-s | Jun 11, 2023 |
I bought this based on a close reading of a single poem on the Book Riot podcast. I knew it was going to be right up my alley and it REALLY was. Musings on religion and existence through the metaphor/reality of gardening, and it ends up blending faith with a sort of naturalistic fatalism and I ate it up with a spoon. I have been sleeping on Glück too long, and I need to read at least one more of her collections this year.

Favorite poems: Matins (p. 31), Midsummer, Vespers (p. 37), End of Summer, Vespers (p. 56) ( )
  greeniezona | May 7, 2023 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Louise Glückauteur principaltoutes les éditionscalculé
Bacigalupo, MassimoTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Draesner, UlrikeÜbersetzerauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Titre canonique
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Épigraphe
Dédicace
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FOR
Kathryn Davis
Meredith Hoppin
David Langston

FOR
John and Noah
Premiers mots
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THE WILD IRIS

At the end of my suffering
there was a door.
Citations
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
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Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

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Louise Gl©ơck compte depuis longtemps parmi les voix majeures de la po©♭sie contemporaine outre-Atlantique. Son ¿uvre, n©♭e de l'exp©♭rience et de la voix d'une femme, traverse le f©♭minin tout en lui r©♭sistant car la biographie, quand elle a eure dans ses po©·mes, ne subsiste que comme trace : l'©♭v©♭nement, d©♭j© pass©♭ au tamis du langage, laisse place © sa profondeur, © son interpr©♭tation, © l'interrogation. Le jardin o©£ l'on croise furtivement John, un mari qui cultive des plants de tomates, ou encore un fils, Noah, prend ainsi dans L'iris sauvage une dimension biblique et mythologique pour finalement devenir l'espace imaginaire o©£ se d©♭ploie une vaste polyphonie. Louise Gl©ơck y fait entendre © la fois la voix des fleurs interpellant leur Cr©♭ateur, celle de ce m©®me Cr©♭ateur se penchant sur sa Cr©♭ation, et la voix humaine questionnant sa propre finitude, notamment par un regard distanci©♭ sur la vie quotidienne. Dans cette chambre d'©♭chos m©♭taphysique, on trouvera port©♭e © son comble une po©♭tique de la renaissance qui est au c¿ur de l'¿uvre gl©ơckienne. Par une ©♭criture qui emploie le langage de tous les jours, sublim©♭ par le travail du vers et par les multiples r©♭sonances au sein des po©·mes, o©£ pr©♭cision, coupes abruptes, ellipses tendent © souligner l'acuit©♭ de sa vision, Louise Gl©ơck parvient © dire la beaut©♭ tragique de toute vie sur terre, le temps d'une floraison. Ce recueil d'une originalit©♭ incomparable, © la composition parfaite, a ©♭t©♭ r©♭compens©♭ du prix Pulitzer de po©♭sie © sa parution en 1992 et a marqu©♭ un tournant d©♭cisif dans l'¿uvre de Louise Gl©ơck.

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