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Chargement... Absalon, Absalon! (1936)par William Faulkner
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» 40 plus Southern Fiction (13) 20th Century Literature (110) Best Family Stories (21) Nobel Price Winners (23) Favourite Books (751) Best Gothic Fiction (54) Backlisted (27) 1930s (31) 1,001 BYMRBYD Concensus (224) Books Read in 2018 (2,088) Elegant Prose (33) Schwob Nederland (17) The Greatest Books (64) Greatest Books (307) AP Lit (194) To read (15) SHOULD Read Books! (219) Tagged 19th Century (50) My TBR (103) Unread books (618) Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Du grand art! Il faut s'accrocher à la lecture mais cela en vaut la peine... Parmi les meilleurs romans que j'ai lus jusqu'ici. Roman complexe, fulgurant et splendide qui laisse pantelant (le souffle de la narration généré par la ponctuation y est pour quelque chose). L'inventivité de la langue, la singularité de la narration polyphonique de Faulkner fonctionnent à plein. Le point de vue est sans cesse bousculé et mis en doute. "Si j'y avais été, je n'aurais pas pu le voir aussi nettement" est une phrase qui rend bien compte à elle seule de la fabrication de l'histoire à partir de la matière dont les protagonistes disposent. A la fois déclaration de haine et d'amour au sud, il s'agit d'une œuvre magistrale qui doit se lire si possible sur un temps très resserré pour en ressentir tous les effets. Excellente traduction de René-Noël Rimbault. Faulkner, vainqueur par forfait… Je jette l’éponge. Ca n’arrive pas souvent, je crois que c’est la première fois, adulte, que j’abandonne vraiment une lecture. Peut-être que je m’y remettrais un jour mais je ne vois pas ce qui pourrait me motiver. Absalon, absalon a été écrit en 1936 par l’américain William Faulkner qui a été nobélisé en 1949 pour son œuvre. Ce roman relate la création et l’histoire d’une famille du Mississippi à la fin du XIXème siècle à l’époque de la guerre de Sécession : Thomas Sutpen, inconnu dans le village, se pointe avec esclaves et architecte pour y construire une immense plantation. Quelques années plus tard, il épouse Ellen Coldfield la fille du « Oleson du coin » qui lui donnera deux enfants, une fille Judith et un garçon Henry. La guerre de sécession pointe le bout de son nez, ravage la région et ses habitants. Les hommes de la maison survivent mais une fois la guerre finie, Henry tue le fiancé de Judith, le reste meurt dans des circonstances qui ne sont révélées que dans la partie du bouquin que je n’ai pas lue (ce que je viens de raconter est révélé dans l’introduction du livre). Sur le papier, tout semble véritablement intéressant : une tragédie orchestrée sur un fond d’Amérique sudiste dévastée et traumatisée. D’autant moins que ce roman a été écrit par un sudiste lui-même à une époque où le racisme était encore viscéralement ancré dans les mœurs. Ce n’est pas vraiment la petite maison dans la prairie. Le problème c’est le style : lourdingue à mort. Les phrases ponctuées de points-virgules font en moyenne une demie-page, hachées et alambiquées au point qu’arrivé à la fin, on a oublié le début. C’est pire que du Proust : non seulement on se perd dans le récit à force de digressions mais en plus on se perd à même les phrases. Le récit de la page précédente tient du souvenir de la petite enfance, quand on lit ce bouquin, on a l’impression d’avoir une mémoire de poisson rouge et on progresse dans le récit avec des souvenirs parcellaires de ce qu’on vient de s’enquiller et avec la désagréable impression que Faulkner radote. Arrivé à la moitié du bouquin, je suis arrivé tant bien que mal à comprendre ce qu’il a voulu dire dès le premier chapitre (le pitch plus haut). Faut pas déconner, j’ai autre chose à faire. Terminant à peine Absalon, Absalon !, je tiens à signaler ici qu'il existe peu de livres aussi aboutis, aussi maîtrisés et aussi profonds que celui-ci. Lecture ardue parce que vertigineuse, narration éclatée, poussée dans ses retranchements, quête morale impitoyable prenant pour ample toile de fond le Sud sec, âpre, bourru et la guerre de Sécession comme une allégorie de la Tragédie Humaine et des gouffres de la Civilisation. Le travail sur la phrase, distendue, étirée, lyrique, est également saisissant. Les mots "chef-d'oeuvre" et "monument" ne sont pas galvaudés à son propos. Un livre indispensable dont la puissance d'irradiation devrait perdurer avec le temps = classique.
A poll of well over a hundred writers and critics, taken a few years back by Oxford American magazine, named William Faulkner’s “Absalom, Absalom!” the “greatest Southern novel ever written,” by a decisive margin Appartient à la série éditorialeEst contenu dansAbsalom, Absalom! / Intruder in the Dust / Light in August / The Reivers / The Sound and the Fury par William Faulkner Possède un guide de référence avecContient une étude deContient un commentaire de texte deContient un guide de lecture pour étudiant
The story of Thomas Sutpen, an enigmatic stranger who came to Jefferson in the early 1830s to wrest his mansion out of the muddy bottoms of the north Mississippi wilderness. He was a man, Faulkner said, "who wanted sons and the sons destroyed him." Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Couvertures populaires
![]() GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.52 — Literature English (North America) American fiction 20th Century 1900-1944Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:![]()
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Par Nicolas (Le blog de Menon), le 3 octobre 2019 (Sur Amazon.fr) 5/5 … ; (en ligne),
URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R160BNOWMAHFNV?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...
> Pouillon Jean. À propos d'Absalon, Absalon !. [article]
In: L'Homme, 1997, tome 37 n°143. Histoire d'homme Jean Pouillon. pp. 133-140. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/hom_0439-4216_1997_num_37_143_370306
> La Cause Littéraire : https://www.lacauselitteraire.fr/absalon-absalon-william-faulkner-par-leon-marc-...