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Une autobiographie (2012)

par Neil Young

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
7574029,582 (3.56)28
An iconic figure in the history of rock and pop culture (inducted not once but twice into the Rock and Roll Hall of Fame), Neil Young has written his eagerly awaited memoir.
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> IL ÉTAIT TEMPS... — On l'attendait vainement cette autobiographie de Neil Young. A force d'entendre le Loner dire qu'il était hors de question pour lui de publier ses mémoires, le doute était permis de ne jamais en voir la couleur. Mais le canadien qui ne raisonne pas comme tout le monde, a changé d'avis, et a profité d'une immobilisation due à un orteil cassé pour s'y coller une fois pour toutes. En trois mois, chapitre après chapitre, d'une manière pas toujours très ordonnée pour le lecteur mais correspondant à la logique de son auteur, Neil laisse libre cours à ses souvenirs compilés dans Waging Heavy Peace (2012). Il y a dans ce livre de Young autant de rythme que de désordre, un peu à l'image du surnom de Moulin A Vent dont son père l'avait affublé. On s'y habitue vite à ce fouillis qui n'altère pas ni la lecture ni l'intérêt pour le retour sur lui-même qu'il s'impose. Mais ça a du lui en coûter de s'épancher sur sa vie, lui le timide par excellence, l'avare de sensationnel qui, contrairement au Keith Richards de Life qui n'hésite pas à balancer, la joue relativement discret. Est-ce pour autant à bailler d'ennui ? Pas le moins du monde, car Neil, même s'il reste une énigme au sortir de ce livre, n'en est pas moins un personnage attachant et très actif (voitures, nature, films...). Il revisite l'enfant de l'Ontario, revient sur l'artiste prolifique en confessant quelques anecdotes quant à son parcours décontenançant et s'attarde quelques moments sur l'extraordinaire vie de star sous LSD qui a vu ses potes disparaître les uns derrière les autres. L'auteur la joue instinctif, simple, spontané, sincère, parfois superficiel. Il ne manque cependant ni d'humour ni de finesse, mais fait parfois preuve de naïveté et à tendance à radoter aussi. Le bucheron est naturel et s'appuie sur l'affectif pour avancer : sa femme Pegi, ses enfants, ses potes. Son esprit est clair : il a arrêté le tarpé et la lichette. Il s'est défoncé pour le reste de sa vie, dit-il. Enfin, c'est ce qu'il raconte... (PLO54).
jean-claude, le 9 novembre 2012, (Sur Amazon.fr)

> Alors qu'il ne cesse de faire paraître des albums et des archives musicaux inédits, Neil Young avait entrepris depuis quelques années d'écrire son autobiographie. Ici Neil Young parle pèle mêle de sa passion pour les trains miniatures électriques, de son projet de fichiers et lecteur numériques haute qualité (le pono), de l’handicap de son fils, et bien évidemment de ses différents albums, de ses tournées et de ses musiciens.
Argentan Intercom

> DISCOGRAPHIE (LibraryThing)

- Neil Young (1969)
- Tonight's the Night (1975)
- Long May You Run (1976)
- Le Noise (2010)
- A Treasure (2011)
- Americana (2012)
- Psychedelic Pill (2012)
- Live at The Cellar Door (2013) [Livre]
- Une autobiographie (2013)
- A Letter Home (2014)
- Storytone (2014)
  Joop-le-philosophe | Feb 2, 2019 |
If this is starting to sound random and a little irritating, that’s because it is. But as the book rolls on, it gathers heft and builds toward a vivid but disjointed picture of Young’s life.
 
Not many authors explain their reasons for writing books as bluntly as Neil Young does in “Waging Heavy Peace.” First of all there’s the thing now known as the Keith Richards phenomenon: there turns out to be a large and lucrative market for memoirs from rock stars. In a two-page chapter called “Why This Book Exists” Mr. Young explains that his book will be a goose that lays a golden egg. He’s writing it because it will earn him enough money to stay off the stage for a while, which he badly needs to do for mental and physical reasons. “It all started when I broke my toe at the pool,” he explains.....
ajouté par melmore | modifierNew York Times, Janet Maslin (Oct 28, 2013)
 
His distinctly unplugged prose can plod along in an artless, ruminative sort of way, or it can – very occasionally – take wing. The style turns out to be as unpredictable a combination of awkwardness and grace as his music, lurching from sudden insights – "the muse has no conscience", he notes, meditating on his readiness to do the dirty work of firing colleagues who fail to meet his standards – to the occasional aside of such startling banality that the reader pauses, searching in vain for a redeeming irony: "California really is beautiful if you've never been there. It's worth a visit for sure." There are lots of exclamation marks, and even an "OMG", which sounds odd coming from the pen of a 66-year-old man.
ajouté par melmore | modifierThe Guardian, Richard Williams (Oct 19, 2013)
 
That a musical shape-shifter like Neil Young would take an unorthodox approach to his memoirs is to be expected. Indeed, this charming, poignant volume is much like Young’s oeuvre: sustained periods of pure delight punctuated by sudden, unexpected turns. The stream in Young’s stream-of-consciousness is more like a river that’s burst its banks.

Seemingly unfettered by editors, and certainly not by chronology, Young tells us what he can remember in the manner and order he remembers it and – as he frequently informs his readers – has a blast doing so. We get a cursory tour of his upbringing in Winnipeg and the Ontario town of Omemee, and his early days in Toronto’s Yorkville music scene. A good portion of the book deals with the 1970s, and Young writes with passionate nostalgia about his work with bands such as Buffalo Springfield, CSNY, and Crazy Horse. Inevitably, the book is in part a paean to the many people Young has lost over the years, including David Briggs, his long-time producer and best friend.

Young is an avid collector of guitars, model railways, and vintage cars (he cannot describe a journey without telling us what he was driving). He also has an entrepreneurial streak, and allots a considerable – some might say inordinate – amount of space to his current pet projects: a hybrid electric car and a master-quality digital music format.

Fans are bound to feel frustrated by the book’s many omissions. For example, we never find out when Young first picked up a guitar. And though he speaks lovingly of both parents, he fails to mention his mother’s death. Young’s sons Ben and Zeke both have cerebral palsy, despite being born to different mothers. Although Young devotes a good number of pages to Ben, more insight into his personality and the challenges of raising him would have helped round out the picture.

Young’s relative lack of attention to his personal life feels less like self-editing than simple honesty: he often describes his life as being “dedicated to the muse.” Drugs and alcohol form an integral part of that muse. Young explains that he hasn’t written a single song since going sober in 2011. He may, however, have found a different outlet for his creative side: Young credits sobriety with unleashing his inner author, and we can apparently look forward not only to another instalment in his memoirs, but a book of fiction as well.
ajouté par VivienneR | modifierQuill & Quire, Emily Donaldson (Jan 27, 2013)
 
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Épigraphe
Dédicace
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For Ben Young, my Hero, my Warrior.

And his mother, brother, and sister.
Premiers mots
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I pulled back the plastic sticky tape from the cardboard box.
Citations
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (4)

An iconic figure in the history of rock and pop culture (inducted not once but twice into the Rock and Roll Hall of Fame), Neil Young has written his eagerly awaited memoir.

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