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Le Château intérieur est un ouvrage de Thérèse d'Avila. La carmélite Thérèse de Jésus, future sainte Thérèse d'Avila, rédige entre le 2 juillet et le 29 novembre 1577 cet ouvrage mystique initialement intitulé Las Moradas (signifiant en espagnol Les Demeures). Il sera finalement publié sous le titre Castillo interior (Le Château intérieur).L'image du Château renvoie à l'âme qui doit passer par des stades successifs pour atteindre la pureté et la perfection. Ces stades correspondent aux sept demeures du château, dans lesquelles l'âme se perfectionne graduellement avant d'atteindre l'ultime, où se trouve Dieu, et où se scelle l'union divine. L'ascèse, la prière et la méditation sont les portes d'entrée du château qui permettent d'accéder à l'extase du pur Amour.… (plus d'informations)
> Un livre traitant d'une femme au destin singulier qui se pose des vraies questions importantes et qui ouvre des porte à une forme de démarche mystique par la foi chrétienne. Une bel éclairage sur sa propre vie. —Danieljean (Babelio)
> Par Tom Butler-Bodown (In: 50 classiques de spiritualité, Ed. Payot, 2012. pp. 44-45) : Derniers commentaires (...) A maintes reprises dans Le Château intérieur, Thérèse affirme son ignorance devant ces « hommes très doctes » ; elle se décrit comme un « oiseau à l’aile brisée » et un écrivain médiocre qui n’apporte rien de neuf. Ce portrait d’une religieuse modeste et inculte est cependant trompeur puisqu’au moment de l’écriture de ce livre, Thérèse était devenue un personnage puissant qui n’avait d’ailleurs aucune patience pour les faibles d’esprit. Déterminée et parfois même impertinente, elle était une excellente négociatrice et avait même acquis quelques rudiments de la finance et du droit. Elle appréciait les conversations littéraires et la fréquentation de personnalités cultivées de la haute société et elle ne dédaignait jamais un bon repas ni une bonne rigolade. On dit qu’elle a déjà avoué qu’il y avait un temps pour la pénitence et un temps pour la bonne chère. Les esprits non religieux comprennent difficilement comment une personne peut entièrement canaliser ses sentiments amoureux vers une' réalité invisible, mais dans le cas de Thérèse, cet amour a clairement servi à éveiller son individualité et ses facultés personnelles. Si elle s’était mariée, sa vie aurait probablement été insignifiante ; alors que comme « épouse du Christ », elle a parcouru un chemin exceptionnellement excitant et signifiant, que même les romans ; chevaleresques de son adolescence n’auraient pu égaler. Il existe d’ailleurs une sculpture célèbre de Bernini qui représente Thérèse dans une de ses prières extatiques et où elle affiche une expression franchement orgasmique. Ce sont de telles passions qui ont motivé les grandes réalisations terrestres des saints. ( )
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
To the gracious memory of P. Edmund Gurdon Sometime prior of the Carthusian Monastery of Miraflores A man of God
Premiers mots
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Einführung: "Es bot sich mir an, unsere Seele als eine gänzlich aus einem einzigen Diamanten oder sehr klaren Kristall bestehende Burg zu betrachten, in der es viele Gemächer gibt, so wie es im Himmel viele Wohnungen gibt " (1M 1,1), so stellt Teresa ihr Gleichnis vor, das gleichsam der rote Faden ihres Hauptwerkes 'Wohnungen der inneren Burg' ist.
Few tasks which I have been commanded to undertake by obedience have been so difficult as this present one of writing about matters relating to prayer: for one reason, because I do not feel that the Lord has given me either the spirituality or the desire for it; for another, because for the last three months I have been suffering from such noises and weakness in the head that I find it troublesome to write even about visionary business.
Diese Abhandlung, "Innere Burg" genannt, hat Teresa von Jesus, Schwester Unserer Lieben Frau vom Berg Karmel, für ihre Mitschwestern und Töchter, die Unbeschuhten Karmelitinnen, geschrieben.
Citations
Derniers mots
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Einführung: Von dieser positiven Konnotation des Leiblichen wird ihr Misstrauen gegenüber den Bedürfnissen des Leibes allerdings nicht berührt.
Es wurde diese Schrift im Jahr 1577, am Vorabend des Andreastages im Kloster San Jose zu Avila, zu Gottes Ehre beendet, der lebt und herrscht von Ewigkeit zu Ewigkeit. Amen.
Es wurde diese Schrift im Jahr 1577, am Vorabend des Andreastages im Kloster San José zu Avila, zu Gottes Ehre beendet, der lebt und herrscht von Ewigkeit zu Ewigkeit. Amen.
Le Château intérieur est un ouvrage de Thérèse d'Avila. La carmélite Thérèse de Jésus, future sainte Thérèse d'Avila, rédige entre le 2 juillet et le 29 novembre 1577 cet ouvrage mystique initialement intitulé Las Moradas (signifiant en espagnol Les Demeures). Il sera finalement publié sous le titre Castillo interior (Le Château intérieur).L'image du Château renvoie à l'âme qui doit passer par des stades successifs pour atteindre la pureté et la perfection. Ces stades correspondent aux sept demeures du château, dans lesquelles l'âme se perfectionne graduellement avant d'atteindre l'ultime, où se trouve Dieu, et où se scelle l'union divine. L'ascèse, la prière et la méditation sont les portes d'entrée du château qui permettent d'accéder à l'extase du pur Amour.
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> Un livre traitant d'une femme au destin singulier qui se pose des vraies questions importantes et qui ouvre des porte à une forme de démarche mystique par la foi chrétienne. Une bel éclairage sur sa propre vie.
—Danieljean (Babelio)
> Par Tom Butler-Bodown (In: 50 classiques de spiritualité, Ed. Payot, 2012. pp. 44-45) : Derniers commentaires
(...)
A maintes reprises dans Le Château intérieur, Thérèse affirme son ignorance devant ces « hommes très doctes » ; elle se décrit comme un « oiseau à l’aile brisée » et un écrivain médiocre qui n’apporte rien de neuf. Ce portrait d’une religieuse modeste et inculte est cependant trompeur puisqu’au moment de l’écriture de ce livre, Thérèse était devenue un personnage puissant qui n’avait d’ailleurs aucune patience pour les faibles d’esprit. Déterminée et parfois même impertinente, elle était une excellente négociatrice et avait même acquis quelques rudiments de la finance et du droit. Elle appréciait les conversations littéraires et la fréquentation de personnalités cultivées de la haute société et elle ne dédaignait jamais un bon repas ni une bonne rigolade. On dit qu’elle a déjà avoué qu’il y avait un temps pour la pénitence et un temps pour la bonne chère.
Les esprits non religieux comprennent difficilement comment une personne peut entièrement canaliser ses sentiments amoureux vers une' réalité invisible, mais dans le cas de Thérèse, cet amour a clairement servi à éveiller son individualité et ses facultés personnelles. Si elle s’était mariée, sa vie aurait probablement été insignifiante ; alors que comme « épouse du Christ », elle a parcouru un chemin exceptionnellement excitant et signifiant, que même les romans ; chevaleresques de son adolescence n’auraient pu égaler. Il existe d’ailleurs une sculpture célèbre de Bernini qui représente Thérèse dans une de ses prières extatiques et où elle affiche une expression franchement orgasmique. Ce sont de telles passions qui ont motivé les grandes réalisations terrestres des saints. (