Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Chargement... Les derniers rois de Thulépar Jean Malaurie
Aucun Chargement...
Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre
aucune critique | ajouter une critique
Account of author's life with the Thule Eskimos, northwest Greenland, 1950-51. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)970.004History and Geography North America North America North America Ethnic and National GroupsClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. |
> BAnQ (Fontaine L., Québec science, 2003, Avril) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2874299
> Une épopée émouvante dans le pays du froid, Jean Malaurie nous fait aimer ces compagnons Inuits et ce continent de glace. La fin du livre est comme un coup de tonnerre, une base nucléaire Américaine qui se construit à côté du village Inuit, terrible destin et rencontre de deux univers opposés.
On vibre avec l'auteur dans la fraicheur du grand nord, avec les légendes et les plaisanteries, les jeux de ces peuples du froid. Un grand livre et un grand témoignage...
—Paul Pujol, Babelio
> LES DERNIERS ROIS DE THULÉ, de Malaurie Jean.
Se reporter au compte rendu de H. B.
In: Population, Vol. 10, No. 3 (Jul. - Sep., 1955), p. 566
URL: https://drive.google.com/file/d/1TbqSJr6L7jMTUnpcrjJFtvWyq348PHha/view?usp=shari...
En 1950, J. M. passa seul une année entière au milieu d’un groupe d’Eskimos relégué « à la limite de l’humanité », à l’extrême nord au Groenland. Ces populations qui, écrit André Cholley dans la préface « ont montré, vis-à-vis du milieu naturel particulièrement hostile où elles se trouvaient établies, une endurance, une ingéniosité exceptionnelles » se trouvent aujourd’hui en présence d’une situation plus dramatique encore « celle qui résulte de l’adaptation à des conditions nouvelles de vie dues au contact que la disparition de leur isolement leur a imposé avec notre civilisation ».
Peintre vif et saisissant de ces hommes et de leur culture, qu’il nous fait connaître par des anecdotes, des légendes ou le rappel d’explorations antérieures, J. M. fait le récit de son séjour, de son parcours de 1.500 kilomètres, joignant le Groenland au Canada, et aussi de la création, en juillet 1951, de la base américaine de Thulé. Cet événement pose le problème classique de l’intégration au monde moderne d’une population archaïque.
Parmi les observations scientifiques que J. M. a rapportées, celles qui concernent la composition des familles eskimos doivent faire l’objet d’une étude génétique ultérieure. Paris, Plon, 1955, 1 vol. in-8°, 325 p.
—H. B.