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Chargement... Harry Potter And The Order Of The Phoenix (original 2003; édition 2004)par J. K. Rowling (Auteur), Mary GrandPre (Illustrateur)
Information sur l'oeuvreHarry Potter et l'ordre du Phénix par J. K. Rowling (2003)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Harry entame sa cinquième année d'études à Poudlard et découvre que de nombreux membres de la communauté des sorciers et sorcières ne connaissent pas la vérité sur sa rencontre avec Lord Voldemort lors de la dernière épreuve du Tournoi des Trois Sorciers. Pire encore, cette vérité leur est cachée ! Cornelius Fudge, le Ministre de la Magie, craignant que le vénérable directeur de Poudlard, Albus Dumbledore, ne soutienne des mensonges concernant le retour du Seigneur des Ténèbres dans le but de l'affaiblir et de s'emparer de son poste, nomme un nouveau professeur de défense contre les forces du Mal afin de garder un oeil sur Dumbledore et les élèves. Mais le programme de Dolores Ombrage, dûment approuvé par le Ministère, n'est guère apprécié des élèves, qui ne s'estiment pas préparés à se défendre contre les forces des Ténèbres qui menacent leur monde. Sous l'impulsion de ses amis Ron et Hermione, Harry décide de prendre les choses en main. Un petit groupe d'élèves, l'Armée de Dumbledore, se réunit en secret pour suivre les cours de défense contre les forces du Mal dispensés par Harry... La seule arme dont ces courageux jeunes sorciers disposent pour se préparer au combat qui les attend... Avec la gravité qui s'appesantit de plus en plus à chaque tome de cette série, le phénomène Harry Potter entre typiquement dans la catégorie des romans d'initiation, de ceux avec lesquels on grandit et qui permettent aux plus jeunes d'aborder des sujets graves : la responsabilité, la prise de décision, l'obéissance ou non à des lois injustes. Dans l'ordre du phénix, avec la venue de Dolores Ombrage dans l'école, les élèves touchent du doigt la limite qu'il peut y avoir entre juste respect de la discipline et mesures de rétorsion sortant du cadre établi. C'est tout l'intérêt de cet épisode, le plus volumineux de la série. Certains, comme les frères Weasley, y voient l'occasion d'entrer dans une résistance menant à un beau bazar. D'autres cherchent des voies plus secrètes, comme l'entraînement secret à la défense contre les forces du mal. Harry et ses camarades sont confrontés à la négation des faits, à l'intimidation, à la mauvaise foi, à la collaboration passive ou active de certains élèves avec les mesures disciplinaires. Ils sont confrontés également à des douleurs personnelles intenses liés à des décès, au handicap liés aux attaques de l'adversaire., au fait que le directeur de l'école a des doutes. Les personnages sont plus complexes, moins émerveillés. En ce sens, l'ordre du phénix est un très bon opus de la série. Et, bien entendu, l'épaisseur du volume ne nuit en rien à la lisibilité. Vraiment le plus mauvais de la série. On pourrait le résumer en "sautez les mille pages du milieu, y's'passe RIN!". A part les crises d'adolescence débiles de Harry, il se passe que dalle et le lecteur se fait carrément chier. Comparativement au rythme un poil soutenu du 4, c'est la douche froide. Et alors, tuer un personnage clef, majeur, en une unique ligne, de manière complètement inutile et absurde, limite comique, sans aucun apport narratif... A la limite, celui-là , sautez-le et passez au suivant. Ca vous évitera d'aller chez l'ophtalmo pour faire soigner vos yeux qui saignent... On est en plein été à Privet Drive et rien ne laisse présager que quelque chose va déranger cette journée. Mais ceux qui pense cela se trompe, Harry se fait attaquer en plein jour (en compagnie de son affreux cousin Dudley) par des Détraqueurs ( les gardiens de la prison d'Azkaban). Il utilise donc la magie pour se défendre, mais comme on le sait, il est interdit aux élèves de faire de la magie, ni plus est en compgnie d'un Moldu ; le ministère de la magie le convoque donc pour une audience disciplinaire et personne ne veut bien le croire sur cette attaque ainsi que sur le retour de Voldemort, qu'il crie depuis le tome précédent. Et voilà on est comme d'habitude embarquée dans l'histoire grâce au talent de Rowling. Un tome long certes, 976 pages mais qui permet de comprendre des choses sur le passé de certains personnages. On a plaisir a retrouvé Sirius, avec sa maison qui est utilisée comme quartier général, voir Harry grandir encore plus en tentant d'enseigner aux autres ce qu'il sait mais aussi de voir le pouvoir grandissant de Voldemort et découvrir ce qu'il souhaite obtenir. Et comme chaque tome l'apparition d'un nouveau professeur de Défense contre les forces du mal - professeur Ombrage - qui est il faut le dire à baffer. Ne soyez donc pas effayer par ce pavé, à lire et à relire.
Der lang erwartete fünfte Harry-Potter-Band ist mit über einer Million vorbestellten Exemplaren der größte Bucherfolg aller Zeiten, schreibt Susanne Mayer. Dies sei vor allem den hochfliegenden Erwartungen an das Buch zu danken, die sich auch an die erstarkende Manneskraft des nunmehr 15-jährigen Helden richten. Denn Harry ist nun in der Pubertät, wie die Rezensentin ausführlich beschreibt. Die Autorin "hatte den Lesern versprochen, Harry werde mit ihnen erwachsen werden", was Mayer für ein "interessantes Erzählkonzept" hält. Jetzt ist er in der Pubertät und "reagiert hormongemäß", wodurch Gut und Böse "ins Rutschen" geraten, wie sie sagt. Die Idee, Harrys "dunkle Gefühle" mit der "drohenden Rückkehr" des grausamen Herrschers Voldemort zu verbinden, lobt die Rezensentin als "guten Trick". Allerdings schlingere Rowling "auf gefährlich verzweigtem Parcours" entlang, um das Kunststück zu vollbringen, Neues mit ausreichendem Wiedererkennungswert zu produzieren. Auch habe sie mittlerweile in Eoin Colfer, Philip Ardagh oder Cornelia Funke Konkurrenten bekommen, die "gut erzählte Geschichten" lieferten. Während bei diesen Autoren "alles sitzt", kann man das "von Rowling nicht immer sagen", meint Mayer. So misslängen ihr Landschaftsbeschreibungen zum Beispiel "kläglich". Für die Beschreibung von Harrys Stimmungen empfiehlt sie der Autorin sogar "Creative-Writing-Übungen". Auch die "Frage der Moral" wird nach Mayers Geschmack ziemlich überstrapaziert. Auf "Heldengedröhne" nach Art des "deutschen Sie-wissen-schon-wer" hätte Rowling ihrer Ansicht nach lieber verzichten sollen. Die Stärken der Autorin seien die "kleinen Episoden" und "ihre Karikaturen der täglichen Unterrichtsmühsal". Die jungen Leser indessen lassen sich von den Schwächen des Buches nicht irritieren: Jeder Versuch, sie ab Seite 340 zu unterbrechen, musste Frau Mayer erfahren, ist zum Scheitern verurteilt. Felicitas von Lovenberg stellt zufrieden fest, dass J.K. Rowling mit dem fünften Harry-Potter-Band wieder einmal alles richtig gemacht hat. "Harry Potter and the Order of the Phoenix" ist so wild, abenteuerlich und spannend wie seine Vorgänger, jubelt die Rezensentin. Allerdings sei es auch das "bisher dunkelste Buch der Reihe, das psychologischste, gegen Ende auch das traurigste" - denn am Ende gebe es zwar den obligatorischen Showdown zwischen Harry und Voldemort, aber es sei klar, dass der "Kampf gegen das Böse" gerade erst richtig angefangen hat. Lovenberg ist begeistert von der Fülle an "liebevoll erdachten und geschickt platzierten Details" und dem "mutigen Vertrauen in die schützende, rettende Macht der Liebe". Besonders angetan ist Lovenberg von der Tatsache, dass Harrys Welt zum Greifen nah liegt: So betritt man das Ministerium für Zauberei etwa durch eine kaputte Telefonzelle. Rowling sei es wieder gelungen, Harry als zugleich bescheidenen und mutigen Helden zu zeichnen - denn "erst diese Brüche machen Harry glaubwürdig als Rebell für die gerechte Sache, als Vorbild, mit dem sich nicht nur Kinder identifizieren können", schwärmt unsere Rezensentin. Der Band 5 der Serie ist nun endgültig ein Meisterwerk. So muss es zumindest dem faszinierten Leser der Kritik Steinfelds erscheinen, denn so differenziert, ausführlich, zum Teil auch raunend und Spannendes offen lassend ist seine Rezension dieses hysterisch erwarteten Buchs. Steinfeld nennt es den "fünften Band des erfolgreichsten Bildungsromans aller Zeiten" und schildert es als einen Bildungsroman nicht nur für Harry Potter, sondern auch für die Autorin selbst, die sich in den Romanen - so Steinfeld - zusehends an einem Dilemma abarbeitet, "das Harry Potter von Anfang an begleitet hatte". Es handelt sich um den Widerspruch zwischen der zeitlosen Kinderzeit und der historischen Zeit der Erwachsenen, der eskapistischen Zauberwelt und einem Gewirr von Widersprüchen aus Rasse und Klasse, Muggeln und Zauberern, das in den frühen Romanen schon zutage trat und mit jedem der Romane düsterere Seiten offenbart. Steinfeld liest die Harry-Potter-Bände auch als Parabel über die Totalitarismen des 20. Jahrhunderts - und zu Harrys Erwachsenwerden in diesem Band gehört unter anderem die Erkenntnis, dass die verehrten toten Eltern einst den finsteren Rassetheorien Voldemorts, des Muggelhassers, anhingen, bevor sie sich auf die Seite des Widerstands schlugen. Harry muss sich diesmal auch alleine durchschlagen, ohne die Hilfe seiner Gefährten, er muss den Tod eines Freundes verkraften und die Hormonschübe der beginnenden Pubertät. Steinfeld wagt am Ende seiner Rezension eine düster-großartige Prophezeiung: Die Zauberwelt wird untergehen."Harry Potter wird leben, aber die Welt der Zauberer kann es nicht mehr geben." Appartient à la sérieHarry Potter (5) Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansEst parodié dansPossède un guide de référence avecNew Clues to Harry Potter Book 5: Hints from the Ultimate Unofficial Guide to the Mysteries of Harry Potter par Galadriel Waters Ultimate Unofficial Guide to the Mysteries of Harry Potter (Analysis of Book 5) par Galadriel Waters Contient un guide de lecture pour étudiantPrix et récompensesDistinctionsListes notables
Juvenile Fiction.
Juvenile Literature.
HTML: À quinze ans, Harry entre en cinquième année à Poudlard, mais il n'a jamais été si anxieux. L'adolescence, la perspective des examens et ces étranges cauchemars... Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer- Le-Nom est de retour. Le ministère de la Magie semble ne pas prendre cette menace au sérieux, contrairement à Dumbledore. La résistance s'organise alors autour de Harry qui va devoir compter sur le courage et la fidélité de ses amis de toujours... D'une inventivité et d'une virtuosité rares, découvrez le cinquième tome de cette saga que son auteur a su hisser au rang de véritable phénomène littéraire. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English & Old English literatures English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. Penguin AustraliaUne édition de ce livre a été publiée par Penguin Australia. |
- Sujet : Harry Potter a maintenant quinze ans. Il se morfond chez son oncle et sa tante pendant les vacances d’été, attendant impatiemment des nouvelles de ses amis. Mais la rentrée à Poudlard sera triste et studieuse, après un incident qui lui révèle l’existence de l’ordre du Phénix et la mission de ses membres. Tout est pesant pour le jeune adolescent, victime de sa destinée : on se moque de lui, il se sent incompris, et la nouvelle «grande Inquisitrice» envoyée à Poudlard pour évincer Dumbledore le déteste manifestement. Encore vivement traumatisé par ce qu’il a vécu dans le cimetière avec Lord Voldemort, il a du mal à faire surface.
- Commentaire : Ce cinquième tome trop longtemps attendu par des lecteurs passionnés est très imposant (trop ?) et comporte des longueurs. On est loin de la fantaisie humoristique des premiers volumes. Presque tous les gags sont maintenant connus du lecteur à qui il reste l’atmosphère pesante et sans grand suspense des longues semaines d’école. La vie est vraiment difficile pour ce pauvre Harry qui cumule les maladresses, la paresse scolaire, qui subit les sarcasmes de beaucoup de camarades et ignore toujours la vrai raison du lien qui l’unit à Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom. On doit reconnaitre à l'auteur le talent de cette peinture très réaliste du caractère de l'adolescent à la recherche de lui même, confronté aux premiers émois amoureux et à la difficulté de communiquer comme il le souhaiterait avec les autres. Comme certains le prédisaient, sans être pour autant devins diplômés, l’intrigue s’essouffle. Les ventes seront cependant probablement assurées par la curiosité des lecteurs, plus que par l’intérêt réel de l’ouvrage.