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Chinesische Geister- und Liebesgeschichten (1948)

par Martin Buber

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Épigraphe
Dédicace
Premiers mots
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Vorwort: Bei meinen Studien über die Dämonen-Mythen lernte ich, zuerst durch Übersetzungen, sodann durch die freundliche Unterweisung des Herrn Chingdao Wang, die chinesischen Sammlungen von Geistergeschichten und insbesondere das klassische Liao Tschai Tschih Yi kennen.
Das Wandbild: Meng Lung-tan, ein Bürger von Kiang-si, wohnte in der Hauptstadt bei einem Kü-jen namens Tschu.
Der Richter: In Ling-yang lebte ein Mann namens Tschu Erhtan, den seine Freunde Hsiao-ming nannten.
Das lachende Mädchen: In Lo-tien, in dem Bezirk Schantung, lebte ein Jüngling namens Wang Tse-fu, der in früher Kindheit den Vater verloren hatte.
Die Füchsin: Es war einmal ein junger Mann, aus I-tschau gebürtig, namens Sang Tse-ming, der in früher Kindheit verwaist war.
Citations
Derniers mots
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Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

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