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Jayadeva's Gitagovínda is a lyrical account of the illicit springtime love affair of Krishna and Radha, a god and goddess manifesting on earth as a cowherd and milkmaid for the sake of relishing the sweet miseries and rapturous delights of erotic love. The narrative framing their bucolic songs was composed under royal patronage in northeastern India in the twelfth century. It was to be performed for connoisseurs of poetry and the erotic arts, for aesthetes and voluptuaries who, while sensually engaged, were at the same time devoted to Krishna as Lord of the Universe. The text at once celebrates the vicissitudes of carnal love and the transports of religious devotion, merging and reconciling those realms of emotion and experience. Erotic and religious sensibilities serve, and are served by, the pleasures of poetry. In the centuries following its composition, the courtly text became a vastly popular inspirational hymnal. Jayadeva's songs continue to be sung throughout India in fervent devotional adoration of Krishna.… (plus d'informations)
> GITA-GOVINDA, de Jayadeva. Préfacé et traduit du sanskrit par Jean Varenne. Collection Textes Sacrés. — Voici une nouvelle traduction du Gîta-Govinda, « le grand poème célébrant l’amour » écrit au XIIIe siècle par Jayadéva. Ce texte très apprécié en Europe à l’époque romantique - Goethe le tenait pour l’un des joyaux de la littérature universelle - avait subi plusieurs mauvaises traductions successives. Le canevas de ce chant est classique et très populaire. Il s’inspire des amours de Krishna et Râdhâ qui appartiennent au patrimoine religieux de l’Hindouisme. Krishna aime Râdhâ et en est aimé. Il lui arrive cependant d’être infidèle et de séduire les nombreuses gopîs (vachères) ; elle se lamente alors et souhaite le voir revenir à elle. Lui, de son côté se souvient de leurs amours et revient à elle, non sans se demander si elle ne va pas le rejeter. Elle n’en fait rien. Dans diverses régions de l’Inde, de nombreux poèmes sur ce thème ont été composés au cours des siècles. L’originalité de Jayadéva fut de composer en sanscrit une série de 24 chansons à l’imitation de celles qui avaient en hindi ou en bengali la faveur du public populaire et de reprendre sur le mode lyrique les thèmes habituels de la littérature Krishnaïte : joie et souffrances du jeu amoureux dans le décor agreste du Vrindâvana. Au lieu de célébrer Krishna et les gopîs, Jayadéva choisit de centrer l’action sur la dialectique des rapports amoureux entre Krishna et sa favorite, Râdhâ. Il donne ainsi à leur amour une valeur universelle. En Inde l’amour charnel représente l’union mystique et Jayadéva est un dévot qui n’a écrit que pour célébrer la gloire de Krishna, son Seigneur. Même si la lecture que nous en faisons n’est que profane, le Gîta-Govinda exalte en nous une émotion poétique qui n’est pas si éloignée de l’émotion mystique. Jean Varenne, docteur ès lettres, professeur de sanskrit à l’université de Lyon, donne ici la première traduction moderne et poétique du Gîta-Govinda. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages concernant la civilisation de l’Inde traditionnelle : l’Art de l’Inde (Flammarion), Célébration de la Grande Déesse (Belle Lettres), Sept Upanishads (Le Seuil), Aux Sources du Yoga (Éd. ; J. Renard), Cosmogonies védiques (Belles Lettres), Le Tantrisme (Retz)… Ed. du Rocher/Unesco. (Ysé MASQUELIER). —Carnets du Yoga, (136), Février 1992
> GITA-GOVINDA, de Jayadéva. — Jean Varenne, docteur ès lettres, professeur de sanskrit à l’université de Lyon, donne ici la première traduction moderne et poétique du Gîta-Govinda, oeuvre de Jayadéva : XIIe siècle. À la fois lyrique et érotique, le Gîta-Govinda est aussi une allégorie mystique des souffrances de l’âme dévote qui se croit abandonnée de Dieu avant de la retrouver avec ravissement. Extrêmement populaire, le Gîta-Govinda est récité dans les temples, accompagnés de musique et de danse. Ed. du Rocher/UNESCO - 205 p. —3ᵉ millénaire, (22), Hiver 1991
In the deluge of dissolution, undaunted you behaved / like a sailing ship that the Veda would be saved-- / Keshava-Krishna incarnate as the Fish! Hosanna to the Lord of the World, Hari-Krishna!
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Courtes éloges de critiques
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DDC/MDS canonique
LCC canonique
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Jayadeva's Gitagovínda is a lyrical account of the illicit springtime love affair of Krishna and Radha, a god and goddess manifesting on earth as a cowherd and milkmaid for the sake of relishing the sweet miseries and rapturous delights of erotic love. The narrative framing their bucolic songs was composed under royal patronage in northeastern India in the twelfth century. It was to be performed for connoisseurs of poetry and the erotic arts, for aesthetes and voluptuaries who, while sensually engaged, were at the same time devoted to Krishna as Lord of the Universe. The text at once celebrates the vicissitudes of carnal love and the transports of religious devotion, merging and reconciling those realms of emotion and experience. Erotic and religious sensibilities serve, and are served by, the pleasures of poetry. In the centuries following its composition, the courtly text became a vastly popular inspirational hymnal. Jayadeva's songs continue to be sung throughout India in fervent devotional adoration of Krishna.
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> GITA-GOVINDA, de Jayadeva. Préfacé et traduit du sanskrit par Jean Varenne. Collection Textes Sacrés. — Voici une nouvelle traduction du Gîta-Govinda, « le grand poème célébrant l’amour » écrit au XIIIe siècle par Jayadéva. Ce texte très apprécié en Europe à l’époque romantique - Goethe le tenait pour l’un des joyaux de la littérature universelle - avait subi plusieurs mauvaises traductions successives.
Le canevas de ce chant est classique et très populaire. Il s’inspire des amours de Krishna et Râdhâ qui appartiennent au patrimoine religieux de l’Hindouisme. Krishna aime Râdhâ et en est aimé. Il lui arrive cependant d’être infidèle et de séduire les nombreuses gopîs (vachères) ; elle se lamente alors et souhaite le voir revenir à elle. Lui, de son côté se souvient de leurs amours et revient à elle, non sans se demander si elle ne va pas le rejeter. Elle n’en fait rien. Dans diverses régions de l’Inde, de nombreux poèmes sur ce thème ont été composés au cours des siècles.
L’originalité de Jayadéva fut de composer en sanscrit une série de 24 chansons à l’imitation de celles qui avaient en hindi ou en bengali la faveur du public populaire et de reprendre sur le mode lyrique les thèmes habituels de la littérature Krishnaïte : joie et souffrances du jeu amoureux dans le décor agreste du Vrindâvana. Au lieu de célébrer Krishna et les gopîs, Jayadéva choisit de centrer l’action sur la dialectique des rapports amoureux entre Krishna et sa favorite, Râdhâ. Il donne ainsi à leur amour une valeur universelle.
En Inde l’amour charnel représente l’union mystique et Jayadéva est un dévot qui n’a écrit que pour célébrer la gloire de Krishna, son Seigneur. Même si la lecture que nous en faisons n’est que profane, le Gîta-Govinda exalte en nous une émotion poétique qui n’est pas si éloignée de l’émotion mystique.
Jean Varenne, docteur ès lettres, professeur de sanskrit à l’université de Lyon, donne ici la première traduction moderne et poétique du Gîta-Govinda. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages concernant la civilisation de l’Inde traditionnelle : l’Art de l’Inde (Flammarion), Célébration de la Grande Déesse (Belle Lettres), Sept Upanishads (Le Seuil), Aux Sources du Yoga (Éd. ; J. Renard), Cosmogonies védiques (Belles Lettres), Le Tantrisme (Retz)… Ed. du Rocher/Unesco. (Ysé MASQUELIER).
—Carnets du Yoga, (136), Février 1992
> GITA-GOVINDA, de Jayadéva. — Jean Varenne, docteur ès lettres, professeur de sanskrit à l’université de Lyon, donne ici la première traduction moderne et poétique du Gîta-Govinda, oeuvre de Jayadéva : XIIe siècle.
À la fois lyrique et érotique, le Gîta-Govinda est aussi une allégorie mystique des souffrances de l’âme dévote qui se croit abandonnée de Dieu avant de la retrouver avec ravissement. Extrêmement populaire, le Gîta-Govinda est récité dans les temples, accompagnés de musique et de danse. Ed. du Rocher/UNESCO - 205 p.
—3ᵉ millénaire, (22), Hiver 1991