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The Late Mattia Pascal par Luigi Pirandello
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The Late Mattia Pascal (original 1904; édition 2004)

par Luigi Pirandello (Auteur), William Weaver (Traducteur), Charles Simic (Introduction)

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While living an oppressive, provincial existence, Mattia Pascal learns that he has been mistakenly declared dead. Blessed with that rarest of opportunities - the chance to start an entirely new life - he moves to a new city under an assumed name, only to find this new "free" existence unbearable. Faking his own suicide, he returns to his hometown, where his wife has remarried and his job has been filled. Reduced to a sad walk-on part in his own life, the only role now left to him is that of the "late Mattia Pascal".… (plus d'informations)
Membre:collapsedbuilding
Titre:The Late Mattia Pascal
Auteurs:Luigi Pirandello (Auteur)
Autres auteurs:William Weaver (Traducteur), Charles Simic (Introduction)
Info:NYRB Classics (2004), Edition: Translation, 272 pages
Collections:Votre bibliothèque, En cours de lecture, Liste de livres désirés, À lire, Favoris
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Mots-clés:to-read

Information sur l'oeuvre

Feu Mathias Pascal par Luigi Pirandello (1904)

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Une longue nouvelle en forme de parabole (très accessible) sur l'identité... Il y a du Gogol dans ce texte... ( )
  Nikoz | Aug 7, 2017 |
Mathias, garçon timoré, vit en province: il abandonne le foyer conjugal après une querelle avec sa femme et sa belle-mère et se rend à Montecarlo. Là, il gagne au jeu plusieurs dizaines de milliers de lires. En lisant les faits divers, il apprend qu'on le croit mort, suite à la fausse identification du cadavre d'un désespéré, qui s'est jeté dans le puits de Mathias. Cette étrange situation lui suggère de faire croire à sa mort véritable et de tenter de commencer une vie nouvelle. Feu Mathias Pascal prend alors le nom d'Adrien Meis. Il s'installe à Rome dans une pension de famille, tenue par Anselme Paleari et sa fille Adrienne, mais dirigée en fait par un dangereux individu, Terence Papiano, veuf d'une seconde fille de Paleari. Dans la maison vivent deux autres personnages : Scipio, le frère de Terence, à demi épileptique, et voleur, ainsi que Silvia Caporale, professeur de musique, victime de Papiano, mais que le maître de céans, fanatique de spiritisme, estime pour ses éminentes qualités de médium. Tels sont les personnages qui recréent autour de Mathias Pascal la vie de société qu'il avait pensé fuir à jamais. La vie quotidienne recommence, avec ses petits événements, ses aventures agréables ou désagréables, sans oublier l'humble amour dont la pauvre Adrienne entoure le fugitif. Mathias est partagé entre la crainte de voir se découvrir sa situation équivoque et le besoin de se sentir vivre en se liant à ses semblables par un nouveau réseau d'intérêts et de sentiments...
1 voter vdb | Dec 31, 2011 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Luigi Pirandelloauteur principaltoutes les éditionscalculé
Croci, GiovanniIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
良夫, 米川Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Guidotti, PaoloConcepteur de la couvertureauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Keuls-Schuur, E.A.Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Simborowski, NicolettaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Simic, CharlesIntroductionauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Simioni, CorradoDirecteur de publicationauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Slatarov, SvetosarTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Tuin, JennyTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Weaver, WilliamTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Titre canonique
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Premiers mots
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Una delle poche cose, anzi forse la sola ch'io sapessi di certo era questa: che mi chiamavo Mattia Pascal. E me ne approfittavo.
Citations
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Guardai, e subito mi sorse un pensiero, per la cui attuazione provai dapprima un certo ritegno. Lo dico, perché mi serva di scusa presso coloro che amano il bel gesto, gente poco riflessiva, alla quale piace di non ricordarsi che l'umanità è pure oppressa da certi bisogni, a cui purtroppo deve obbedire anche chi sia compreso da un profondo cordoglio. Cesare, Napoleone e, per quanto possa parere indegno, anche la donna più bella… Basta. Da una parte c'era scritto ‘Uomini’ e dall'altra ‘Donne’; e lì intombai il mio anellino di fede.
Assistendo alla vita degli altri e osservandola minuziosamente, ne vedevo gl'infiniti legami e, al tempo stesso, vedevo le tante mie fila spezzate. Potevo io rannodarle, ora, queste fila con la realtà? Chi sa dove mi avrebbero trascinato; sarebbero forse diventate subito redini di cavalli scappati, che avrebbero condotto a precipizio la povera biga della mia necessaria invenzione.
… ma ben più spesso il piacere che un oggetto ci procura non si trova nell'oggetto per se medesimo. La fantasia lo abbellisce cingendolo e quasi irraggiandolo d'immagini care. Né noi lo percepiamo più qual esso è, ma così, quasi animato dalle immagini che suscita in noi o che le nostre abitudini vi associano. Nell'oggetto, insomma, noi amiamo quel che vi mettiamo di noi, l'accordo, l'armonia che stabiliamo tra esso e noi, l'anima che esso acquista per noi soltanto e che è formata dai nostri ricordi.
« … Quando una città ha avuto una vita come quella di Roma, con caratteri così spiccati e particolari, non può diventare una città moderna, cioè una città come un'altra. … Mia figlia Adriana mi ha detto dell'acquasantiera, che stava in camera sua, si ricorda? Adriana gliela tolse dalla camera, quell'acquasantiera; ma, l'altro giorno, le cadde di mano e si ruppe: ne rimase soltanto la conchetta, e questa, ora, è in camera mia, su la mia scrivania, adibita all'uso che lei per primo, distrattamente, ne aveva fatto. Ebbene, signor Meis, il destino di Roma è l'identico. I papi ne avevano fatto – a modo loro, s'intende – un'acquasantiera; noi italiani ne abbiamo fatto, a modo nostro, un portacenere. D'ogni paese siamo venuti qua a scuotervi la cenere del nostro sigaro, che è poi il simbolo della frivolezza di questa miserrima vita nostra e dell'amaro e velenoso piacere che essa ci dà.»
« … Ma la causa vera di tutti i nostri mali, di questa tristezza nostra, sai qual è? La democrazia, mio caro, la democrazia, cioè il governo della maggioranza. Perché, quando il potere è in mano d'uno solo, quest'uno sa d'esser uno e di dover contentare molti; ma quando i molti governano, pensano soltanto a contentar se stessi, e si ha allora la tirannia più balorda e più odiosa: la tirannia mascherata da libertà. …»
Derniers mots
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Notice de désambigüisation
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Courtes éloges de critiques
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DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

While living an oppressive, provincial existence, Mattia Pascal learns that he has been mistakenly declared dead. Blessed with that rarest of opportunities - the chance to start an entirely new life - he moves to a new city under an assumed name, only to find this new "free" existence unbearable. Faking his own suicide, he returns to his hometown, where his wife has remarried and his job has been filled. Reduced to a sad walk-on part in his own life, the only role now left to him is that of the "late Mattia Pascal".

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