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Chargement... Un été sans les hommes (2011)par Siri Hustvedt
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. J’étais quelque peu réticente quant à l’ouvrage précédent de Hustvedt (son essai La Femme qui tremble, extrêmement intellectuel et tiraillé entre récit personnel et discussion scientifique). Celui-ci par contre m’a conquise dès les premières pages. Ici l’équilibre est trouvé. Au premier plan les histoires, au second plan réflexions et discussions. C’est à mon avis une véritable réussite, tant du point de vue du thème (qu’est-ce que le moi ?) que des portraits présentés, aussi variés qu’attachants, et du style, à la fois vif, créatif, poétique et humoristique (cf. « la Pause »). On tourne sans cesse autour du connu/inconnu chez chacun, du Doppelgänger (notamment M. Personne, mystérieux auteur de sms), de l’apparence/contenu, moi social/moi caché, conscient/inconscient, que l’auteure laisse très habilement émerger des histoires elles-mêmes. On découvre ainsi la capacité d’empathie de Hustvedt envers ses personnages, alliée à une redoutable puissance d’observation, à un féminisme intelligent et plein d’humour (dont une sympathique façon de traiter de l’érotisme au féminin), et à une maîtrise de la structure romanesque : en présence d’une seule intrigue (Mia lâchée par son époux – vont-ils se retrouver), sur laquelle viennent s’articuler les histoires mineures, l’intérêt aurait pu se diluer ou retomber après le premier tiers. A la place, on rit, on s’attendrit, on admire (cf. le dénouement magistral du problème des sept jeunes filles), et plus que tout on prend plaisir à cohabiter avec cette galerie de personnages tout au long d’un roman dont on sort comme enrichi par une explosion de vie. A mon humble avis, Un été sans les hommes est la meilleure œuvre de Hustvedt à ce jour. ( ) Siri, elle est comme une soeur. Une soeur du midwest, universitaire, plus cultivée. Trop diront ceux qui ont trouvé la concierge de la rue de Grenelle pédante, mais peut-être pardonneront-ils son érudition à l'épouse de Paul Auster. Mia (I am, aim) vit une union fusionnelle avec son mari, un homme reconnu. A la cinquantaine il éprouve le besoin d'être amoureux à nouveau, alors il lui annonce une "pause". Elle pète les plombs, puis part se ressourcer près de sa mère. Elle apprécie le temps d'un été et d'un livre l'univers des femmes, des échanges riches et amicaux. Les vieilles veuves de la maison de retraite de sa mère, sa voisine jeune mère débordée, un groupe d'ado qui découvrent les jeux de pouvoirs, sa fille, artiste fantasque et attachée au couple parental (mais pourquoi donc l'avoir appelée Daisy ?). On ne peut pas ne pas penser qu'il s'agit d'un livre de salubrité autobiographique, mais qui sait aller au-delà, vers l'universel, comme toujours avec Siri.
Here, although the subject matter is serious - a woman's search for her lost identity - the tempo is upbeat. In a narrative without chapter breaks, Hustvedt explores the idea that differences between the genders is less important than "how much difference the difference makes". Hustvedt creates a voice for Mia that is witty, concise, demanding; delighted by the concordances of sounds in words, compassionate and aware of its own faults. Hustvedt shows us Mia as she stumbles through the female relationships around her, all painted in with a wry eye. Velment, men ikke helt vellykket Siri Hustvedt er med sitt navn og sine aner liksom litt norsk, selv om hun er oppvokst i Minnesota og nå bor i Brooklyn. Hun skriver sine bøker på engelsk, og de oversettes til mange språk, deriblant norsk. Hennes siste roman er velment, men ikke udelt vellykket. Spenstig om kvinneliv Siri Hustvedts nye roman «Sommeren uten menn» har en overraskende letthet kombinert med en intellektuell spenst og vitalitet som synes å ha blitt forfatterens varemerke. Siri Hustvedt byr på mye humor og mye klok menneskelig innsikt i denne nye og tynne lille romanen på drøye 200 sider. Med utgangspunkt i en utroskapshistorie av den svært konvensjonelle og slitesterke typen: Middelaldrende ektemann vil ha en pause fra sitt 30-årige fellesliv med sin kone Mia for å dyrke sin nye franske og unge lidenskap, stiger det fram en fortelling om kvinneliv i flere generasjoner. Det hele fortalt med omtanke og omsorg, med brutalt klarsyn og med høyt refleksjonsnivå Er det mulig å tilgi en utro ektemann? Siri Hustvedt har skrevet en sjeldent god bok ANMELDELSE: Når jeg leser en bok, setter jeg alltid eselører ved de sidene der jeg finner noe virkelig godt. I «Sommeren uten menn» kunne jeg gjerne hatt flere på hver eneste side. For dette er en sjeldent god bok
Mia is forced to reexamine her life when her husband puts their marriage on "pause" after thirty years. She returns to the prairie town of her childhood, and is drawn into the lives of those around her. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Critiques des anciens de LibraryThing en avant-premièreLe livre The Summer Without Men de Siri Hustvedt était disponible sur LibraryThing Early Reviewers. Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813.54Literature English (North America) American fiction 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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