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Moi, Lucifer (2002)

par Glen Duncan

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1,3713413,625 (3.48)52
"A fiendishly sharp, intelligent examination of modern human life that is as funny as hell." --The Times (London)   The end is nigh and the Prince of Darkness has just been offered one hell of a deal: reentry into Heaven for eternity--if he can live out a well-behaved life in a human body on earth. It's the ultimate case of trying without buying and, despite the limitations of the human body in question (previous owner one suicidally unsuccessful writer, Declan Gunn), Luce seizes the opportunity to run riot through the realm of the senses. This is his chance to straighten the biblical record (Adam, it's hinted, was a misguided variation on the Eve design), to celebrate his favorite achievements (everything from the Inquisition to Elton John), and, most important, to get Julia Roberts attached to his screenplay. But the experience of walking among us isn't what His Majesty expected: instead of teaching us what it's like to be him, Lucifer finds himself understanding what it's like to be us.   By an author hailed by the Times Literary Supplement as one of Britain's top twenty young novelists, I, Lucifer is "a masterpiece . . . startlingly witty, original and beautifully written" (Good Book Guide).   "Duncan's witty and perverse, yet somehow life-affirming, Lucifer is powerful indeed." --Booklist… (plus d'informations)
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Il faut un peu s'accrocher pour suivre le récit qui fait des allers retours incessants. Mais Lucifer est vraiment un personnage génial, et je ne m'attendais pas du tout à la fin. ( )
  ElodieTheFangirl | Nov 16, 2018 |
'I, Lucifer, Fallen Angel, Prince of Darkness, Bringer of Light, Ruler of Hell, Lord of the Flies, Father of Lies, Apostate Supreme, Tempter of Mankind, Old Serpent, Prince of the World, Seducer, Accuser, Tormentor, Blasphemer, and without doubt Best Fuck in the Seen and Unseen Universe (ask Eve, that mind) have decided - oo-la-la! - to tell all.'

L'ouverture du livre est remarquable et annonce clairement la matière du livre : la très grande qualité d'écriture, l'originalité, la verve, l'audace.

L'histoire? Dieu décide d'offrir à Lucifer une seconde chance en lui permettant de passer un mois sur terre sans commettre de péché.
L'ange déchu décide alors de s'incarner dans la peau d'un homme, anciennement écrivain en mal de vivre, d'écriture et de renom, qui a tenté de mettre fin à ses jours. L'auteur lui donne le nom de Declan Gunn, l'anagramme de son propre nom.
Alors qu'il découvre sur terre le plaisir des sens et notamment de la chair, il n'envisage pas du tout de quitter la forme humaine, en dépit de la visite des archanges qui tentent de le remettre dans le droit chemin.

Sarcastique, drôle, brillant, sec, noir, spirituel, irrévérencieux, le récit est porté par une langue extrêmement riche, inventive et musicale, qui multiplie les trouvailles linguistiques et offre une matière littéraire véritablement originale.

Criblé de références bibliques et emprunt de l'œuvre de John Milton, le roman offre des grilles de lecture et des perspectives assez vertigineuses, en fonction des connaissances et de l'intérêt du lecteur.
Le livre brosse également un portrait de Londres bien vu, à la fois comme un paradis et un enfer sur terre, offrant toutes les tentations.

Mais...

Il convient de noter néanmoins que le récit en forme de confession lui confère un caractère terriblement bavard, au point d'étourdir et même de perdre en route le lecteur dont l'anglais n'est pas la langue maternelle (ce qui est mon cas).

Je n'ai pas pu m'empêcher non plus de trouver, à différents endroits du livre, que l'auteur en faisait un peu trop. Il m'a donné un peu l'impression d'un enfant terrible surdoué désireux d'en mettre plein la vue. Car cette virtuosité me semble se faire aussi hélas au détriment de l'authenticité littéraire.

La tricherie convient au diable, direz-vous. Pourtant, ces artifices laissent comme un sentiment d'inachevé, une impression d'un goût un peu trop prononcé pour la phrase qui s'accomplit par sa sonorité propre.

Si Glen Duncan s'échinait moins à nous convaincre de son génie littéraire, sûr qu'il parviendrait à nous convaincre tout à fait. ( )
  biche1968 | Dec 19, 2015 |
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I, Lucifer, Fallen Angel, Prince of Darkness, Bringer of Light, Ruler of Hell, Lord of the Flies, Father of Lies, Apostate Supreme, Tempter of Mankind, Old Serpent, Prince of this World, Seducer, Accuser, Tormentor, Blasphemer, and without doubt Best Fuck in the Seen and Unseen Universe (ask Eve, that minx) have decided—oo-la-la!—to tell all.
Citations
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You can't blame me. I mean that literally. You're incapable of blaming me. You're human. Being human is choosing freedom over imprisonment, autonomy over dependency, liberty over servitude. You can't blame me because you know (come on, man, you've always known) that the idea of spending eternity with nothing to do except praise God is utterly unappealing. You'd be catatonic after an hour. Heaven's a swiz because to get in you have to leave yourself outside. You can't blame me because—now do please be honest with yourself for once—you'd have left, too.
The point, my dears, is not good nor evil—but freedom.
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LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

"A fiendishly sharp, intelligent examination of modern human life that is as funny as hell." --The Times (London)   The end is nigh and the Prince of Darkness has just been offered one hell of a deal: reentry into Heaven for eternity--if he can live out a well-behaved life in a human body on earth. It's the ultimate case of trying without buying and, despite the limitations of the human body in question (previous owner one suicidally unsuccessful writer, Declan Gunn), Luce seizes the opportunity to run riot through the realm of the senses. This is his chance to straighten the biblical record (Adam, it's hinted, was a misguided variation on the Eve design), to celebrate his favorite achievements (everything from the Inquisition to Elton John), and, most important, to get Julia Roberts attached to his screenplay. But the experience of walking among us isn't what His Majesty expected: instead of teaching us what it's like to be him, Lucifer finds himself understanding what it's like to be us.   By an author hailed by the Times Literary Supplement as one of Britain's top twenty young novelists, I, Lucifer is "a masterpiece . . . startlingly witty, original and beautifully written" (Good Book Guide).   "Duncan's witty and perverse, yet somehow life-affirming, Lucifer is powerful indeed." --Booklist

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