Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Chargement... The Prague Cemetery (original 2010; édition 2011)par Umberto Eco, Richard Dixon (Traducteur)
Information sur l'oeuvreLe cimetière de Prague par Umberto Eco (2010)
Best Spy Fiction (20) Historical Fiction (387) » 7 plus Italian Literature (198) Best Historical Fiction (551) Books Read in 2021 (4,363) KayStJ's to-read list (805) SHOULD Read Books! (248) Chargement...
Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Très désagréable et très intéressant ( ) Ces dernières années, je me suis toujours méfiée de lire quoi que ce soit par Umberto Eco qui ne soit pas un essai sur les langues ou bien la littérature. Auparavant, j'avais été déçue par "La mystérieuse flamme de la reine Loanna" et son utilisation croisée d'images et de pensées intimes du personnage principal (les images devenant de plus en plus fréquentes au fur et à mesure de la santé déclinante du personnage). Ici, Eco a essayé d'écrire un "Docteur Jekyll et Mr Hyde" religieux, sur fond d'antisémitisme et de bigoterie religieuse. Fort de cette narration, bien sûr, cela ne suffisait pas - il a fallu rajouter toutes les idées de l'époque et ses personnages célèbres, dans un Melting Pot à la Dan Brown, comme si tout était connecté dans l'esprit fou du narrateur, qui qu'il soit. Bref, la narration a des voix multiples, beaucoup de personnages et on se perd dans tout ça, contrairement au "Roman de la Rose", qui est plus linéaire. Donc je ne pense pas le relire un jour. « Chers libraires, le dix-neuvième siècle regorge d’événements plus ou moins mystérieux : les Protocoles des sages de Sion, célèbre faux qui incita Hitler à mettre en place l’Holocauste, l’affaire Dreyfus, mais aussi de nombreuses intrigues impliquant les services secrets de plusieurs na-tions, des loges maçonniques, des conspirations jésuites, ainsi que d’autres épisodes qui, s’ils n’étaient avérés, inspireraient des feuilletons comme ceux d’il y a 150 ans. Ce roman est un récit à épisodes, dont tous les personnages – protagoniste mis à part – ont réellement existé, jusqu’au grand-père du héros, auteur d’une mystérieuse missive à l’abbé Barruel, lettre qui engendra l’antisémitisme moderne. Le seul personnage de fiction du roman (mais qui ne nous en rappelle pas moins de nombreuses personnes croisées au hasard de nos rencontres) devient ainsi l’auteur de diverses machinations et complots, tandis qu’en toile de fond d’extraordinaires coups de théâtre se succèdent : les cani-veaux se remplissent de cadavres, les bateaux explosent alors qu’un vol-can entre en éruption, des abbés sont poignardés, des notables portent des barbes postiches, des satanistes hystériques célèbrent des messes noires, etc. L’ouvrage est illustré, à l’instar des feuilletons d’autrefois. Ces images sont des documents d’époque, et pourraient ainsi éveiller une certaine nostalgie chez le lecteur désireux de retrouver les livres de sa jeunesse. Je m’adresse également à deux autres types de lecteurs. D’abord à celui qui n’a aucune idée que ces événements ont réellement eu lieu, qui ne connaît rien à la littérature du dix-neuvième siècle et qui, donc, a pris Dan Brown pour argent comptant et se délectera avec une satisfaction sadique de ce qu’il pensera être une invention perverse, ce qui vaut également pour le personnage principal, que j’ai voulu le plus cynique et le plus exécrable de toute l’histoire de la littérature. Mais je m’adresse aussi à celui qui sait, ou du moins se doute, que je relate des faits avérés et qui, peut-être, se rendra compte que la sueur perle à son front, lancera des regards inquiets par-dessus son épaule, allumera toutes les lumières de son appartement, et devinera qu’il n’est pas à l’abri et que tout cela pourrait arriver aujourd’hui aussi – d’ailleurs, peut-être est-ce le cas en ce moment même. Et il pensera alors, comme je l’espère : « Ils sont parmi nous… » Le début m'a paru prometteur. Le personnage central est tellement insupportable, détestable que s'en est drôle mais j'ai rapidement perdu tout intérêt à la narration. Tout le passage qui raconte les intrigues et les combats de Garibaldi, Mazzini et Cavour m'a particulièrement ennuyé mais il est possible que quelqu'un qui connaît mieux que moi l'histoire de l'unification italienne y trouve un certain plaisir.
Eco's mastery of the milieu is evident on every page of "The Prague Cemetery." If the creation of Simone Simonini is meant to suggest that behind the credibility-straining history lurks a sick spirit compounded of equal parts self-serving cynicism and irrational malice, who can argue? And even if the best parts of “The Prague Cemetery” are those he did not invent, Eco is to be applauded for bringing this stranger-than-fiction truth vividly to life. The real story, then, is one that “The Prague Cemetery” hints at but does not for all its polymath erudition manage to capture: our impotence in the face of an obvious forgery, an absurd pastiche against which the ramparts of reason afford astonishingly feeble protection. Eco’s 19th century shocker has an Italian, Captain Simonini, as the man responsible, the only fictional character in the book. The story involves Freemasons against Catholics, Garibaldi against the Bourbons, Russian spies, German double agents, murky murders, plotting prelates, black masses and orgies. If all this sounds like a richly sensational read, you couldn’t be more wrong. Simonini’s as disgraceful as they come, and those who feel the need to bond with a narrator will be instantly put off by this novel. But “The Prague Cemetery” isn’t trying to make us feel better about ourselves. It’s meant to remind us of the dangers of complacency and credulousness. It’s meant to be unsettling. And by that measure, it’s a huge success. Appartient à la série éditorialeEst contenu dansA été inspiré parPrix et récompensesDistinctionsListes notables
"19th-century Europe--from Turin to Prague to Paris--abounds with the ghastly and the mysterious. Jesuits plot against Freemasons. In Italy, republicans strangle priests with their own intestines. In France, during the Paris Commune, people eat mice, plan bombings and rebellions in the streets, and celebrate Black Masses. Every nation has its own secret service, perpetrating conspiracies and even massacres. There are false beards, false lawyers, false wills, even false deaths. From the Dreyfus Affair to the Protocols of the Elders of Zion, the Jews are blamed for everything. One man connects each of these threads into a massive crazy-quilt conspiracy within conspiracies. Here, he confesses all, thanks to Umberto Eco's ingenious imagination--a thrill-ride through the underbelly of actual, world-shattering events. "-- Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)853.914Literature Italian Italian fiction 1900- 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. Recorded BooksUne édition de ce livre a été publiée par Recorded Books. |